PROLOGUE

662 10 7
                                    


(je vous conseille de mettre la musique "Candy" de Doja Cat pour encore plus d'effet, bonne lecture ! )


Il fait froid, je sens que je vais tomber malade. Je marche dans les rues illuminé de Manchester, il est 1h du matin je viens de sortir chez moi en cachette pour fuir les disputes de ma tente et son amant, j'avais besoin de prendre l'air

encore quelques années a tenir

La rue est silencieuse hormis les bars encore éveiller ou certains de hommes a l'intérieur me reluque, je commence a accéléré de marcher, j'arrive dans une ruelle sombre illuminé par quelques lampadaires dans le coin, je m'apprête a traversé la route quand j'entend des des bruits de moto, Le bruit se fait entendre dans toute la ville, je tourne la tête sur ma droite et une voiture noir apparait sur le virage entrain de rouler a toute vitesse à la poursuite d'un homme sur une moto noir. La moto roule plus vite que la voiture de police ce qui lui permet d'avoir de l'avance, l'homme sur la moto ne porte qu'un t-shirt noir Nike qui remplit ses bras et un jean noir et un casque qui lui aussi est noir, pendant qu'il se concentre sur la route il m'aperçois horrifié en plein milieu de son chemin, on se regarde pendant une seconde de trop et d'un coup sa moto se trouve a terre et se longe sur toute la ruelle, ça a fait un énorme bruit ce qui me horrifie encore plus, il s'en est tiré en se roulant par dessus comme si il avais fait ça toute sa vie, mais la vitesse était tellement grande que il se ramasse aussi.

c'est de ma faute, je viens de le faire tomber, et si il était mort ?

j'entend le moteur de la voiture prête à arriver d'une minute à l'autre quand l'homme de la moto enlève son casque et je vois son visage. 

Il me regarde comme si il avais oublié que je me trouvai là, il fronce les sourcils énervé et se lève et se dirigeant vers moi, je suis tellement paniqué que je reste figé sans rien dire, il n'y a personne autour, il me prend par les épaules d'une force incroyable et me plaque contre le mur d'un petit passage sombre, je pousse un cri de stupéfaction et il met sa main sur ma bouche, je sens comme un gout métallique sur mes lèvres,

Son sang.

on est comme presser l'un contre l'autre, son parfum s'empare de mes narines et je commence a sentir une bouffé de chaleur m'envahir, les larmes me montent et j'ai comme un gout métallique entre mes lèvres, la voiture s'arrête près de la moto et deux homme en ressort, 

-merde il nous a encore échappé, dit l'un d'eux d'un ton de rage

Encore échappé ? 

je sais pas qui sont ces hommes mais ils n'ont pas l'air de rigoler

pourquoi il m'a conduite ici ? il va se venger ? que va t-il me faire ?

On reste silencieux jusqu'à ce que les hommes se barre en prenant des photos comme preuves et en appelant un numéro pour se débarrasser de de la moto toute cassé je suis pose ?

-ON TE RETROUVERA EVERHART !

je sursaute et il le remarque et me fit une expression du genre "bouge pas" 

Les deux hommes remontent dans leurs voitures et se barrent,

Il enlève soudain sa main de ma bouche et me scrute un petit moment avant de se barrer du petit passage, il se dirige vers sa moto qui est a quelques mètres de nous et se baisse pour regarder les dégâts, 

Il reste quelques minutes assis sur son genoux a regarder sa moto avant qu'il ne soupire

-pourquoi tu m'a prise avec toi pour te cacher ?

Ma question est sorti de ma bouche sans réfléchir, je regrette déjà de l'avoir posé.

Il ne se retourne pas et fait mine de ne pas avoir entendu ma question

-Tu a vu mon visage, me répond t-il froidement

Je sent mon visage devenir tout blanc, il va me tuer ?

Il se retourne et se dirige vers moi d'un pas déterminé, il s'arrête a quelques centimètre de moi et me regarde de haut en bas.

-qu'est ce que je vais bien pouvoir faire de toi ?

Ma respiration se coupe et j'ai été sauvé par le bruit d'un camion qui vient surement pour se débarrasser de sa moto.

Il me regarde encore un instant prêt à se volatiser et me chuchote

-je vais te retrouver

avant de se fondre dans le noir, je reste figé quelques secondes choqué par ce qu'il vient de me dire et de m'arriver tout court.

 Quand le camion se gare a coté de moi, la vitre descend et un homme plus âgé me dis 

-Mademoiselle vous devriez rentrer chez vous

Il a surement raison, je ne prend même pas la peine de réfléchir quand je commence à courir en direction inverse pour aller chez moi, 

Je fuis un problème pour en rencontrer un autre, c'est comme ça que ce résume ma vie.


EverhartOù les histoires vivent. Découvrez maintenant