chapitre 3

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Je ferme les paupières, 1,2,3...
Combien de temps je peux rester dans l'eau, avant de manquer d'oxygène.

- Je reviens à la surface j'ai tenue 20s bon je peux toujours faire mieux.

Je sort de la douche entour la serviette autour de moi, l'eau se vide petit a petit, en formant un mini tourbillon.
J'arrive face à la glace, me regardant Dix second avant d'enfiler, un t-shirt oversized, avec un jean noir, et des grosse chaussette bien chaude.
Vue le temps, la neige est encore présente.

j'aime cette saison sa me permet de cacher mes cicatrices, éviter tous ces regards insistants, sur mes bras.
J'ai envie ces filles, ces filles parfaites, populaires, aucune cicatrice sur les bras avec leur belle chevelure blonde, aux yeux bleus.
Oui je sais c'est très cliché, il manquerait plus le footballeur beau gosse, populaire que toutes les filles veulent, enfin excepté moi.

J'ouvre la porte éteins la lumière. Je descends les escaliers mon père, m'attend en bas.

- Oriana !

- oui père ?

- tu te souviens qu'on doit parler toi et moi ?

- oui...bien sûr.

- ta mère...m'a dit que tu étais rentré en -robe...alors qu'il neigeait pourquoi ?
- tu sais tu aurait pu faire une -hypothermie.

- oui je sais papa.

- mais qu'est-ce qui c'est  passé dans la tête...mon enfant.

- faut que je parte en cours papa !!

- non...aujourd'hui tu restes à la maison !!!!

- tu es malade,je n'ai pas envie que tu tombes encore plus malade.

-très bien...je vais dans ma chambre.

-oui repose-toi...mais ne fais plus jamais ça...ta mère s'inquiète pour toi tu le sais ça.

Je reste silencieuse, lui faisant un sourire, avant de me retourner et de monter  les escaliers.
Arrivé à l'étage je sens quelque chose monter, en moi dans mon corps, je cours aux toilettes, vomissant toutes mes triples.

- ma gorge me brûle.

Je tire la chasse d'eau ferme la porte.

- Berck...c'était vraiment dégueulasse.

-bon go rester dans mon lit, pendant une semaine en vomissant mes triples.
-je sens ma semaine va être génial.
-je vomis non stop, ce n'est pas une partie de plaisir ça je peux vous l'assurer.

- ma vie se résume, dodo médicament.
Les jours passent je me sens de mieux en mieux, mon état s'améliore, petit à petit je vomis presque plus.
Et d'un côté je suis quand même contente d'être malade ça me permet de sécher les cours.
De voir tous ces regards insistant à longueur de journée, c'est fatiguant.
-J'ai plus de nouvelles de mes amis en ce moment, étrange.
Elles doivent être occupé.
-Trop occupé pour envoyer un simple message.

Je savais que je ne le reverrais jamais.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant