Pour l'aider. (Poème pour le concours Méladonia)

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Tel les notes d'une chanson s'élevant
Mon cœur doucement se serre,
Que mon Dieu accède à cette prière,
Pour que mon âme se soulage lentement.

Que cette soeur pour moi retrouve sa joie,
Qu'elle a perdue dans ce monde autrefois.
Elle qui était ma lumière et ma vie,
Elle est maintenant obscurité et nuit.

Toi que ce son fait rêver,
N'as-tu jamais pensé
Aux raisons qui le font chanter
Pour ce récital de beauté ?

Cette tendre mélodie que tu entends jouée
N'était-elle qu'un simple de mes songes d'été ?
Ou est-elle la prière que je tends à élever,
Que j'essaie tant de lui faire écouter ?

Ô mon Dieu entends ma voix
Délivre-moi de ce monde que je ne vois,
Je t'en supplie, ô mon Dieu, montre moi,
Ce chemin, cette belle voie.

Dessine la sur cette terre,
Devant mon corps étendu sur la pierre,
Ô mon Dieu accède à ma prière,
Que chante cette mélodie de fer.

C'était il y a un an sur le bord de cette falaise,
Que mon amie souffrante s'est laissée tombée.
Au pied de cette arbre de glaise,
Elle à laisser la vie filer.

Ô je t'en prie mon Dieu entend ma prière,
Réalise mon veux le plus sincère,
Je ne veux qu'elle revienne sur cette terre,
Je demande juste qu'elle retrouve son sourire de verre.

Elle qui était si heureuse, elle me semble éteinte,
Comme si une éclipse éternelle l'avait étreinte.
Je t'en prie mon Dieu, rend moi mon soleil,
Déplace cette lune qui l'a mis en sommeil.

Elle n'est pas morte mais le semble pourtant,
Elle qui souriait tant pleure aujourd'hui trop souvent.
Elle me manque, me manque tellement.
Je lui crie et lui chante de sourire maintenant.

Elle ne parvient pas à m'entendre.
Qu'elle me manque mon amie si tendre,
Qui riait à en faire rougir la cendre.
Elle que j'aimais tant défendre.

Pitié mon dieu fait la revenir aux rougeurs de l'aurore,
Qui brillaient dans son regard d'or.
J'en paierai à sa place le prix fort,
Alors pitié rend lui son sourire indolore.

Ô mon Dieu, par pitié,
Pour moi et pour elle,
Elle qui était si belle,
Écoute ma voix chanter.

Écoute ma prière,
C'est mon veux le plus sincère,
Le seul que je ferai sur cette terre:
Rend lui son sourire d'hier.

J'ai essayé de la défendre,
Mais j'ai échoué.
J'ai voulu me faire entendre,
Elle ne m'a écouté.

Il ne me reste que toi pour la faire à nouveau aimer,
Alors je t'en prie, peut importe le prix, fait la rêver.
A nouveau même rien qu'une fois, chanter.
Ô mon Dieu, ais pitié de son âme égarée.

S'il te plaît, fait venir un ange pour la faire sourire,
Rien qu'une seule fois la faire encore rire.

Elle qui s'est perdue en soupire.
Elle qui ne rêve plus que du pire.
Elle qui à toujours pour les autres prier.
Fait nous vivre ce rêve tant aimé.

Je t'en supplie laisse la chanter,
Cette chanson que j'avais écrit pour l'aider.

Poème briséOù les histoires vivent. Découvrez maintenant