Rouge

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Comme la chance aimais me sourire il n'y avait pas un chat, dans la cafétéria. Seulement son éternel ennemi, la souris. Elle me regarda et commenca a courir (si on pouvais apeller sa comme sa), nayant rien d'autre à faire, je décida de la suivre. Je le regretta assez vite, la scène d'horreur que je vis défiais mes plus horribles cauchemars. J'aurais préférée être dans le couloir de tout à l'heure que d'assister à ce que j'allais assister.

La petite souris courrait dans les couloirs, s'arrêtant de temps en temps pour me regarder, si je m'arrêtais elle fessait de même jusqu'à temps que je me remette à marcher. Je ne connaissais pas le comportement typique des rongeurs mais celle-là me semblais agir étrangement. Après avoir revue la cantine pour la seconde fois, je me sentis idiote de l'avoir suivie. Le muridé s'assis et sentis les alentours, elle repartie en courant comme si sa vie en dépendait. Nous débouchâmes sur un couloir que je n'avais jamais vu, je m'en serais rappeler car les murs peints en rouge me donnaient la chair de poule. Les portes originairement blanches étaient peintes couleur charbon, je me sentais dans une salle de torture, je n'étais pas si loin du compte finalement. Je commençais à me dire que je devais rebrousser le chemin lorsque je fus plongée dans le noir, seule deux petits points rouges me servaient de repère, ce qui ne fessait aucune différence.

Tout à coup, des bruits commencèrent à se faire entendre, on aurait dit des ongles grattent un tableau vert, il n'y a rien de plus oppressant que ce bruit. Je ne pus empêcher un cri aigu de sortir de ma bouche, un cri fit écho au mien. Cette voix ressemblait à celle du garçon, rencontrer un peu plus tôt. Le cri ne s'était pas tu, au contraire, il se rapprochais. Je me recroquevillai en petite boule, les mains sur les oreilles, tenant fermement mes yeux closes. Sans m'en rendre compte, surement en réaction au stress, je commençai à me balancer d'avant en arrière, ça ne pris pas de temps avant qu'un personne m'arrête. La peur fît tressaillir mes entrailles, le hurlement avais cesser mais ça ne changeait rien. Quelqu'un avait stopper ma transe, cela confirmait que je n'hallucinais pas, sa venais d'une chose en vie. Cela avait une main, au moins, car je la sentais sur mon épaule, chaude mais glaciale. Des larmes commencèrent à couler sans que je m'en rende compte.

-Je ne suis point ton imagination, tu as raison. Tu es entrée dans mon repaire accidentellement mais je ne t'y suis pas autorisé. Tu n'as pas pris ma mise en garde au sérieux, concernant la faim du loup. Tu en payeras de ta vie cet incident !

Sa voix était caverneuse, lugubre et remplis de haîne. Sa main était ensanglantée, la rendant visqueuse, tachant mon épaule. Le plus effrayant étais la fraicheur de ce fluide, il semblait émaner de la chaleur. Ce membre se déplaça pour atteindre ma clavicule, il appuyait dessus, de plus en plus fort, elle allait se casser si la pression s'accentuais. J'en étais sûr, la douleur allait finir par me faire perdre connaissance, la mort viendra plus tard. Mon cerveau analysait la situation, tentant de trouver une solution, mais ne trouva rien qui pourrais m'aider. J'étais condamner une fin de souffrance. Je sentis une grande chaleur à l'intérieur de mon corps, étais-ce un signe que j'allais mourir?

Contre tout attente, la pression disparue, je ne sentais plus la personne qui étais là. Je sentais qu'une force en moi m'avais aidé, la chaleur avais déserter mes organes, je ne ressentais plus aucune douleur, un vrai miracle ! Grace a cette force, je vais l'appeler comme sa, j'allais lui mettre un coup de poing au niveau de la tempe et lui écraser mes doigts au niveau de yeux, mon seul but étais de le tuer. J'eu un petit moment de lucidité, je n'avais jamais ressenri une telle cruaté, une telle envie de meurtre et de sang, que m'arrivais-t-il?! Malheureusement et sans avertissement, avant même que je l'atteigne, que je bouge un petit doigts, la force s'envola aussi rapidement que sa chaleur. Ma détermination fondit, comme la neige qui fond lorsqu'il fait trop chaud. Maintenant, des milliards d'étoiles dansaient devant mes yeux, l'évanouissement étais proche. Je priai dieu pour qu'il me vienne en aide. Je l'entendis même me dire quelques mots. Sa voix ressemblais à celui d'une sirène, un doux chant mélodieux.

-Vous êtes stupides de l'avoir amenée la ! Je vous l'avais interdit ! Aidez-moi a le calmer et à la sortir d'ici. Tacher de la sauvé, bande d'idiots !

Quelques minutes plus tard..

Mes yeux s'ouvrirent sur un plafond blanc, ce n'étais pas celui de ma chambre, le mien tirais plus sur le jaune. Mon cerveau commençait à refonctionner normalement, mais les évènements passer restaient flous. Je me rappelle mon nom, mon enfance et de mes parents, ma mémoire à long terme ne semble pas avoir été affecter. Ceux qui m'échappent suivais ma rencontre avec l'étrange souris. Quelque instant plus tard, une infirmière entra, son regard sévère me donna une drôle d'impression.

- À peine arriver à l'académie, vous mettez votre vie en danger. Votre vie ne vous tient pas à cœur mademoiselle ? Pas besoin de votre réponse, je venais juste vous relater les événements passer, vous souffrez d'une légère amnésie.

Je ne savais pas comment réagir tant sa voix me semblais familière, son visage m'était inconnu. Effectivement ma mémoire me fessait défaut, j'avais hâte qu'elle me relate les événements. Selon elle, un camarade m'avait bousculé et je m'étais cogner sur l'une des tables. Son récit ne me convainquit aucunement, il était beaucoup trop simple, j'évita de lui dire ce que je pensais et elle me donna congé.

Les couloirs menant à ma chambre n'avaient pas changé, par contre, les murs de ma suite n'étais plus blanc mais bleu ciel, une odeur de peinture fraiche taquinais mes narines. La petite souris était à l'intérieur, confortablement installer dans mon lit. Je la pris et voulu l'amener à l'extérieur mais un souvenir remonta à la surface.

Je me vis, suivant le petit rongeur, à travers un couloir rouge sang. Je ressentais la peur comme si c'était le présent, une sorte de loup apparut devant moi, ouvris sa gueule et essaya de me manger. Un terrible cri jailli de ma bouche, je me cognai contre la table de chevet, échappant la souris. Celle-ci revint avec un papier à moitié noirci, me grimpa dessus et me regarda. Je ne pouvais faire autrement que de retirer la feuille de papier et de la lire.

L'amnésie est un effet secondaire du

Le loup est inoffensif si

Un jour, je me sauverais d'eux, tu m'aideras grâce a

Aide-moi, je te donnerais la clé qui t'aidera

Il manquait les parties les plus importantes, je ne comprenais rien, je n'avais aucun autre indice. Qui avais laissé cela dans ma chambre et pourquoi ?

Différence Où les histoires vivent. Découvrez maintenant