Partie sans titre 47

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-Je suis là bébé ... Je suis là . C'est fini. Me dit Lake en se précipitant sur moi.


Je pleure toutes les larmes de mon corps contre lui . Lake essaye de tirer comme il peut sur les chaines qui sont impossibles à rompre.


-Mon amour , autour de son cou , la clé est autour de son cou. Lui dis-je en parlant au ralenti.


Le fait qu'il voit que j'ai était drogué affect encore plus sa rage. D'un coup sec il lui arracha le collier est saisie la clé.


-J'ai prévenu la police avant d'arriver ma chérie, ils seront là d'une minute a l'autre.


-La...Lake... derrière... toi.


Le bruit des chaînes couvre ma voix. L'ombre de mon père qui se tient dernière Lake en essayant de rester debout approche. Je touche le sol en m'emparant de la pierre que j'avais cachée sous terre, je plaque Lake contre moi en le retenant par mon bras . Mon père marche encore d'un pas muni d'un morceau de verre a la main , avant qu'il atteigne Lake la pierre que j'ai transformée en arme tranchante , lui transperce le ventre. Je m'accrochai au cou de Lake il m'emmena a l'entrée de sa voiture. Les gyrophares des voitures de police est des ambulances nous éblouie. La police encercle le bâtiment armé . Le sang qu'a perdu Bryan en essayant de s'enfuir leur on permis de le retrouver assez rapidement. Je suis prise en charge sur place , ainsi que mon père qui n'est toujours pas mort , je réglerais ce petit détail plus tard. Il part aussitôt sous escorte policière à l'hôpital le plus proche dans un état critique.


-Vous êtes plus fort que nous Monsieur Kipson. Dit un policier.


-Vous savez que j'aurais retourné la terre pour la retrouver , j'avais installé un logiciel de localisation sur son portable et j'ai reçu un signal ce soir .


Quelque heures plus tôt Bryan avait allumé mon portable malencontreusement , ce qui ma sauver, je n'étais pas au courant de ce logiciel, mais je ne remercierais jamais Lake de me l'avoir installé. Je suis perfusée et sous oxygène , nos mains ne se lâchent pas. Mes affaires sont couvertes de terre , mes cheveux sont un vrai sac de nœuds , et je ne parle même pas de ma tête. Les mots sortent mollement de ma bouche , ils ont dû mal a me comprendre, et j'ai beaucoup de mal a m'exprimer , les médicaments m'ont complètement engourdi. Je souhaite la mort a personne , mais certain le mérite , et la trouvons avec ou sans mon aide. Les jours de mon père sont dorénavant comptés pour de bon.

Les contraires s'attirentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant