chapitre 7

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Cette fille retour à sa place tranquillement, le cours continue j'ouvre mon carnet, pour commencer à dessiner.
La prof parlent, qu'on devrait rendre le cours après les vacances, franchement qui a envie travailler pendant les vacances, à part les intellos qui aiment l'école.

- pour ce travail vous devez être en -binôme, et me rendre je travaille après -les vacances.

- ai-je entendu ce qu'elle vient de dire ?

Tout le monde se met en binôme, il ne reste plus que lui et moi évidemment.
Il se place à côté de moi avec un grand sourire, se qui me soule.
- pourquoi tu souris comme ça ?

- parce que je suis joyeux !!!

- joyeux alors la moitié des gens te traite -de détraqué sans cervelle ?

- personnellement je m'en moque.

- vraiment ? Où tu fait sa pour montrer -que tout va bien ?

- Madame Oriana, vous inquiéter pour -moi ?

- non bien sûr que non.

- bien sûr que si !!!

- bon faut qu'on avance la !!!!

- avancer sur quoi ?

- tu le fais exprès !!!!

- ça va pas la peine de hausser le ton.

- ça te dit qu'on mange ensemble ce midi ?

Je le regarde surpris de se qu'il me propose, me regarde croise le siens, c'est yeux sont comment pourrais-je les décrire, on pourrait se perdre rien en croisant sont regard.

- non désolé je mange avec mes amis.

- a parce que tu a des amis ?

- bien sûr j'en ai comparé à toi.

- très bien Madame Oriane, bonne -appetit.

- mon prénom est Oriana pas Oriane.

Le cours est fini, range mes affaires, me dépêche de partir en marche vite sans me retourner.
Me posa par terre seul, avec mes gâteaux, vus j'ai pas d'argent pour acheter à manger. Mais sa me suffit largement, dommage mes amis finisse pas en même temps que moi.

- alors c'est sa pour toi << manger avec tes amis >>

- fou moi la paix !!

Il s'approche de moi, puis s'assoit à côté moi, en rapprochant c'est jambes vert lui.
Il tourne sa tête en m'observant sans rien dire.
- je déteste qu'on me regarde manger !

- très bien j'arrête de te regarder, mais tu -est tellement belle, que c'est difficile de -ne pas tourner le regard.

- c'est moi ou tu es en train de me - draguer ?

- moi non absolument pas voyons.

- que vaut votre présence monsieur -Dylan.

- et bien madame Oriana...je suis venu, -pour vous tenir compagnie.

- me tenir compagnie ? je n'ai nul besoin  de compagni.

Le silence s'installe entre nous, c'est assez gênant, j'observe j'observe son doux visage. Ses cheveux à moitié coiffés, ses yeux verts scintillants, contemplant son profil.
Je détourne le regard, je sais qu'il m'a chopé en train de le regarder.
Il me regarde à son tour, ce qui me met mal à l'aise.
Nous restons silencieux, pendant toute l'heure, de la pause.
La sonnerie retentit.
𝐸𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑐'𝑒́𝑡𝑎𝑖𝑡 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑚𝑖𝑛𝑎𝑏𝑙𝑒.
Nous retournons en cours, les gens du lycée nous regardent, un regard de jugement.

Je n'apprête pas plus d'attention, j'arrive en cours.

- salope !

Et voilà encore un con, qui m'insulte, et évidemment le prof ne dis rien, fais comme si rien ne s'était passé, comme d'habitude, c'est toujours mieux de faire l'autruche.
- tu peux pas te la fermer !!

Je me retourne pour voir qui sa peut bien être, et bien sa m'étonne pas plus que sa, Dylan.
Le garçon lui lance un regard noir, il est plutôt grand je dirais 1m80, cheveux mi-longs noir, habillée de vêtements  oversize.
Il s'approche de Dylan, le pousse d'une violence, il se cogne contre l'armoire grise en fer.
Le prof lève la tête après avoir entendu, Dylan se prendre l'armoire en pleine face.
- calmez-vous s'il vous plaît vous êtes 
- plus au collège !!??

Dylan se tient la tête, j'arrive le rejoindre.
_ ça va !!!

- oui...ne t'inquiètes pas pour moi... c'est -juste une chute.

- il t'a comme même bien plaqué.

- c'est rien...ziggy c'est juste un abruti.
- dit le moi...haï...si il te chercher des -problème.

Je l'aide à se relever, le prof me demande de l'emmener à l'infirmerie, nous prenons chacun nos affaires, puis quittons la salle de classe.
Il se tient la tête, toujours aussi mal, en même temps la chute qu'il a fait.
- c'était vraiment courageux de ta part en -tout cas.

- dit le moi, si il t'insulte, il a pas à te -traiter comme ça.

- oui je te le dirait.

On arrive à l'infirmerie, j'ouvre la porte, je me retourne en attendant dans la salle d'attente.
- elle va te donner un sucre.

- ou un Doliprane dégoûtant.

- Aïe...ma tête.

L'infirmière ouvre la porte, prend Dylan.
- tu peux retourner en cours !
Je quitte la pièce, traversant la cours, toujours le vent glacial, qui me gèle le visage.

Je savais que je ne le reverrais jamais.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant