Flashback

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Je marchais.
Je marchais dans ce long couloir.
Je montais les marches et continua de marcher, traversant la cour extérieure.

Le vent artificiel me caressait doucement le visage.

Puis, je franchis la porte et continua ma route.

J'étais presque arrivé aux habitations souterraines.

Je courue.

J'avais envi de me défouler.

Je me sentais comme un enfant, le sourire aux lèvres.

J'aurais pu m'arrêter pour dire bonjour aux personnes que je croisais mais flemme!!

J'étais trop impatient, comme toujours.

J'avais hâte de le rejoindre , hâte de passer ma soirée avec lui.

Avec le garçon que j'aime.

Je souriais en rougissant et m'arrêta tout juste avant de me prendre une poutre ou autre.

Je n'avais pas eu le temps de lui dire que je venais.

Je courue encore et arriva enfin devant la porte.

Je regardais l'heure sur ma montre. Je m'étais mis en route il n'y a même pas une minute.

Je tocca à la porte et attendit. Retocca et attendit encore.

Encore.

Je finis par entrer quand même, il avait dû ne pas m'entendre. Je me dirigea vers sa chambre sans faire de bruit . La porte était étrangement resté ouverte.

Je rentrai doucement et m'arrêtai net. Les larmes commençant à couler . Il me l'avait promis. Il m'avait promis qu'il ne me tromperait jamais.

Je commençais à voir flou. Mon cœur battait de plus en plus vite et fort juste qu'à se détruire. J'avais la tête qui tournait et commençais à trembler. Je recula et me cogna dans le meuble. Même la douleur ne me réveillai pas.

Le verre tomba et se brisa.
Comme mon cœur.

Ils s'arrêtèrent et me regardèrent. Je vis son expression changer.

Il se détacha de lui et me regarda les larmes aux yeux. Il souffrait et s'en voulait mais ça ne me faisais plus rien. À ce moment-là, je ne ressentais plus rien. J'étais juste vide et détruit. Mon cœur battait à tout rompre tandis que tu mes sens était en alertes mais j'aurais préféré qu'il s'arrête plus tôt que de vivre cette scène.

Je me retournai et partis en pleurant, ne pouvant plus contenir tant de douleur.
Il se précipita pour me rattraper et me bloqua devant la porte.

Kent: Keito, non, attends ! Laisse moi t'expliquer ! Je t'en prie...
Moi: Lâche-moi, Kent ! Laisse-moi partir !

Je le bouscula et partis l'âme briser et le cœur en miette.

Mais je l'aimerais toujours....

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