3 : Pousser à bout

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Mitsuri n'arrivai pas à dormir dans le lit fade du domaine des papillion. Car oui elle y était car elle avait son poignet gauche casser et cela l'insuportait, elle d'habitude qui avait une force décuplé se retrouve avec un poignet casser et des égratinures. Elle soupira puis se leva en silence, à côté d'elle se trouvait Rengoku-san qui dormait à point fermé. Elle se glissa hors du domaine des papillions il faisait déjà jour et elle balaya tout le grand jardin du regard. Instinctivement sans se rendre compte de ce qu'elle faisait, elle appellait quelqu'un.

« Obanai-sann !! » elle courrut dans le jardin pour essayer de le trouver.

Le poignet de la demoiselle avait une atèle fait avec un drap. Elle trouva le fameux Obanai perché en haut, il descendu en voyant Mitsuri le regarder.

« Que.. Que me veux tu Kanroji-san ? » dit il légèrement surpris qu'il cacha une seconde après.

« Je voulais te voir et te remercier pour l'entrainement avant ma mission avec Rengoku-san. »

Sans prié garde Obanai se fit enlacer chaleureusement par la pourfendeuse jiovale qui souriait et grimaçait encore un peu à cause de son poignet. Obanai lui resta droit comme un piquet à la fixer avec de grand yeux hauri. Elle le lâcha et affichait un énorme sourire pour le jeune homme de vingt-un ans.

« Tu ne devrais pas être gentille à ce point avec ton rôle de pilier.. Tu sais Kanroji ? » dit il un peu partager entre deux émotions

« Vous êtes tous très sérieux et avec peu d'émotion.. Cela fend mon petit coeur de voir mes collègues de moins en moins avoir d'humanité. Pas toi ? » dit elle avec un sourire mélancolique devant lui

Étrangement pensa Iguro Obanai en regardant le sourire triste que faisait la rose et verte cela lui fit un petit pincement sur sa poitrine. Il secoua sa tête et garda son expression neutre.

« C'est normal de perdre pied avec l'humanité, tu deviendra comme nous au fur et à mesure tu vas voir.. »

« Non ça jamaia sa n'arrivera ! Je veux être celle qui s'exprime pour vous tous ! » elle rougit un peu en fronçant les sourcils tout en mettant sa main droite sur sa hanche.

« Si tu le dis.. Ne meurt pas alors pendant une mission. » dit il avant de lui tourner le dos et de partir vers son domaine du serpent.

Mitsuri resta une bonne dixène de minutes sous l'arbre où était perché Obanai-san. Elle reparti au domaine des papillions pour se reposer.

Le lendemain

Mitsuri avait l'impréssion que Obanai la fuyait plus que lui dire qu'il est occupé. Elle avait bien remarquer que Obanai fuyait souvent Shinobu et cela l'intriguait énormément. Mais pas le temps pour ça elle devait faire un entrainement de guérison avec Kanao, Aoi. Elle découvrit ô combien elles étaient agile et rapide et cela lui faisait sourire.

Une fois cela passer la demoiselle pu faire une méditation près de la marre du jardin, elle inspira et expira délicatement en gardant les yeux fermer.

« Kanroji-san ? Tu m'as l'air pas très flamboyante » dit une voix grave derière elle qu'elle reconnu facilement.

« Non.. Je suis flamboyante je vous l'assure Rengoku-san » dit elle en bafouillant le rouge lui monta aux joues.

« C'est pas bien de mentir tu sais.. Tu peux me parler de ce qui va pas ? » dit il en se mettant assit à côté d'elle.

« Hé..hé bien c'est juste que.. Je suis faible- mais aussi que plusieurs piliers m'évite tous sauf Shinobu et vous. » dit elle en ouvrant ses yeux qui luise de manière triste en observant son collègue le pilier de la flamme.

« Tu peux me tutoyer et pour nos amis, je penses qu'il suffit de leurs montrer que au contraire tu n'es pas faible. Tes sentiments sont ta force ne l'oublie jamais » dit il avec un grand sourire pour son amie.

Après ses mots Rengoku parti en silence la laissant réfléchir à ses dires. Elle soupira et regarda l'eau clair en cherchant des réponses avant de se souvenir de sa mère et sa soeurs, des mauvais souvenir remonte oui.. Elle baissa la tête et ses lèvres tremblait un peu avant de serrer sa main droite libre au point de enfoncer ses ongles dans sa peau. Elle se lèva et décida de s'entrainer dur plus dur que le mois dernier. Bien entendu en utilisant sa main droite et ses jambes pour l'entrainement.

« Souffle de l'amour première forme, pluie d'amitiés » dit elle son katana dans sa main droite.

Elle déchiqueta le manequin en silence et rangea son katana rose dans son étuie toute silencieuse. La demoiselle soupira et reparti se reposer sans ranger son carnage, elle allait leurs montrer, elle l'avait juré. Et elle ne reviendrait pas sur ses dires.

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[ L'amour comme à la guerre ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant