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8h

Le reveil ce fait en douceur étant donné que je suis réveillé par les carrese de Max dans mes cheveux. C'est à ce moment là que je me rencontre que je suis dans bras de celui-ci. Et bouge un peu.

- Maintenant que t'es réveillé ont va pouvoir aller manger

- Il est qu'elle heure ?

- 8h00

- Beaucoup beaucoup trop tôt, et je suis bien là.

- Fait gaffe ont croirais que tu m'aime bien

- Ta gueule et rendort toi

- Impossible

- M'enfou tu bouge pas

- Tabuse

- A peine, mais tu vas survivre.

- J'ai faim moi

- Pas mon problème, t'es un grand sportif tu peux donc attendre

- Ou tu peut être me déjeuner

- Ah Nan, plutôt mourir.

- Sympa

- Toujours.

11h

Lorsque je me réveille cette fois ci Max n'est plus dans le lit, et ça me manquerais presque qu'un peu de ne pas l'avoir à mes côté au réveil.
En parlant du loup celui-ci arriva avec un plateau contenant le petit déjeuner.

- Fais attention de ne pas en prendre l'habitude.

- Vas-y même quand je suis gentil tu critique.

- Y a qui de réveiller ?

- Arthur, Pierre, Daniel, Lando et ton pote

- D'accord, maintenant apporte la bouffe.

13h

- Les gars notre vole est avancé à ce soir. Annonce Pierre

- Oh Nan c'est chiant. D'eclare Charles

- Youpi des vacances. Cria Valentino

- Ta gueule je sais qu'ont va te manquer. Répond Daniel

- Maintenant faut juste que je me débarrasse de toi Gwen. Déclare Valentino

Je lui fais un doigt et nous continuons nos activités.

- Au pire vous avez qu'à venir à la maison, et ont joue à la play ? Demanda Valentino

- Vas-y je suis chaud, il nous reste trois heures avant de partir à l'aéroport.

20 Avril

Cela fessait maintenant plus de deux mois que je connaissais les garçons, et en deux moi beaucoup de choses avait changé. Certains avaient gardé contact et d'autres nan, avec du recul je pense que ne me fessait ni chaud ni froid. J' avais souvent des contact avec les deux Leclerc qui s'étaient mis en couple respectivement, Paul Aron avec qui le courant était très bien passé mais depuis quelques semaines je ne donnait plus de nouvelles. Lando avec qui je m'amuser bien et c'est tout.
Valentino, quand à lui avait gardé contact avec tout les pilotes et avait assisté aux trois premiers grands prix, contrairement à moi, étant tombé malade pour le premier et de nouveaux problèmes étaient arrivés me coupant toute possibilité d'aller les voirs. La relation que j'entreprenais avec Val c'était fachement dégradé depuis qu'i' avait rejoint la mafia à plein temps.
J'avais rencontré de nouvelles personnes, Evans et Jules avec qui j'entreprenais m'a collocation toujours en Italie. Je gardait toujours contact avec la famille Cominello mais y mettais une certaine distance. Et Pedro avec je m'étais mise en couple, et autant vous dire ce n'est pas la meilleure des relations que l'ont peut avoir.
Evans était français, alors que Jules était mexicain, ce qui pouvait donné lieu à des situations d'exception quand chacun ce m'étais a parler dans ça langue natal, mais tout le monde ce comprenaient. Pedro lui était grecque, et m'avais appris à le parler.

Evans étant un grand fan de Formule 1 à mon plus grand regret avait réussi à avoir des pass vip, all accès pour moi et Jules, pour le grand prix d'Imola. Ce qui me fallu une dispute avec Pedro lorsque celui ci me remarqua faire ma valise.

- Je peux savoir pourquoi tu fais ta valise ?

- Evans a été invité à un événement et à reçu deux autres invitations pour moi et Jules.

- Ah ouais, et pour aller où ? Ont devait rester chez moi ce week-end. Dit-il en haussant le ton et se rapprochant dangereusement de moi.

- Oui bah il nous a prévenu ce matin et tout était organisé, j'ai pas pu refuser.

- Ta surtout pas voulu, j'imagine que ça un rapport avec la formule 1.

- Je vois pas le problème.

- T'attendais juste une opportunité pour de taper un des pilotes que ta pas vus depuis des mois je suis sur. Je t'interdis d'y aller. Me dit-il en exerçant une pression sur mon bras

- Écoute j'ai pas envie de me prendre la tête avec toi en ce moment, alors tu fais avec, merde.

Pedro me regardant mal sainement, serrant me bras encore plus fort tout en me plaquant violament contre le mur.

- Écoute moi bien, ta pas intérêt à me reparler sur ce ton, je t'autorise à y aller mais je te surveille. Je vais regarder les réseaux sociaux de tes amis ainsi qu'à la télé et t'a pas intérêt à faire un seul faux pas, sinon je te ferai le regretter. Durant son monologue il s'était encore rapprocher de moi, je pouvais sentir l'odeur désagréable de l'alcool qu'il le rendait dans cette état.

- Ont ait de retour. Déclaré les garçons revenant de leur balade

À l'entente de ces deux voies, Pedro lâcha son emprise sur moi, sorta de la chambre me lâchant un dernier regard qui me glace le sang et sorti de la pièce pour retrouver mes deux amis et leurs dire au revoir.

- Ta finis ta valise, le chauffeur arrive bientôt.

- Ouais, j'arrive

- Ça va pas ? Ont dirait que t'es ailleurs.

- Si si, ont s'est juste disputé parce que j'avais oublié de le prévenir et qu'ont devait passer le week-end chez lui. Tant fait pas Evans.

- Si tu le dis, pour l'hôtel ont a des chambres séparée mais au même étage et je crois que certains pilotes y sont aussi.

Après avoir fait dix minutes de voitures le chauffeur nous déposa à la gare pour un long trajet de train. Les garçons remarque à mon plus grand regret que quelques choses me traquaser mais ne disent rien. Certes je n'étais pas seraine vis à vis de ma situation avec Pedro, mais je ne pouvais rien leur dire, c'était leurs amis et je ne voulais salir en aucun cas l'image qu'ils avaient de lui. Mais revoir les pilotes que je n'avais pas revu et que je foyer par message ne me rassuré pas du tout, j'appréhendais leurs réactions, et ne voulait en aucun cas revoir les yeux bleus du pilote Néerlandais qui m'avait laissé à l'aéroport après m'avoir embrasser ava't de monter dans son jet privé et m'envoyer un message le lendemain me disant que tout ce qu'il c'était passé n'était qu'une erreur. Valentino me stressé aussi, il risqué fortement d'être présent et nos dernières discussions n'étaient pas très sympathique.

Je ten prie s'te-plaît ne t'en va pasOù les histoires vivent. Découvrez maintenant