chapitre 6

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Après plusieurs jours cloîtrer au lit.
Il est l'heure d'aller en cours, si je pourrait rester malade, pendant le restant de ma vie, je le ferai sans hésiter.

J'enfile un t-shirt à manches longues, puis un pull à col roulé, noir, avec un Jean mom noir.
J'enfile une paire de bottes noir vernis, une énorme doudoune, qui fait deux fois ma taille, mais néanmoins ça me tient chaud.
Prend mon sac, descends les escaliers, ma mère est la en bas, le petit-déjeuner est prêt, tous les matins elle se lève, plutôt que moi, pour préparer un bon petit déjeuner, avant de partir je bois un grand verre du jus d'orange, et j'entasse plein de gâteaux dans mon sac.

- à ce soir maman !

- à ce soir ma petite chérie fais bien attention à toi !!

Je ferme la porte derrière moi, je décide de faire le trajet à pied, l'air est très très froid, mais ça me fait du bien j'aime les trajets à pied, prendre le bus me stresse, m'angoisse, alors les trajets à pied personne te juge, et petit plus il neige donc personne ne sort, sauf les personnes qui on court ou qu'il travaille.
Au loin j'aperçois une silhouette, qui m'est familière.
- Ça ne serait pas...non pas lui...Dylan ?

Je mes ma capuche, pour qu'il ne me reconnaisse pas, faut j'évite tout contact avec lui.
J'observe tout c'est fait et geste, il marche tout seul, personne a côté de lui, pour lui parler ou savoir comment il va.
- 𝐀-𝐭-𝐢𝐥 𝐝𝐞𝐬 𝐚𝐦𝐢𝐬 ?

Peut importe faut j'avance, faut pas j'arrive en retard.
Arrivée au lycée, rente dans la cours, et me revoila ici, dans se lycée merde.
Je rejoins mes amis au loin, et l'une des mes super amie, pervenche, c'est l'une sur qui je peux compter, c'est pas ma meilleure amie, mais on peut compter l'une sur l'autre.
C'est qui est important dans une amitié.
Je la salut, elle se dirige vert moi toute Joyeuse, en sautillant comme un poney, c'est cheveux sont toujours aussi jolie, je l'envie qu'elle que fois.

- salut comment tu va !!!!!

- ça va pas la peine de crier !!!!

- désolé...mais ça fait longtemps que je t'ai pas vu.

- oui ça fait longtemps...tu m'as manqué.

- avant tu reviennes en classe il y a eu -des nouvelles rumeurs...ils ont tous dit -que tu faisais semblant d'être malade.

- mais... pourquoi ?

- franchement laisse-les c'est que des conneries...moi et tes amis nous savons que tu étais vraiment malade.

𝑬𝒕 𝒎𝒆 𝒓𝒆𝒗𝒐𝒊𝒍𝒂, 𝒎𝒆̂𝒎𝒆 𝒂𝒃𝒔𝒆𝒏𝒕𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒓𝒖𝒎𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒊𝒏𝒖𝒆, 𝒋𝒖𝒔𝒒𝒖'𝒐𝒖̀ 𝒊𝒍𝒔 𝒗𝒐𝒏𝒕 𝒂𝒍𝒍𝒆𝒓.

La sonnerie sonne, il est l'heure d'aller en cours, mentalement suis pas prête, mais ai-je le choix ?
J'arrive en cours, les personnes de ma classe sont choqués de mon retour parmi nous.
J'entends chuchoter, a peine arrivé, a peine ils ont trouvé un nouveau sujet de conversation.
La prof arrive, commence a parler du travail a faire.

- tient tu est de retour Oriana !?

- oui...madame...

- pourquoi tu n'étais pas là ?

- j'étais...malade.

- 𝙙𝙞𝙨 𝙥𝙡𝙪𝙩𝙤̂𝙩 𝙦𝙪𝙚 𝙩𝙪 𝙖𝙨 𝙛𝙖𝙞𝙩 𝙨𝙚𝙢𝙗𝙡𝙖𝙣𝙩 𝙙'𝙚̂𝙩𝙧𝙚 𝙢𝙖𝙡𝙖𝙙𝙚 !!!!

L'une des personnes qui crie dans la classe, cette personne ne c'est pas j'étais vraiment malade, non évidemment, il préfère tous dire, je faisais semblant d'être malade.

- silence on vous a pas causé, tu peux reprendre !!!!

- et bien j'étais malade... vraiment -malade... Et si vous me croyez pas -demande à mes parents.

- non...bien sûr je te crois...si c'est la vérité.

La prof me tourne le dos pour reprendre son cours.
Les gens me dévisage, l'une des filles me regarde de travers sans même savoir pourquoi, sans doute à cause des rumeurs sûrement.
La sonnerie sonne, me dépêche de ranger mes affaires, je sens une présence derrière moi, me retourne et c'est.
𝑁𝑜𝑛 𝑐𝑒 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑖𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑚𝑎 𝑐𝑙𝑎𝑠𝑠𝑒.

- salut Oriana.

- salut Dylan...ça va !

- ça pourrait aller et toi ?

- moi ça va super...bon faut que j'y aille.

Il s'écarte pour me laisser passer, j'avance le plus vite que possible, j'arrive dehors  prenant un coup de fouet dans la face, l'air est glacial, heureusement j'ai ma doudoune.
J'arrive au toilette, voyant des écritures partout, les réseaux sociaux des filles, des insultes, mais bizarrement aucun compliments.
J'ouvre ma trousse, prend un marqueur noir, j'écris des compliments au filles qui passe dans c'est toilette.
Si ça peut leur remonter le moral, en voyant sa, plus de filles devraient les faire plus souvent.
Après sa je range mon marqueur, remet ma trousse dans mon sac, et j'attends encore et encore jusqu'à la prochaine sonnerie.
Dans une semaine c'est les vacances vivement, avant j'adorais l'ambiance de Noël, mais depuis j'ai grandi plus rien me rend joyeuses.
Nostalgique, avant j'étais excité comme une puce, d'être à Noël l'ambiance les films romantiques, les chocolats ou je finissais souvent malade.
Mais j'étais heureuse, j'aimerais retourner à cette époque de ma vie ou tout aller bien. Sans problème l'époque où j'avais pas rencontré se fameux garçon.
Si savais un jour sa aller, me nuire, qu'il aller créé c'est rumeurs.
La sonnerie sonne, retour en cours encore.
Vivement la journée se termine.

~ arrivé en cour, les regards continue.~

Et quand mes yeux croisent l'un de leur regard, il détourne leur regard, me sans extrêmement seul, j'ai beau avoir des amis, dans la classe, j'ai aucune amie, tous me déteste, sauf peut-être une personne Dylan.
Mais il finira par me tourner le dos, c'est ce qu'ils font tous pas vrai ?
Sauf si vous tomber sur des vrais amis, des vrai qui vous laisseront jamais tomber.
La prof nous donne un travail a faire avant les vacances.

- salut.

Me retourne au son d'une voix féminine,
C'est une fille assez petite au cheveux noir, noir comme la couleur d'un corbeaux, les yeux marron noir, qu'on se pert dans son regard, habillée d'un gilet gris à moitié ouverte laissant apparaître son épaule, un jogging gris, et une paire de Jordan.
Mais qu'est-ce qu'elle veut ? Elle m'a jamais calculer.

- salut.

- dit j'ai entendu parler de toi...et je sais -pas si tu es au courant...mais ton ex...a -dit des choses sur toi...tout le monde est -au courant tu a coucher avec lui.

- oui je suis au courant merci me le rappeler !!!

- et sa te fait rien ?

- dit moi...tu m'a jamais calculer...et tu -viens me voir pour me dire sa ?

- je voulais juste...

- juste quoi savoir si c'était vrai ?
- tu devrais partir.

Je savais que je ne le reverrais jamais.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant