Chapitre 7

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PDV Samar 

Je me réveille d'un lit qui n'est pas le mien. Que c'est-il passé. je m'en rappel seulement avoir été au poste de police et avoir retrouvé Klaus. J'ai horriblement mal à la tête. Je me lève du lit et part explorer l'endroit où je suis. Quand soudain j'entends un cris qui provient d'une des chambres à côté. j'ouvre la porte d'un coup. Je me mets à trembler face au spectacle qui s'offre à moi. 

Klaus qui est assis sur une chaise, les mains et les pieds ligotés. Et également Suleyman assis sur une chaise à côté. Cinq hommes leurs font face. Couteau à la main, Amir se tient devant lui. Par terre, une mare de sang. J'inspecte mon meilleur ami il n'a rien pour l'instant et je vois Suleyman, son visage et son torse striés de coupures. Je plaque ma main sur mes lèvres et tente de reprendre ma respiration. L'odeur et la vue du sang ne me facilite pas la tâche. Ce que je redoutais se produit, Amir et ses hommes se retournent en même temps tandis que Klaus et Suleyman me font les gros yeux, comme pour m'inciter à partir. 

Je les ignore tout les deux et regarde Amir, rassemblant tout mon courage. Mais lorsque son regard d'acier transperce le mien, je perds tous mes moyens et détourne très rapidement les yeux. 

- Je croyais t'avoir prévenue quérida, dit-il , n'essaye pas de me fuir car je te retrouverais peu importe la où tu te trouve. 

Je tremble de la tête au pied, puis récupère le maximum de mes forces pour parvenir à lui dire.

- Je t'en prie laisse les partir.

Amir sourit de toutes ses dents, jonglant avec son couteau sans même se couper.

- Ou sinon quoi ?

Je ne répond pas. Amir fait un signe à ses hommes qui désertent la place la seconde d'après nous laissant tout les quatre. Ce dernier s'approche de moi, je recule et me cogne contre le mur derrière moi. 

- Faut que je te fasse quoi pour que tu comprenne que dans cette ville personne n'enfreint mes règles. 

Je ne dis rien. De toute façon, il n'attend aucune réponse. Il sait très bien l'effet qu'il me fait : Il me terrifie. Je le vois se reculer et prendre son arme Klaus au bout du canon. De son côté mon ami tremblait tant que la chaise bougeait avec lui.

- Arrête, dis-je sans réfléchir.

Amir reste immobile quelques secondes puis finit par se retourner vers moi. 

-Arrête je t'en pris Amir. ne les tue pas, je ferais ce que tu désire , tout ce que tu voudras juste lâche les. Dis-je pour la première fois son prénom 

Amir paraît réfléchir l'espace d'un instant. Le canon de son arme est toujours posé contre la tempe de Klaus. Il finit par baisser son arme. le regard indescriptible. 

- Bien, messieurs vous avez de la chance je vais vous libérer et n'essayer pas de retenter l'expérience une deuxième fois au risque que vous n'ayez plus de membres. Elijah ! Tu peux rentrer viens donc les récupérer. 

Elijah entra dans la chambre et pris avec lui les deux hommes qui étaient attachés aux chaises.

- Maintenant à nous ma beauté. Belle tentative pour s'échapper -dit Klaus

- Vous savez ce qu'on dit, la peur entraîne l'instinct de survie.

Sa main large et dur viens doucement jusqu'à mon cou.

 "Samar était parcourut de frissons contradictoires"

- Tu te sens en danger cara ? 

- Oui. 

- Je ne fais pas de mal aux femmes, jusqu'ici tu n'a ni été battue ni même attachée, bien que l'idée commence peu à peu à faire son chemin. 

- Que m'as tu fait pourquoi je me rappel de rien ? pourquoi as-tu frapper autant ton propre frère ? 

- Je t'ai juste endormis le temps que je m'occupe de la situation dans laquelle tu t'est mise. Quant à mon frère il l'a mérité. Il est venue te libérer. Il a osé entrer par effraction dans mon appartement. Il est aller contre mes règles - dit-il en colère

- Vous manipulez donc même la police de cette ville. 

- Effectivement ce sont  mes hommes toute cette ville m'appartient viens tu juste de le comprendre ma douce ?

- Je vois.. je n'avais donc aucun moyen de m'échapper pensa-t-elle. Ou sommes nous donc maintenant ?. 

Nous sommes dans l'une de mes plus grande demeure. Vous n'avez aucune chance de sortir d'ici, je n'aurais comme ça aucune raison de m'en faire. Ma propriété est vaste, il y a des caméras partout et mes hommes surveillent chaque recoins de cette propriété. 

PDV Externe

Il s'approcha d'elle et effleura ses cheveux avec son index puis se pencha pour être près de son oreille. Une odeur de jasmin couvrit son odorat et il ferma les yeux pour savourer ce délicieux parfum sans même s'En cacher. Sa belle prisonnière possédait un redoutable charme qui n'avait pas manqué de faire parler. l'idée qu'Elle pourrait lui appartenir lui procurait une sensation à peine avouable. 

- Pourquoi tient tu donc tant à me garder ?

- Contentez vous d'apprécier d'être traitée avec bienveillance et quand je l'aurais décidé. Vous serez libre. 

- Mais quand !!! Lorsque j'aurais 90 ans ?!

Amir éclata de rire. 

- Sois sans crainte, je te promets de te libérer avant tes 60 ans. 

Elle sait ne pas si elle devrait le prendre au sérieux.

- Maintenant que tu as compris la leçon. Viens donc que je te fasse découvrir ma deuxième demeure. 

Elle le suit sans rispoter. La maison était très grande, un grand salon, cinq chambres en haut et un magnifique jardin. Il y'avait également une bibliothèque pour le grand bonheur de la jeune femme. Elle se disait étant donner qu'elle restera là pour une durée indéterminée elle pourra profiter de la grande bibliothèque de prince, elle qui adore lire. 

- La visite est terminée. J'espère qu'elle te plait.

- Elle est incroyable. Combien as-tu de demeure ? 

- J'en ai plusieurs, dans toute la ville. Cette ville m'appartient et cette maison m'appartient et tout ce qui s'y trouve m'appartient également. dit-il avec plein de sous-entendu. 

- Je ne t'apartient pas. dit-elle fermement

- J'ai bien dis tout ce qui se trouve dans cette maison m'appartient. Y compris toi ma douce... 


Captive d'un amour interditOù les histoires vivent. Découvrez maintenant