« - L'un est séducteur, paisible, l'autre, un démon désordonné. »
Cette histoire commence seulement quelques année après la création du Bonten. Je ne suivrais pas le cours de l'histoire il n'y aura donc pas de spoil des scan.
Les personnages appa...
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« Je me sens à ma place quand nos cœurs s'enlacent. »
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Moi : Pourquoi tu portais ce masque Haru ? Dis-je après lui avoir retirer, je le mets dans la poche de ma veste et replace mes mains sur ses deux joues en gardant mes yeux encrés dans les siens. Il ne me répond pas et se contente de me regarder de sa hauteur, les joues légèrement rosées.
Me retrouver de nouveau avec lui fait fondre mon cœur, pouvoir le toucher, sentir de nouveau son parfum, admirer ses yeux que j'aime temps, je me rends compte à présent à quel point tout cela m'avais manquer.
Quelle idiote je suis, Haru n'est pas Shota, même après l'avoir abandonné il est quand même venu tout de suite pour me sauver. J'ai fais la pire erreur de ma vie en partant loin de lui alors que j'avais enfin l'opportunité d'être heureuse à ses côtés.
Sanzu : assied toi.. dit-il en retirant doucement mes mains de ses joues, il faut que je soigne.. je m'exécute, mais je ne compte pas lâcher l'affaire. Une foi assise entre les deux lavabos de sa salle de bain il commence par s'accroupir devant moi pour soigner mes plaies au genoux.
Moi : dis ? L'interpelais-je alors qu'il était toujours concentré face à mes jambes habillées seulement d'un short que j'avais enfilé dans la voiture de Koko. Il me répondit par un simple « hm ? » et je poursuivis. Pourquoi tu portais ce masque ? Insistais-je.
(Active la musique mv.)
Sanzu : pourquoi tu m'as abandonné ? Répondit-il me faisant frissonner ne m'attendant pas à se genre de questions tout de suite. Voyant que je gardais le silence, trop gênée pour l'affronter je l'entendis lâcher un rire nerveux. Je portais ce masque pour ne pas te dégoûter encore plus de moi que tu ne l'es sûrement déjà. Avoua-t-il me laissant sans voix. Je l'observais sans pouvoir être capable de parler, sans être capable de le contredire, alors c'est ce qu'il pensait vraiment ? Qu'il me dégoûtait ? Tu es bien partit pour ça non ? Tes frères m'ont dit que tu n'étais pas amoureuse de moi, je dois te paraître ridicule, à courir à ton secours, à m'accrocher au moindre petit espoir qui pourrait me laisser croire que je me trompe, que tout ce qu'on à vécue toi et moi c'était réel ; dit-il d'une voix douce avec un sourire nostalgique sur le visage. Il se relève et se mets à soigner mon arcade sans me regarder une seule fois dans les yeux.
Il était debout entre mes jambes, ses doigts soignaient délicatement mon arcade sourcilière, ses yeux étaient rivés sur cette dernière concentrés dessus. Alors que moi je le regardais lui, cherchant désespérément son regard, et en me ressassent en boucle ce qu'il venait de me dire. Je ne veux pas qu'il pense ça, je ne veux pas qu'il me vois comme ça, et.. je ne veux surtout pas que lui, il se voit comme ça..
Ma tête vient se baisser une foi qu'il eut finit de s'occuper de mon arcade, il partit chercher un petit pansement pour ma lèvre, une foi de retour entre mes jambes, il relève ma tête en posant ses doigts sous mon menton, et je pu lire la surprise qui l'habitait en voyant mon visage trempé par les larmes que je venais enfin de laisser couler après ce moi entier sans lui à mes côtés. Toute la peine que j'avais ressentit, et que je ressentais encore plus après ses aveux, toute cette tristesse et cette frustration ressortaient maintenant, dans cette salle de bain, avec lui.
