Je suis rentré en 6ème, il y a de cela quelques-temps et si je ne me trompe pas, c'est à peux près à cette période là que je me suis fait baptisé.
Il y a eu la rentrée, tout ce passait plus-tôt « bien », malgré le faite que je pleurais énormément, beaucoup plus que se que je n'aurais de serait-ce que imaginé.Les jours, les semaines, et les mois, passe tandis-que moi, j'ai de plus en plus de mal à me concentré à arriver à faire quelque chose sans forcément penser à mes parents. Les surveillants du collège m'aidaient du mieux qu'il pouvait ainsi que les professeurs.
Un jour, mon professeure principale qui étais à l'époque m'avait parlé de cette fameuse psychologue. En rentrant chez moi le soir, j'en ai parlé à mon grand-père dans la voiture dès que je suis sortie du bus. Il faut savoir en premier. Mon grand-père. N'aime pas forcément les psychologues, mais il m'a toujours dit: « si tu as envie d'aller à sa rencontre, d'allé parler avec elle alors v-azy. Je ne t'interdit en aucun cas, si sa te fais du bien d'y aller alors v-azy prend rendez-vous avec elle, mais moi je ne veux pas rentrer en contact avec elle. ». Le lendemain, j'ai étais voir ma professeure et lui est dit que c'était d'accord. Que j'allais voir cette personne. Quelques-temps plus tard, le directeur de la cpe est venu me voir, m'a donné une feuille à faire signer par mes « parents ». C'était donc mon grand-père ainsi que ma grand-mère qui ont signé ce document. Je l'ai redonner au cpe celui qui m'a donné se papier, est par la suite, j'ai eu se premier rendez-vous celui qui ma permis de rencontrer cette femme qui m'a aidé durant c'est quatre années de collège.Je ne me rappelle pas forcément bien du premier rendez-vous. Voir même,...presque pas même les rendez-vous, qui on suivie cette année là. Mais je me rappelle quand même d'un jour, celui ou cette femme, celle qui m'a aidé, ma demandé si elle pouvait parler avec mes grands-parents. Je connaissais personnellement la réponse, mais je lui est quand même dit que je leurs en parlerais, au cas ou. On ne sait jamais. Comme je m'en doutais leurs réponses étaient une réponse négative, un non définitif pour mon grand-père, pour lui il n'avait pas à ce parler. Pourquoi ? Par-ce-que pour lui, sa ne le regardait pas ceux que cette femme et moi nous disions. La psychologue n'a pas cherché plus loins. Hormis se détail, aucun autres ne me vient en tête.
L'année se termina.
J'allais un peux « mieux » si le therme est exacte mais surtout si ma mémoire et bonne. Et je crois, que j'ai tout de même une bonne mémoire, sachant que j'arrive à vous le racontait.
L'année suivante avait commencé . Je venais de rentrer en cinquième. C'est cette année là, que j'ai fais la rencontre de plusieurs personnes. Des personnes; qui ont su être la pour moi, m'on encouragé, m'on donner confiance en moi dans des moments compliqué, m'on soutenu. Ces personnes là, sont rentré dans ma vie au meilleur moment je pense. Elles n'on fait que m'encourager et sa à fonctionner la preuve je suis là à vous l'écrire, et vous, vous êtes la entrain de le lire et même ces fameuses personnes.
Cette année la, j'ai aussi continuer à suivre la psychologue et je crois sincèrement que sa allait mieux. Puis le confinement est arrivé.
Quant-on est jeune, on se pose beaucoup de questions. Certains plus que d'autres. Certains des questions plus détaillées, plus précises. Certains vont rarement se poser des questions.
Moi,
Je suis le genre de personne qui se pose des questions. Sa à toujours étais comme sa du plus loins que je me souvienne.
On me disait souvent « c'est bien tu t'intéresse ».Alors, oui c'est bien mais quand vous même, vous voulais savoir des choses ou même que vous vous posez des questions sûr votre vie. Les réponses, peuvent parfois être douloureuses, et parfois on regrette d'avoir voulu en connaître plus.
Mais
Je crois que nous ni pouvons rien.
Et moi c'était mon cas j'ai commencé à me poser des questions pendant le confinement.
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Le passé fais toujours mal
Non-FictionLe passé finit toujours par revenir et il fais de plus en plus mal...