Rose bleue.

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Mon inspiration, ma raison, ce poème provient de ce son, de cette musique, cet attention... Écoutez la, ressentez la à votre convenance, tout en lisant la voix d'une Rose bleue, née pas erreur, dans un grand malheur... Ainsi je vous souhaite, une bonne lecture...

Le mystère.
L'amour.
La guerre.
La tour.
C'est dans ce jardin,
Dans les lueur du matin,
Qu'à flétrie une rose,
Bleue, sous la prose.

Un éclat plus brillant
Qu'un ciel de printemps,
Plus pur que le premier vent,
Plus étrange que la ville
De la rose bleue;
La cité de Baskerville,
D'où provenait ce mystérieux
Présage. L'absence des dieux.

Au nord de la cité,
Se dessinait un manoir,
On y pensais rêver,
En pénétrant dans le cauchemar...
Sous l'arche de glycines,
Protégeant de l'aube assassine,
Deux amants se quittaient.
Sous les tons du regret.

Mais à la fenêtre se dessinait,
Dans l'ombre indiscernable à la vue,
La face d'un homme qui hait,
D'un homme qui à tout perdu.
Le mari descendit dans la pièce,
Et, en bon alchimist,
Il tenta de guérir la peste,
Mais fût blessé par sa femme traîtresse.

Au lieu de guérir la maladie noire
Il jeta une terrible malédiction,
Dans la nuit, tout les soirs,
Peut importe les saisons,
Tous les habitants le la ville
Se transformeraient en rose,
La mystérieuse Baskerville,
Deviendra la cité des roses bleues

Après avoir lancé le sors,
L'homme et les amants devinrent
Des roses bleues aux pistil d'or.
Mais, le mari parvient
À ce défaire de la malédiction.
Il en paya cependant le prix,
L'immortalité signa sa vie,
Cela était loin d'une bénédiction.

Toutes les nuits, il arpentait la ville,
Ses erreurs de Baskerville.
En désespoir de cause,
Il chercha, et cherche encore,
Un moyen de sauver leurs corps.
Tel est la punition de la rose,
Sous ce ciel, dans l'absence des dieux,
On le surnomme "l'Alchimist à la rose bleue".

Pour se venger de sa femme,
Il coupa la rose de flammes
Chaque nuit, il l'emporte avec lui,
Dans la poche de son manteau,
Tel la pression d'un étaux,
Il la force à regarder s'éteindre la vie.
Et chaque matin, les roses flétrissent,
Et quittent pour la journée le maléfice.

A ce jour, la malédiction demeure,
Et dans la lumière sortant des demeures,
L'Alchimist à la rose bleue pleur silencieusement
La perte de sa femme, et des habitants.
Dès que la lumière éclipse le noir,
Il retourne dans son manoir.
"L'Alchimist craint le soleil" dit-on,
Mais la vérité est que la honte le romp.

La traîtresse et son amants
Sont condamnés à vivre,
Sous la haine des habitants,
Et prisonniers d'une rose de givre...
Ce lieu qu'est Baskerville,
Est le jour une cité de vie,
Et un fantôme la nuit,
L'Alchimist marche dans la ville,
Tel un esprit gardien,
Du soir jusqu'au matin...

Poème briséOù les histoires vivent. Découvrez maintenant