Chapitre 3

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Anl ouvrit les yeux et découvrit que les murs avaient disparus, il arrêta de brandir son épée avec un léger soupir rassurer, puis, soudainement avant même de pouvoir reprendre son calme, il vit que les murs se rapprochaient encore, il brandit alors son épée une nouvelle fois et vit les murs s'éloignaient.

Il compris que si il ne voulait pas être tué entre ces murs il devait brandir cette épée...Enfaîte Anl s'était déjà entraîner à manier l'épée et depuis ses sept ans il dû se battre pour sa vie avec cette même épée qui lui servait à s'entraîner et donc Anl savait très bien quoi faire avec l'épée entre ses mains.

Puis il continua à brandir son épée, encore et encore et cela pendant cinq jours, pendant ce laps de temps, Anl avait crée son propre mouvement, à force de répétition et d'effort, de sueur et d'obstination, en cinq jours, il n'a pas seulement créé un mouvement, il a aussi planter la graine, pour la création de son art. Il pensa:

"... c'est comme ça que je vais l'appeler..."

Le mouvement de Anl consiste à, grâce à un léger mouvement circulaire, de créer une petite rafale tranchante, pouvant, dans un laps de temps très court, atteindre son adversaire de sorte que celui ci ne s'en aperçoive pas avant d'être toucher. Anl appela son mouvement...

"...Trace, le premier mouvement de la technique de..Mmh...je ne sais pas, je trouverais plus tard"

Tout à coup une porte apparut près de Anl, celle ci n'était accroché à aucun mur et elle ressemblait beaucoup à la petite porte en bois qu'il y avait à l'entrée de la petite maison, Anl arrêta brusquement se qu'il faisait, il prit le fourreau qu'il avait laissé par terre, y rangea l'épée et...sans même hésiter, il ouvrit la porte et se retrouva dans la montagne là où se trouvait la maison.

Une fois que Anl était sortie de la maison, celle ci disparue sans laisser de trace comme si elle n'était jamais apparu, les arbres recouvraient maintenant l'endroit où se trouvait, il y a peu, la maison, il n'y avait maintenant plus que la forêt et ses multitudes d'arbres.

Anl était épuisé, fatiguée, pendant cinq jours il n'avait fait que brandir son épée de toutes ses forces, sans s'arrêter, sans manger et sans dormir. Anl était à bout, il marcha quelque instant, sa vision devenait trouble, ses jambes était lourde et il avait faim, son ventre continuait de gargouiller tandis que ses yeux se refermèrent lentement, ses genoux tombèrent sur le parterre de la forêt suivie de tout son corps, il pensa:

"Mais...si je m'endort maintenant vais je me réveiller demain...?"

Ses yeux était maintenant fermés, sa réspiration avait ralentit et ses muscles était totalement relâché, Anl s'était évanouie.

À suivre...

Les Quatre MursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant