Marrying Mr Billionaire

19

Le POV de Valentina

J'ai un problème, un très gros problème. Tout le temps, tout ce que je fais, c'est tergiverser comme un fou. Je pense tellement que je pense que ma tête va éclater. Je ne sais pas ce que c'est, mais je ne peux tout simplement pas m'empêcher, je pense toujours trop à tout.

C'est ennuyeux.

Me voici, lors d'une réunion d'affaires vraiment bizarre mais sophistiquée. Luca est assis en face de moi, il porte un costume noir et il a l'air si chaud.

J'ai un souffle sur mon visage avec mes mains et je respire profondément, je reçois quelques regards maladroits de deux femmes qui me posent des questions sur la façon dont je vais planifier mon entreprise et ce que je vais faire pour contribuer à tout.

Il y a aussi un homme ici, qui s'appelle Aidan ; riche, célèbre et extrêmement bon en affaires, tout comme Luca. Il donne de très bons points que je prends en compte.

Les filles - je ne connais pas vraiment leurs noms, je pense que celles qui s'appellent Lizzy et l'autre Mel, elles m'énervent toutes les deux. Ils continuent tous les deux à regarder Luca, mon Dieu, je sais qu'il est incroyablement sexy, mais c'est un homme marié, laissez-le tranquille.

Après mûre réflexion, je me souviens qu'il m'a dit qu'il ne me serait pas loyal.

Mais ce n'est pas le but, regardez quel b*tch a le diamant brillant sur son annulaire. Hm, oui, c'est moi.

"Alors, qu'en penses-tu de Val ?" Luca me demande, m'en sortant de penser à tout en mode. Je le regarde, confus, quoi ? Que se passe-t-il ?

« À propos ? » Je me ferme les yeux avec confusion, oh c'est juste embarrassant, peu professionnel, humiliant...

« Écoutez-vous même Mme Marino ? » Ditzy ou Bell me demandent - je ne sais pas lequel. Je la regarde, elle a de longs cheveux bruns, des yeux perçants et une silhouette de mannequin, c'est honteux que son attitude soit juste pleine de laid.

"Eh bien, je ne suis pas sourd." Je marmonne en la regardant, elle roule les yeux et prend une gorgée ou de l'eau. Luca me regarde avec une expression confuse et murmure : "Tu vas bien ?" Pour moi, je lui fais un clin d'œil et un sourire.

L'autre fille, celle aux cheveux roux, me regarde et me coupe les yeux, je ressens de la jalousie. C'est ce que je ressentais il y a quelques minutes.

« Alors Mme Marino. » Aidan dit : "Nous pouvons d'abord commencer par faire un événement caritatif, j'aurai des gens pour passer le mot sur votre idée à travers les médias sociaux, les affiches, tout ce qui élargira et développera votre plan."

Vous voyez, au moins il donne de grands points pertinents.

"Pensez-vous que vous pouvez y aller ?" Les cheveux de gingembre me demandent avec une expression sans émotion son visage, je me demande ce qu'elle veut dire par là. "Je veux dire, tu n'es qu'une fille normale, tu as travaillé comme serveuse, rien de spécial. Comment allez-vous... » Avant qu'elle ne puisse continuer à me dire quoi que ce soit d'autre, Luca intervient.

"Je vous suggère de vous taire." Luca se démène alors qu'il la regarde, je le regarde, eh bien, je suis choqué. "Je trouve votre ton inacceptable et je trouve ce que vous dites à ma femme très grossier et stupide. Excusez-vous."

Putain de papa, c'était *mignon*.

Je le regarde, je lui donne un sourire. C'était vraiment gentil de sa part. Les cheveux de gingembre me regardent et lui mettent des sacs à main sur ses lèvres.

"Je m'excuse Mme Marino, je ne voulais pas vous offenser." Elle dit avec un vrai faux sourire sur son visage.

"Oh, ne t'inquiète pas mon amour, tu ne l'as pas fait." Je lui rends un faux sourire, puis je fais une toux maladroite.

Je peux voir Luca et Aidan essayer de ne pas éclater de rire. Mon Dieu, le drame de ma vie est plus grand qu'un épisode d'EastEnders.

"C'est en fait vraiment bien." Aidan hoche la tête, je le regarde et je souris, du coin de mes yeux, je vois Luca tendu. Qu'est-ce qui ne va pas avec lui maintenant ?

"Donc, la semaine prochaine, nous pouvons planifier un événement caritatif, commencer à tout promouvoir et voir si les gens sont intéressés." Il dit.

"Oui, je pense que ce serait vraiment génial." Je dis avec le sourire. J'ai vraiment hâte de le faire, c'est quelque chose que j'avais en tête depuis un certain temps maintenant et je veux vraiment juste aller là-bas et aider les adolescents, cela signifierait le monde pour moi et pour ceux qui souffrent.

"La réunion droite est terminée." Luca dit nonchalamment : "Nous pouvons décider de tout le reste par téléphone." Il se lève de sa chaise et me regarde, attendant que je me lève. Je me lève juste et je fais la tête, ça ne sert à rien de faire une scène en ce moment et de lui demander de rester plus longtemps.

« Merci beaucoup. » Je dis en joue avec mes doigts : "C'était vraiment utile."

Luca quitte déjà la pièce et je suis derrière lui, le chauffeur nous ouvre la porte et je entre dans la voiture avec lui. Il a l'air un peu en colère, je ne sais pas vraiment ce qui l'a ennuyé maintenant.

Je m'assois à côté de lui dans la voiture, je me mords les lèvres avec anxiété et je le regarde. On dirait qu'il essaie de ne pas briser un mur ou quelque chose comme ça.

Le trajet en voiture est maladroitement silencieux, j'essaie d'entamer une conversation, mais tout ce que j'obtiens de Luca, ce sont des réponses oui et non. Je fais juste de la boue et je regarde par la fenêtre, Luca est un idiot.

Dès que la voiture s'arrête, je me lève et j'ouvre la porte de la voiture. Je sors et Luca le fait aussi. Il ferme la porte, puis nous marchons jusqu'à la porte d'entrée, je porte mes lèvres et je rétrécis les yeux, "D'accord". Je hausse les épaules et je soupire : "Qu'est-ce qui ne va pas avec toi maintenant ?" Je demande à Luca.

Il me regarde et me regarde la mort, il ouvre la porte de la maison et entre, je le suis à l'intérieur, puis il me regarde. « Toi. » Il dit en blanc.

Oh, c'est vraiment utile.

"Qu'est-ce que j'ai fait maintenant ?" Je gémis avec colère alors que je sillonne mes sourcils.

"Vous regardiez Aidan comme si vous vouliez le manger comme un morceau de délicieux mea." Il essaie de continuer à bavarder, mais je l'arrête.

Je me moque et je rigole : "Tu es jaloux." Je lui dis.

« Non. » Il rit et essaie de cacher ses émotions, mais je sais qu'il ment, c'est tellement évident. Je secoue la tête et je me mords les lèvres, pourquoi est-il comme ça ?

"Je ne le regardais pas comme s'il était un délicieux morceau de viande !" Je lui dis défensivement : "Je suis végétariens". Je roule les yeux, en essayant de ne pas rire.

« Quoi ? » Il fronce les sourcils et me regarde avec confusion : "Tu n'es pas végétarien !"

"Eh bien, je n'ai pas faim non plus..." Je dis stupidement, je soupire puis je le regarde. "Vous devez voir un thérapeute jaloux." Je bâille et je m'éloigne de lui.

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Valentina me fait rire - parfois, j'aimerais être plus comme mes personnages fictifs (certains d'entre eux) pas tous...
-hey-baby-