Marrying Mr Billionaire

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Le POV de Luca

"Tout est presque terminé, le plan est en action." Je dis à ma belle femme, Valentina, je lui donne un sourire et elle me sourit, elle allonge sa tête sur ma poitrine et j'embrasse le haut de sa tête.

"Je suis tellement heureux... Elle va enfin obtenir ce qu'elle mérite." Valentina marmonne, puis elle me regarde et grince les yeux : "Est-ce mauvais de ma part de le dire ?" Elle me le demande alors qu'elle sillonle les sourcils.

« Quoi ? » Je ris, je secoue la tête, "Non, bien sûr que non... Après ce qu'elle a fait à mon père, et après ce qu'elle m'a fait, elle le mérite." Je murmure tristement. Les souvenirs de quand elle m'a maltraité reviennent en un éclair. Elle était terrible, elle l'était vraiment.

Valentina s'éloigne de moi et me regarde : "Est-ce que ça va Luca ?" Elle me demande alors qu'elle se mord les lèvres, elle sourit tristement, puis m'embrasse, elle enveloppe ses bras autour de mon cou et murmure : "Vous savez, si jamais vous voulez en parler, vous le pouvez."

Je lui souris, qu'est-ce que j'ai fait pour avoir cette femme dans ma vie... Attendez. Ne me le rappelez pas - je l'ai d'abord mise en enfer. F*ck.

Je suis un peu content de l'avoir fait... Blague. Mais de toute façon, les choses se sont bien passées et sans elle dans ma vie, je ne serais pas aussi heureux que maintenant. Elle est ma maison, la lumière jusqu'au bout d'un tunnel, mon bonheur, mon amour, mon tout.

« Désolé. » Je ris, je secoue la tête et je soupire, elle me regarde toujours en attendant une réponse et je viens de m'endormir complètement. "Je pensais à quel point je t'adore." Je lui dis.

"Je t'aime aussi Luca, tellement." Elle rit et m'embrasse le front.

« Et à propos de la question. » Je déclare : "Non, je préfère ne pas en discuter. Je veux dire, s'il y a un moment dont j'ai besoin, alors je le ferai, cependant, maintenant je veux juste tout oublier et passer à autre chose. Je suis heureux avec vous et je ne veux jamais vous contrarier."

"Arrêtez... Tu vas me faire pleurer." Elle chuchote alors que des larmes commencent à tomber sur ses joues, je les essuie et je rigole, je lui fais un câlin.

« Ne pleure pas. » Je lui murmure : "Dieu, toi et tes putains d'hormones."

Elle me regarde et fronce les sourcils : "Est-ce ennuyeux ?" Elle me le demande.

"Oui, un peu." Je fais la tête et je ris.

Elle rit avec moi et dit : "Mhm, tu es beaucoup plus hormonale que moi, et je suis la femme enceinte."

"Oui, c'est discutable." Je lui donne un baiser sur le dessus de ses articulations.

Valentina s'allonge ensuite la tête sur le canapé et me regarde : "Alors, que va-t-il se passer, vous savez, avec tout cela avec la Bretagne ?"

Je respire profondément et je lui dis tout : "Eh bien, mon père m'a donné des preuves, des documents et tout ce qui prouve que la Bretagne lui a volé de l'argent. J'ai apporté tout cela à mon avocat, il y aura une audience, je ne sais pas quand, mais oui, c'est tout pour l'instant."

"Quand vous saurez le jour de l'audience, vous me le dites, d'accord." Elle me dit : "Je veux être là... Je veux être là quand elle est enfermée, qu'elle pleure, et quand son maquillage coule sur son visage, et quand son botox semble qu'il va exploser."

"Wow." Je ris, je fais la tête, "D'accord, je vais certainement vous le dire."

Je ne peux pas m'occuper d'elle parfois...

« Merci. » Elle me donne un sourire effronté. "Je suis tellement excité." Elle marmonne.

« Excité ? » Je remets en question son mauvais choix de mots.

« Très mauvais choix de mots » - Le Joker.

Elle me regarde et fait la tête, "Ouais, c'est assez excitant."

"Je suppose que c'est le cas." Je dis nonchalamment. "Juste pour voir un peu de justice."

« Oui. » Elle chuchote : "Et un peu de paix."

"Je suis tout à fait d'accord avec vous." Je ris : "Honnêtement, j'ai envie de m'allonger sur une plage avec toi pour le reste de ma vie en mangeant de la pizza."

"JE T'AI DIT QUE LA PIZZA ÉTAIT INCROYABLE !" Elle dit qu'elle crie joyeusement, je saute, que diable, elle m'a fait peur...

"Quel est le vrai f*ck." Je soupire : "Calme-toi, chérie. Vous avez failli me faire une crise cardiaque.

Elle semble totalement insensible à ma réaction, elle hausse les épaules et rit, "Mais je vous ai dit que la pizza est si bonne... Mais vous voulez vos aliments chics."

« Oui ? » Je lève le sourcil droit et je dis : "Ma nourriture "posh" est bonne aussi."

« Oui, c'est le cas. » Elle répond : "Mais c'est comme s'il y avait une énorme assiette chère, puis un petit plat de cul. Ensuite, vous obtenez le chèque et il indique 100 000 £."

Je ris : "D'accord, c'est juste une réaction excessive. Ce serait quelque part au-delà des 50 000 £."

« Quelle est la différence ? » Elle rétrécit les yeux dans la confusion.

« Euh, 50 000 £ ? » Je lui dis d'un ton « duh ».

"Oui... C'est toujours la même chose." Elle rit : "Je pourrais juste aller dans les bonnes affaires à la maison. Prenez des sacs de nourriture, combien cela coûterait-il ? Seulement comme 10 £." Elle me le dit.

"Oui, mais ça n'aura jamais aussi bon goût." Je lui dis.

"Oui, eh bien, je peux vivre d'un hamburger au fromage de 1 £ et d'une cane de 35p de LSV." Elle me dit.

Je secoue la tête : "Tout d'abord, cette merde est méchante, et deuxièmement, c'est mauvais pour vous."

"Hmm." Elle marmonne et fronce les sourcils : "Je suis désolé M. Muscles."

« M. Muscles ? » Je répète, et je ris.

« Oui. » Elle touche les muscles de mes bras et murmure : "Vous avez des muscles". Elle commence à rire, je la regarde, elle est adorable.

"Et vous avez le cœur le plus pur et le plus beau." Je lui donne un baiser sur le front et je lui souris.

"Arrêtez de me faire rougir." Elle me chuchote, puis elle rit.

"Non, vous êtes tout simplement trop magnifique." Je lui dis, je m'accroche à elle, sa peau douce interagit avec la mienne et je ne peux m'empêcher de remarquer la lueur dans ses yeux charmants et séduisants, je l'embrasse sur les lèvres, elle m'embrasse et j'aime juste la sensation de ses lèvres sur les miennes. Elle est à moi.
  
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-hey-baby-