𝐶̧𝑎 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛𝑒 𝑠𝑒𝑚𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑒 𝑛'𝑎𝑖 𝑝𝑎𝑠 𝑣𝑢 𝑂𝑟𝑖𝑎𝑛𝑎, 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑜𝑖𝑡 𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑠𝑎𝑐𝑟𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑚𝑎𝑙𝑎𝑑𝑒.
𝐽𝑒 𝑑𝑒𝑣𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑒𝑢𝑡-𝑒̂𝑡𝑟𝑒 𝑎𝑙𝑙𝑒𝑟 𝑐ℎ𝑒𝑧 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑣𝑎.- Dylan ? Dylan ?
- oui pardon !
- bon reprenons, aujourd'hui on va parler de la Première Guerre mondiale, ouvrez vos livres.
La sonnerie sonne, le court est terminée, j'attrape mon sac.
- mec fait attention regarde où tu vas !!!
- pardon je t'avais pas vu !
- ouais bah la prochaine fois fais attention, où tu vas goûter le goût du mur.
Quelle abruti celui-là, c'est plutôt lui qui va goûter le mur.
J'ouvre la porte, mettant les mains dans les poches tellement que le vent est glacial.
J'avance dans la neige, seul sans amies à mes côté, et sa me convient totalement.
Je passe devant la maison Oriana, j'hésite à sonner, mais faut que je sache si elle va bien.
J'arrive devant sa porte.
- allez bouffon sonne, la sonnette est -juste devant toi.
-Bon allez je me lance.Mon doigt appuie sur la sonnette, la porte s'ouvre, c'est un homme grand cheveux blancs chemise bleu clair, jean blanc.
Ça doit être certainement son père.- bonjour vous êtes ?
- eu...oui bonjour...je suis Dylan...un ami de votre fille, puis-je entrer ?
- oui...et bien sûr entrée, elle est à l'étage, traverser le couloir, tourner à droite et vous la trouverez.
- merci monsieur !
- et une dernière chose...elle est malade...alors tu t'approche pas trop d'elle si tu veux pas tomber malade.
- eu... d'accord monsieur.
-Traverser le couloir, porte à droite d'accord.
J'hésite à l'instant avant d'ouvrir.
'' toc toc''
J'avoue j'ai un peu de stress, mais j'arrive à le gérer.
J'ouvre la porte, je vois bien ça la surprend de me voir, elle s'attendait pas à me voir débarquer dans sa chambre, elle a sûrement oublié que j'étais aussi.
C'est vrai qui veut se rappeler, d'un détraqué comme moi.- c'est toi ?
Bon je vous avoue, je m'attendais à toute autre réponse.
Mais celle-ci me convient, totalement.
Elle se lève, je remarque le sourire sur le coin de sa lèvre.- et bien charmante demoiselle, c'est bien moi.
Elle rigole, son sourire est magnifique.
Son regard croise le mien, je sais que j'ai l'air d'un idiot à sourire comme ça.- pourquoi tu es venu ?
- et bien chère demoiselle, je suis venu -dans votre charmante maison.
- je m'inquiétais pour vous. -comprenez-moi une semaine sans vous voir.- non mais plus sérieusement ( dit-elle en rigolant)
-et comment tu connais mon prénom ?- et bien...pour commencer...tout le lycée -tu connais...tu sais les rumeurs.
- je voulais savoir qui est cette fameuse personne, et quand je t'ai vu au lycée, tu n'étais pas celle qu'on disait tu es différente.
-Et la deuxième,je m'inquiétais pour toi.- tu t'inquiétais pour moi !!
- oui...et puisque je suis là,nous pourrions devenir amis.
- amie ? Amie déjà c'est carrément -chelou, tu viennes débarquer chez moi comme ça.
- pour qu'après me dire qu'on devienne amis, était au courant des rumeurs ?- oui tout le monde est au courant, mais -je -te rassure je sais que c'est faux.
- tu finiras par te mettre contre moi.
- non c'est faux.
Son regard se dirige dans le vide, en quelques minutes, elle a perdu son sourire.
- pourquoi tu en as pas parlé à tes parents ?- en parlé !!!!
Elle se lève en colère, son regard change.
- 𝗼𝘂𝗶 𝗯𝗶𝗲𝗻 𝘀𝘂̂𝗿 𝗱𝗶𝗿𝗲 𝗮̀ 𝗺𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗳𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝘀𝗮𝗹𝗼𝗽𝗲, 𝘂𝗻𝗲 𝗴𝗿𝗼𝘀𝘀𝗲 𝘁𝗿𝗮𝗶̂𝗻𝗲́, 𝗾𝘂𝗶 𝘀𝗲 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘁𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗲𝗻𝘀 !!!!!
- écoute...
- non pars s'il te plaît...j'ai...besoin d'être seul.
Sa voix se brise, son regard se dirige en l'air pour éviter les larmes couler.
Je respecte son choix, je pars en fermant la porte derrière moi.
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Je savais que je ne le reverrais jamais.
Random-Tes qui toi ! Dégage de la !!! -Moi !!? Je suis Dylan cher Madame...et toi tu dois être Oriana...n'est-ce pas !? - comment tu connais mon prénom !? - qu'es-ce que tu foue devant un lac congelé en plein mois de Décembre ? - dégage laisse moi seul...