House of the Dragon | Biggest Tragedy | aemond x daenys

Ⅱ.

𝐏𝐑𝐄𝐓𝐄, les gardes ouvrent les portes comme un seul homme.

— Arryk, Duncan.

— Princesse.

Le garde royal qui n'a pas l'habitude d'être là est aussi surpris que moi d'être ici. Comme un parfait soldat, il ne conteste pas les ordres. Ca place est auprès du roi, non ici. La Reine tient à me garder loin d'elle aujourd'hui. 

Mes dames de chambre son à mes côtés pour m'accompagner dans ma longue descentes des marches du palais. Avant de tourner à droite d'un couloir – ce château est un vrai labyrinthe – une silhouette vêtu de noir, son épée toujours non loin de lui, attend patiemment d'être réceptionner dans les quartiers de la Main du Roi. Comme si il sentait ma présence, son visage ce tourne instinctivement vers moi, les mains sagement derrière son dos comme le bon héritier qu'il doit être. Son unique œil bleu que j'aime voir me dévorer des yeux lorsque nous sommes seul est d'un froid presque glaçant. Je ne me laisse pas intimider pour autant face à son attitude trompeuse. Nous sommes surveiller par de multiple espions. Personne n'est à l'abris, pas même lui.

Mon attitude indifférente pourrait le refroidir mais il ce permet un léger sourire en coin à peine perceptible. Il sait que mes dames de compagnie en savent bien plus qu'elles ne le prétendent. Les draps qu'elles changent ne sente pas seulement mon odeur mais bien le sien. Elles ont vu la crasse et la boue sur mes vêtements que je met pour sortir hors du château. Elles passent de nombreuse minutes à démêlées mes cheveux qu'il a pris plaisir à glisser ses doigts, couvrir mon bain d'odeur de fleur pour enlever l'odeur de bière et d'écurie. Le sang sur ma main lorsqu'il m'entraine à utiliser habillement une dague si un jour je dois me défendre « nous ne sommes jamais réellement à l'abris » m'a-t-il dit. « Une dame doit apprendre à ce défendre, à profiter des plaisirs de la vie et non rester prisonnière de leur condition de mariée ».Elles ne me trahirons jamais, ni ne vendra mes secrets pour quelque pièce d'or. Elles sont prêtent à mourir pour moi comme je suis prêtent à donner ma vie pour elles.

Près de lui, je me courbe légèrement pour le saluer me retenant de sourire difficilement face à son charme qui gonfle mon cœur encore un peu plus chaque jour.

— Prince Aemond.

Bien plus grand que moi, nous nous permettons de nous regarder plus longtemps qu'ils nous est permis. J'aimerais qu'ils découvrent l'homme que je connais dans l'intimité. Celui qui vient me chercher, prenant ma main pour m'aider à descendre les escaliers secret du château pour lire dans une chambre secrète que nous avons aménager rien que pour nous. Nous passons des heures à lire à voix haute les livres écrient par les mestres que nous prenions dans la bibliothèque du Donjon. Nos discutions passionner sur les origines des dragons.

Comme à chaque fois que nous sommes dans ma même pièce, il est rare que je garde ma robe. Aemond est un homme avec beaucoup d'appétit mais qui c'est ce maitriser quand la situation lui impose. Nous nous sommes pas avouer nos sentiments parce que nous savons au fond de nous que c'est interdit. Que d'un seul mot, un seul acte toute ses semaines à vivre dans le secret, laissant notre passion nous consumer, volera en éclat. Que tout ce que nous avons vécu n'existera pas. Il suffit qu'on me promette en mariage à un autre seigneur ou qu'on lui choisit une femme. Nous sommes tout les deux convoiter par les seigneurs qui cherchent à tout prix un bon partie. C'est notre destiné à la minute même ou nous sommes venu au monde. C'est peut être la dernière fois que je ressentirais ses lèvres contre les miennes sous une pluie déchainée. Peut être la dernière fois qu'il sentira mon parfum et touchera la chaleur de ma peau. La dernière fois que je verrais son visage concentrer danser sous les flammes.

— Princesse Daenys.

Je suis la seule qui peu voir son regard glisser discrètement sur le décolleté de ma robe ce languissant déja de l'enlever quand l'occasion ce présentera. J'ai les joues en feu, combler d'être désirer par un homme tel que lui. Toutefois, je décèle de l'amusement dans ses yeux. Et je réalise trop tard qu'il sait quelque chose. Mes parents viennent aujourd'hui. Tout le monde le sait et pourtant il est ici alors qu'ils vont arriver d'une minute à l'autre. Que fait-il a attendre dans le couloir ? Pourquoi n'est-il pas avec la Reine et ses conseillés dehors ? Aussi fort est son amour pour moi, la haine envers ma famille est aussi brûlante et amère qu'il entretien avec vivacité.