Genshin Impact x Mâle reader [TERMINÉ]

🔥 Diluc x Mâle reader 🔥

Pour PRETTY-charlie--

Merci pour ta commande et bonne lecture !
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Le jour où le père de Diluc est mort, tu étais présent.
Tu n'avais jamais vu celui-ci dans un tel état de désespoir. Tu les avais accompagné ce jour-là.
Depuis le jour où Maîtres Crepus quitta ce monde, Diluc ne fut plus le même. Il quitta l'ordre des chevaliers de Favonius dont tu faisais aussi partie et disparu pendant de nombreuses années.
Toi qui étais la personne la plus proche de Diluc, il ne t'en n'a même pas informé. Tu te dis qu'il avait sûrement ses raisons de partir comme ça sans en informer personne, mais au fond de toi tu étais triste.
Ta détermination en redoubla et tu devins très vite un capitaine des chevaliers.
La disparition de ton amant t'avais chamboulé et tu t'étais désormais entièrement consacré à ton entrainement et à ton travail.
Tu travaillais comme un forcené pour oublier.
Aujourd'hui, tu étais devenu l'un des capitaines de Favonius, et étant cela, ton travail s'était intensifié en plus de la paperasse à faire sans cesse.
Diluc était finalement revenu, mais il n'était plus le même. Il se consacrait entièrement à son travail aussi.
Il avait bien essayé de te parler, mais tu l'avais complètement ignoré.
Un beau jour, le soir arrivait et tu venais enfin à bout de la pile absolument gigantesque de papier qui trônait sur ton bureau. Kaeya entra alors dans ton bureau après avoir toqué à la porte.

Kaeya : Hey. Besoin d'aide.

Toi : Si c'est dit sérieusement, je veux bien.

Kaeya : Heureusement pour toi, c'est le cas.

Kaeya t'aidas alors avec tous tes papiers, et la pile se termina plus rapidement que quand tu le faisais tout seul.
Quand ce fut fini, tu t'affalas contre ton fauteuil bien confortble et regarda Kaeya.

Toi : J'imagine que c'était pas gratuit ?

Kaeya : Quoi ? Comment oses-tu penser cela de moi ? Je ne vois pas du tout de quoi tu parles.

Toi : Mouais. Bon vas-y, dis.

Kaeya : Tu veux venir boire un verre ?

Toi : Tu sais que je ne bois pas d'alcool.

Kaeya : C'est pas bien grave ça ! Tu pourras boire autre chose.

Toi : Bon c'est d'accord. J'imagine que je te dois bien ça.

Kaeya se fit un geste de la victoire sous ton oeil désespéré de ton meilleur ami.
Vous êtes alors sortis du quartier général de l'ordre, Kaeya te coinçant sous son bras et te frottant la tête avec son poing.

Toi : Aïe ! Mais aïe ! Arrête abrutis ça fait mal !

Kaeya : Oh excusez-moi votre sublimissime altesse. Veuillez excuser mon manque cruel de délicatesse envers la princesse.

Toi : Nan mais-

Tu lui flanquas une bonne tape derrière la tête du revers de la main.

Kaeya : C'est pas gentil ça !

Toi : Je t'aime aussi.

Tu avais un air moqueur tandis que Kaeya se plaignait de toi en criant. Tu riais de bon coeur.
C'est alors que vous vous rendiez compte que vous étiez arrivés à destination. Kaeya poussa la porte et quelque chose fonça droit vers vous. Kaeya esquiva l'objet, mais tu te le pris en pleine figure. Tu tombas à la renverse de surprise et te frottais le front de douleur. Ce dernier commençait déjà à avoir une teinte bleue et à gonfler.
Kaeya explosa de rire à ta vue.

Kaeya : TU VAS AVOIR UN PRUNEAU À LA PLACE DU CERVEAU MON PAUVRE !!!

Et il riait sans s'arrêter. Tu regardas l'objet qui avait été lancé et remarqua que c'était une choppe de bière. Tu regardas aussi droit devant toi qui était l'auteur de ce lancé et c'est alors que tu vis ton ancien amant se tenir derrière le bar, son bras toujours élancé en avant. Une tête sortis alors de nulle part. C'était Venti, sans doute était-il le principal visé.
Ta mine s'assombrit.

Toi : Désolé Kaeya, je pense que je vais rentrer. Je te paierais un verre la prochaine fois !

Kaeya : Ça marche, rentre bien ! Paume pas ton cerveau pendant le trajet !

Toi : Je t'em***de !

Tu fis demi-tour, rentrant chez toi, avant d'entendre des pas précipités derrière toi.

??? : Attends !

Tu te retournas, et tu vis une personne qui ne t'étais pas inconnue.

Toi : Qu'est-ce que tu fais là Diluc ?

Diluc : Je suis désolé pour la choppe que je t'ai lancé.

Toi : C'est rien. Tu peux retourner à la taverne si c'était juste pour me dire ça. C'était pas la peine de venir.

Diluc : Si justement !

Tu t'arrêtas alors de marcher et te retourna complètement. Tes oreilles étaient grandes ouvertes.

Diluc : Il n'y a pas que pour ça que je voulais m'excuser. Je te demande pardon d'être partis, j'aurai dû te prévenir, j'aurai dû t'en parler ! Mais je savais que si j'allais te voir, je ne pourrai plus partir parce que j'aurai eu envie de rester.

Toi : ...

Tu restais silencieux. Il continua.

Diluc : J'aurai dû venir t'en parler dès le début, de mes intentions, de ce que je ressentais. Mais j'en étais incapable. Je voulais absolument tout faire par moi-même et surtout, à ce moment-là, j'étais aveuglé par la haine. Je ne voulais pas que quelqu'un soit mêlé à tout ça, en particulier toi, parce que je n'avais pas envie que tu sois en danger par ma faute, je n'avais pas envie de te perdre...

Il était redevenu silencieux. Tu te mis à avancer et tu le pris dans tes bras. Il accepta ton étreinte et t'en fis une à son tour.

Toi : Je voulais que tu viennes me parler. Je voulais que tu t'avoues à moi, que tu te confies. Je ne voulais pas que tu rumines et que tu fasses de mauvais choix tout seul dans ton coin. Je te tendais les bras, mais à la place, tu as décidé de partir sans rien dire à personne, même pas moi. Je t'aime Diluc, ça c'est sûr et certains, et c'est justement quand tu es partis que mes sentiments étaient les plus clairs. Diluc, je t'aime. Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime. Et sache que je ne te laisserai jamais tout seul.

Tu sentis Diluc trembler mais il te serras un peu plus contre lui.

Diluc : Je t'aime aussi T/p. Et sache que je te remercie du fond du coeur.