Après avoir passé tout les contrôle, on est resté dans l'aéroport deux bonnes heures avant de récupérer nos valises afin de rejoindre deux hommes qui attendaient a la sortie avec une pancarte en main" Hôtel Abou Sofiane".
Mes parents et moi marchons jusqu'à eux pour rejoindre un groupe de personnes assis sur un demi-mur blanc juste dernière. L'homme en costard noir et une barbe bien taillée, redressent ses mains positionnées derrière son dos contenant un document sur lequel de nombreux chiffres y sont inscrits. Il cherche notre nom de famille sur celle-ci et coche une case a coter de nombreuses lettres qui correspondaient au code que ma mère montre sur son téléphone. On est la dernière famille qu'il attendait donc nous pouvons tous se diriger vers la sortie.
Un autre bus nous attendais, cette fois-ci, il est rouge avec de grandes fenêtres qui prennent presque toute la surface du véhicule. Toutes les familles montent une par une et s'installent en se préparant pour les 1 h de route.
Je m'assois vers l'avant sur le premier siège devant mes parents, le plus loin de la fenêtre et du soleil. Cette chaleur étouffante mets insupportable pour dormir, alors j'essaye t'en bien que mal de lire mon livre malgré les difficultés que je rencontre pour me concentrer.
Après quelques minutes, j'abandonne, donc je m'intéresse au paysage. Mes yeux se dirigent vers l'avant du bus, sur la géante vitre du chauffeur où je peux observer tout ce qu'il se passe sur la route. Je vois un camion qui roule à toute vitesse devant nous, charger de géantes pastèques comme je ne les avais jamais vues. Elles sont plus volumineuses que ma tête et sûrement de toutes les têtes dans le bus. Je remarque aussi qu'il y a beaucoup de bar rempli de personne joyeuse ou en colère, je n'arrive pas trop a déterminer leur émotion autour de nous.
Quelques mètres plus loin, le chauffeur prends une route déserte, là où les bâtiments se dispersent de plus en plus jusqu'à un vaste champ vide. Je me redresse vers la fenêtre à ma gauche en levant le rideau rouge assorti au bus. Des montagnes au loin reflétant les derniers rayons de soleil avant qu'il ne se couche, sont observable par cette vitre qui me lie indirectement au monde extérieur. Tout ce paysage non-familier, me donne envie de le connaître, comme si la Tunisie elle-même essayait de me séduire. Mais ce qu'il me dérangeait le plus n'est pas qu'elle veuille me séduire, c'est que je suis séduit. Je suis comme un bébé qui découvre un nouveau monde fabuleux et qui a besoin d'en découvrir davantage, alors je me précipite sur le siège à côté de la fenêtre.
À la fin de cette route longue et chaude, on rentre dans une zone très touristique et différente des précédentes villes dans laquelle on est passé. On rentre dans Sousse, dans la zone hôtelière ce qui signifie qu'on est bientôt arrivé à notre destination. Des Hôtels immenses qui se distinguent chacune l'une de l'autre apparaît à travers ma fenêtre. Les rues propres sont inondées de palmier planté régulièrement autour de chaque entrée d'un hôtel.
Le bus s'arrête subitement en attendant que deux hommes en costume blanc et rouge ouvrent un grand portail noir, puis il s'avance lentement en suivant les plantes colore qui entoure la petite route qui mène à l'entrer de l'Hôtel Abou Sofiane quelques mètres plus loin.
Une fois devant les porte vitre de l'hôtel, le chauffeur des bus et nous conduit vers l'entrée puis, il retourne à l'aide d'un jeune homme habiller aussi d'un costume en rouge et blanc cherché nos valises sur un grand chariot marron et dore afin de les emmener l'intérieur.
Toutes les familles avec un papier en main qu'un homme a l'accueillent leur a demander de remplir, sont sur des sièges disperser dans le hall. Il est presque 21 h 30, mon père et ma mère finit en premier de remplir la feuille avec un stylo tout droit sortie de mon sac pour ensuite se diriger vers l'accueille.
L'homme vêtu du même costume blanc et rouge que ses collègues, tapent note nom pour trouver notre réservation. Il prend quelques minutes avant de regarder une deuxième fois la feuille que mes parents soigneusement remplie. Il tape rapidement sur le clavier de l'ordinateur et regarde une troisième fois la feuille.
-Il y a un problème ? Demande ma mère.
- Je ne trouve pas votre chambre, répond l'homme encore en train de taper sur son clavier.
Après quelques minutes d'attente, l'homme regarde une quatrième fois la feuille poser sur le comptoir.
- Excusez-moi, j'ai un peu de difficultés, car c'est mon premier jour dit il en s'excusant une deuxième fois.
Soudain, des applaudissements m'interpellent vers l'extérieur de l'hôtel.J'admire le sol du hall qui a pour centre, une étoile marron graver avec lequel des fleur gris poser sur un meuble en bois, sont situer au centre de celle-ci. Les fleurs vise un lustre en diamant entouré d'un demi-dôme avec des gravures comme celle d'une mosquée, forme le plafond. Ce plafond est relié par 5 poutres blanches qui se situent autour de l'étoile gravée. Des sièges et des tables sont positionnés dans le reste du hall dont un partie est vitrée vers l'arrière de l'hôtel, là d'où vienne ces applaudissements. Deux grandes portes aux vitres comme celle de l'entrée sont ouvertes et mène vers une place extérieure entourée de table et de chaise laissant un espace au milieu et vers une petite scène sur le côté. Le hall est relié directement à deux couloirs chacune à l'opposé, d'un bar positionné à gauche de la porte en vitre arrière et d'un escalier menant à un restaurant au buffet à volonté positionner à côté d'une porte avec laquelle on peut rejoindre les toilettes.
Je m'avance donc vers la porte arrière qui relie la place extérieur par 3 marches en carrelage gris, et profite d'une animation avec énormément de personnes assise sur des chaises accompagner de table visionnant les mêmes hommes cracher du feu.
C'est impressionnant comment je peux ressentir la chaleur des flammes crachées par l'homme seulement habille d'un pantalon en cuir noir. Cette chaleur me traverse tout le corps en quelques secondes avant de disparaître.
J'observe alors toute les personne applaudirent dans le peu de lumière que procurent les lumières flamboyante de l'hôtel avant de ressentir encore la chaleur du feu cracher par le même homme. Je m'avance d'un pas me plaçant à l'extrémité de la premier marche avant de découvrir un vent frais me traverser tout le corps. Je redresse ma tête vers le haut et j'aperçois une grosse clim au-dessus de moi accrocher sur le haut de la porte. Cela me soulage tellement que je n'entends pas ma mère m'appeler pour me signaler qu'on avait enfin récupéré les cartes de nos chambres.
Elle s'approche de moi et me touchant l'épaule en m'expliquant qu'il avait fini. Je me retourne vers elle en prenant la carte blanche dans ces mains avant de regarder une dernière fois ces nombreuses personnes obnubiler par ces deux cracheurs de feu. Mais je ne suis loin de me douter que parmi ces nombreuses personnes qui regardaient l'animation du soir, se trouve ma future raison de vivre.
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YBABA
RomanceAvez -vous déjà connu l'amour ? Voici mon histoire qui se déroule lors de mes vacances en Tunisie. J'ai vécu ce que la plupart d'entre vous ont vécu, c'est-à-dire, l'amour de notre vie. Mais cet amour s'annonce compliquer à cause du peu de temps qu...