Un Noël magique, pas si magique

Chapitre 11 Draco et Harry

Drago se prépara à partir quand soudain Harry lui attrapa le bras pour l'empecher de partir. Dans les yeux du bruns, de la peur ce faisait lire, dans les yeux du blond, de la détermination ce faisait lire.

- Tu ne sais même pas qu'elle est cette objet.

- Tu ne veux pas me le dire, alors comme puis-je savoir ?

- C'est un cadeau que j'ai trouvé sur le marché, que je voulais t'offrir. C'est pour ça que je ne veux pas te le dire.

- Je comprend, mais tu n'iras pas le chercher !

- tu n'as qu'à faire le garde et moi je vais le chercher !

- On en à déjà parlé, tu n'iras pas la-bas.

- S'il te plaît, je veux t'aider.

- Et moi je ne veux pas de ton aide.

- Pourquoi ?

- C'est beaucoup trop dangereux.

- J'ai survécu à voldemort, pourquoi je ne pourrais pas survivre à un moldu ?

- Un moldu ? Comment le sais-tu ?

- Il a vu ma baguette, et il me la laisser. Si c'éttait un sorcier il me l'aurais enlevé car il saurait que je pouvais m'en servire pour partir.

- Tu avais ta baguette et du est rester autant de temps ?

- Elle est casser.

- J'imagine qu'elle les toujours. J'ai infiltré la police moldu, je peux y envoyer des hommes pour arreter cette personne malsaine.

- Mais ils vont pas vouloir que je recupaire ton cadeau.

- Si c'est un moldu et qu'il n'est pas au courant pour le monde sorcier, les sorciers ne doivent pas s'en mélé.

- Pourquoi ?

- Il y a trop de chance pour qu'il découvre notre monde. Qu'est-ce que tu voulais m'offrir ?

- C'est une surprise normalement. Le but d'un cadeau c'est de ne pas dire ce que c'est avant que là personne ne les vu, sinon ce n'est pas un cadeau. Je veux t'accompagner. Même si ce n'est pas pour récuperé le cadeau, je ne veux pas que tu y aille seule.

- Tu vas me compliqué la vie plus qu'autre chose.

- Alors vas-y avec quelqu'un d'autre.

- Qui ?

- Je ne sais pas moi. Tu n'as pas un ami qui peux t'aider ?

- Potter, on à pas tous des amis géniaux sur lequel on peut compter pour tout et n'importe quoi.

- Désolé pour toi.
- Tu n'as pas à être désolé.
- Ron peut t'aider ?

- Je doute que m'a présence lui plaise. Il ne m'aime pas et je ne l'aime pas, je ne vais donc pas travailler avec lui.

- Moi aussi tu ne m'aime pas, pourtant tu m'aide, et tu fais beaucoup plus de chose que prévu. Tu était sencer juste m'ébérgé une nuit et là, tu me prépare à manger, tu vas m'acheter des nouveau habits, tu es même aller nettoyer mon appartement et tu me dis que je peux rester autant de temps que je souhaite. Alors pourquoi tu moi et pas Ron?

- Toi, c'es...

-C'es?

-C'es pas pareil.

- Comment ça ?

- Je... J'ai des services à te rendre, à lui non.
- Qu'elle service ?
- Quand tu m'as souver dans la salle sur demende. Je n'est jamais pu te remercier.

- Ron à sauver Blaise, et je les fais car tu ne m'a pas dénoncer à Bellatrix.

- Je ne t'es pas dénoncer à Bellatrix car je ne voulais pas mourrir.
- Comment-ça ?

- Si j'aurais dis à Bellatrix que c'éttait toi, ils l'aurais appelé et si ce n'était pas toi il m'aurait tué.

- Alors si ce n'est pas Ron c'est moi qui t'aide. 

- Non, je veux y aller seul. Je ne veux pas me retrouver avec un service en plus à rendre.

- Si tu me laisse, tu n'auras pas de service à me rendre, c'est plus moi qui dervais t'en rendre un car tu y es aller pour moi.

- Blaise, peut-être qu'il pourrait m'aider. Et il cacherait le cadeau pour pas que je le vois, comme sa, sa reste une surprise.

- C'est une bonne idée.
- J'ai perdu contacte avec lui depuis trop longtemps.
- On peut demender à Hermione, elle pourrait retrouver ça trace. 

- Non, je ne veux pas la déranger. Je connais un aitre moyen.

- Dis-moi tout.

- Je vais lui envoyer une lettre, et suivre la chouette.

- Cette fois, je viens avec toi.
- Tu devrais te reposer.
- Depuis quand tu prends soin de moi ?

- Depuis hier.
- J'aime bien, continue.

- Donc si tu veux que je continue, reste ici.

- D'accord, mais tu me fais un chocolat chaud avant de partir.

Harry s'installa dans le canapé en cuire, allume la télévision moldu pendant que Drago préparait le chocolat chaud. Puis il écrivat la lettre, et parti sur son balais.

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