Épi.2

1.2K 121 32
                                    

J’envoie un SMS à Lunic lui expliquant que Yoël avait besoin de moi. Déjà assis dans le restaurant Lunic boit son verre en lisant mon SMS il se dit dans la tête ‘’ Yoël tu n’est pas bête, je parie que tu la surveille mais c’est pas grave de toute les façons je sais comment lui mettre la main dessus’. iL fait ensuite signe au serveur pour payer l’addition. Nous voilà moi, Bill, madame la secrétaire général et le Boss dans un entrepôt non loin d’un magasin pour riche. Il y’avait de tout, j’avais comme l’impression qu’ils avaient ouvert spécialement pour mon patron cela va se confirmer quand le patron des lieux se présentera en personne devant nous.

Yoël : Madame la secrétaire nous avons discuter du nécessaire hier.

Et le boulot reprend. Alors que je choisissais les services de tables comme ont me l’avais ordonner je me rend compte que l’employer qui était censé me conseiller était en train de me draguer. Avant qu’il ne puisse me donner son numéro nous serons déranger par Monsieur le patron. Occasion raté. À cause d’une erreur involontaire le gars avais décider de ruiner ma vie amoureuse où je me fais des idées.

Il nous fera travailler comme des fou jusqu’au soir fatidique où un client va nous inviter à aller faire la fête dans un bar. Un verre, deux verre et me voilà entrain de rire comme une idiote avec Bill. De loin mon patron nous regardaient faire les cons. Au bout de la soirée ont décident de rentrer dans la voiture. Bill et moi discutions toujours. Madame la secrétaire général était coincé dans l’alcool le chauffeur nous dépose et le portier de l’hôtel aide Bill à soutenir madame la secrétaire général jusqu’à sa chambre. Mon patron qui payait le Taxi me tenais d’un bras. iL m’aide à monter dans l’ascenseur à un moment je le regarde et je dit

Mira : Merde Kim avait raison tu est complètement mon genre si tu n’étais pas si dure avec ton environnement je t’aurais déjà sauter. Dommage que tu sois mon patron quel gâchis.

Le portier de l’ascenseur fait un sourire gêner. Yoël me répond

Yoël : Dure avec mon environnement ? Je suis un patron je n’ai pas à rire avec mes employer tu sais ce qu’ont vous payent comme salaire ?

Mira : Ce n’est pas une raison pour donner une peur Titanic aux gens.

Yoël secoue la tête il était tellement ivre qu’il me dépose dans sa chambre et s’en va. Il arrive devant ma porte mais sa carte ne marchait pas. Il se rend compte qu’il s’était tromper de chambre, Il revient et veux me soulever pour me ramener dans ma chambre mais nous voilà nez à nez.

Yoël : Tu n’est pas moche mais tu est bête je te jure allons-y !

Mira : N’importe quoi. Je suis la plus intelligente de la famille

Yoël : Qui t’a dit ça

Mira : Mon père et ma maman d’amour

Yoël : Tes parents ne sont pas objectifs crois moi.

En argumentant avec lui il me prend par la taille on était encore plus proche qu’auparavant sa respiration son corps chaud je pouvais sentir mon cœur faire un battement qu’il n’avait jamais fait. Un baiser et puis un autre ces mains vont glisser sous ma jupe, sous ma chemise une chose en ramène une autre et nous voilà entrain de faire ce qu’il ne faut pas. Un baiser et puis un autre son t-shirt ira se poser au sol a côté de mon string. Un seul geste et mes jambes sont écartés et bien placée autour de son cou. Un baiser sur mes deux tétons un petit tremblement va m’échapper tout doucement il défait sa ceinture, il baisse son pantalon pour faire apparaître son sexe.

Il rapproche un peu mon bat ventre de son sexe et me voilà entrain de jurée dans toute les langues ethnique du Congo. Mon Dieu ce garçon savais ce qu’une femme voulais. Et une chose ne m’avais pas échapper son sexe avait la taille parfait je vous dis Dieu ne s’est pas moquer de lui. Son sexe passait à peine dans ma bouche cela l’exciter de me voir m’amuser. Quoi? Ce n’est pas tout les jours qu’un telle exemplaires me tombe gratuitement dans les mains. Il n’était pas paresseux. A un moment donner il me retourne et me prend par les tresses tout doucement il sert un peu mon cou comme pour m'étrangler c’était un autre niveau de baise qui s’offrait a moi. Je tremble comme une folle le voilà qui me tire tout doucement vers lui en me demandant dans le  creux de l’oreille ‘’ Tu sais à quoi ressemble le bonheur?’’ je fais un petit non de la tête même si je le savais je n’étais plus dans mon état normal. Mon Boss me répond ‘’ Ta chatte. Tu me tiens’’.

MIRA   Mon PatronOù les histoires vivent. Découvrez maintenant