Partie sans titre 53

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La police a toujours ignorais cet endroit , et moi j'avais préféré l'oublier. Avant mon placement,les psychologues m'ont posé des questions sur mes conditions de vie. Mon père c'était jurer de tué ma mère si je révéler cette zone, pour un enfant sa maman est absolument tout même quand c'est la pire. Mon père a dû se cacher là-bas pendant sa cavale. Je n'ai jamais eu la réelle réponse à ma question principale. Pourquoi ai-je était autant détesté ?Comment des parents peuvent faire preuve autant d'inhumanité envers leurs enfants ? La prison n'a fait qu'envenimer sa colère envers moi alors me que sa peine il l'avait mérité amplement et se que je lui ai fait aussi. Lake insista pour que nous , nous y rendions. Sadique comme il est il a dû tout laisser en place , y compris les cartons qui me servait de lit. Étant enfant je n'avais pas le droit de parler , ni de lire , ni de jouer , j'étais privée absolument de tout divertissement, j'étais punie même quand j'éternuer , quand j'ai commençais a grandir mon père me m'était dans cet endroit parfois pendant plusieurs jours , je prenais beaucoup trop de place dans leurs vies déplorables. Ma mère buvait des quantités de litres d'alcool, la mort la frôlé plus d'une fois. Mais sont sort a était encore pire que lui. Après quel soit condamné a finir sa vie dans un centre psychiatrique , toute notion de souvenir se sont évaporé les médicaments on eu un effet irréversible , a l'heure actuelle elle ne sait plus comment elle s'appelle, elle marche dans les jardins du centre , comme un lion en cage a faire les 100 pas, bien qu'elle ne met fait jamais de mal elle a était témoin et n'a jamais rien fait pour me protéger. Je garde en mémoire les innombrables supplices de ce monstre. L'eau bouillante qu'il me déversait dans ces colères , les nombreux coups de ceinture , les brûlures en tout genre qui ont marqué mon corps , les coups qui ont finis par me plonger dans le coma et mon sang qui couler encore et encore... J'appréhende la réaction de Lake , surtout si tout est resté intact . Des anneaux étaient accrochés au mur pour m'attacher, je dormais au milieu de pneu et de bouteille vide de peinture pour carrosserie , pendant que mes parents dormaient tranquillement chez eux. 

-Nous y sommes. Dis-je à Lake embrumé. 

Nous marchons main dans la main sur un petit sentier avant de rejoindre le garage. Plus nous approchons et plus chaque trait de son visage devient rigide . L'endroit s'est transformé en une grande décharge , les épaves de voiture sont de paysages. Derrière cette décharge la porte défraîchie est apercevable parmi les herbes hautes qui la recouvrent. Lake serre mes doigts tremblant , j'ai une boule au ventre mes pieds traîne a l'approche de cette entrée qui a rempli mes années de martyre. 

-Bébe , attends-moi là si tu préfères. Me dit Lake d'une voix consolante.

-Ça va aller ... je viens. 

La clé correspond à la petite porte qui relie le garage. La porte demi-ouverte l'odeur de macération et insoutenable , nous devons descendre quelques marches en pierre avant de rejoindre le garage , de l'eau coule sur les parois du mur , des champignons sont apparent sur toute la surface du plafond , le sol est pâteux , et cette odeur de pourrissement mélanger a la moisissure et l'humidité , me prend à la gorge. Lake recouvre mon nez avec le col de mon pull. Il utilise le flash de son téléphone pour avancer. Je me niche aussitôt dans ses bras quand je constate que rien n'a changé de disposition depuis que j'ai quitté cet endroit , mes dessins crée avec les bouts des allumettes sur le sol , les cartons qui me servait de couchette ,la bâche de couette , et un de mes t-shirts. La seule chose qui a changé ce sont les cartons sur l'étagère en métal. 

-Ce n'est pas un garage, c'est une cellule de confinement ! Putain ... ma chérie ... Je ne peux pas supporter de voir ça ! Dit-il hystériquement. 

Lake me lâche et se mit à mètre tout en dessus dessous en explosant tout ce qui lui venait à la main , contre le mur. Les cartons s'éventres au sol , avec une tonne de documents qui en sort. 

-Lak arrête s'il te plait ! Dis-je en les ramassant. 

-On part tout de suite ! De cet endroit ! Maintenant ! 

-Lake regarde ça! Lui dis-je choquer. 

Les contraires s'attirentOù les histoires vivent. Découvrez maintenant