Ⅸ.𝐓𝐇𝐄 𝐂𝐎𝐒𝐓

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𝐀𝐒𝐒𝐈𝐒𝐄 sur mon lit, le regard absent, j'entends les dames de chambres nettoyer le sol, les meubles, changer les bouquets de fleur remplacer par un autre. Ce sont des fleurs qui viennent tout droit de Bravos, les plus belles de toute le continent à ce qu'on le dit. Un cadeau d'Aemond comme les livres qui sont poser sur la table. Si il croit m'acheter ainsi, pensant que cela va m'aider à mieux supporter ma captivité, il ce trompe fortement. Je me sens dépérir à petit feu éloigner de tout ce qui me raccroche à la vie.

La porte s'ouvre pour laisser entrer Alicent. Les servantes s'en vont pour nous laisser en privé. Je ne veux pas de sa compagnie. Je refuse sa compassion. Je ne désire pas sa pitié. Ces cheveux attachés lui donne un visage solennel avec son collier de la foi des Sept autour du cou. Elle fait un second pas vers moi remarquant que n'ai toujours pas toucher au plat qui est toujours rempli de nourriture. Je ne compte pas les laisser me maintenir en vie. Je refuse de leur donner ce qu'ils veulent. Je ne resterais pas les bras croisés à les laisser manipuler ma famille.

Alicent ne cache sa crainte de me voir me laisser mourir de faim. Les rapports journaliers de ses servantes l'on forcer à venir par elle-même dans l'espoir de me convaincre. C'est une mère elle aussi. Je partage le même âge que sa fille Haelena. Elle doit ce rappeler que nous nous amusions ensemble dans les couloirs du palais provocant la colère des Seigneurs lorsque nous courrons dans les escaliers. Tout ceci est loin derrière nous à présent. J'ai grandit, je suis devenu une femme qui fait ses propres décisions, comprends ses actes. Les mains jointent l'une sur l'autre, elle me rappel ma mère, le même visage soucieux lorsqu'elle me voyait inquiète.

— Il faut que tu mange.

— Vous vous n'êtes pas déplacer seulement pour me donner l'ordre de manger ?

Non, bien sure que non que ce n'est pas que pour ça lorsque je la vois toucher les livres du bout des doigts. Qui a bien pu me rapporter ses livres, ce bouquet de fleur ? Je lis de la déception et du regret dans ses yeux.

— Vous êtes venu à votre tour me nargué d'avoir usurpé le Trône de ma mère ? Me voir dans cette cage ne vous suffit pas ?

— Ce sont les derniers souhait du Roi.

— Mensonge.

— Cela n'a plus d'importance maintenant. Aegon est Roi à présent. Ton Roi.

Je souris brièvement ne pouvant pas cacher mon dégout. Il ne sera pas mon Roi de la même façon que je n'accepterais jamais mon sort.

— Vous lui avez mis surtout la couronne de force. Que va devenir le Royaume à présent ? Aegon n'est pas un bon Roi. Vous pouvez être aveugle autant que cela vous chante Alicent mais la réputation de votre fils est connu de tous. Vous ne pourrais pas le maintenir sous vos ordres éternellement. Il va gouter au pouvoir, embraser ses vices. Vous le savez mieux que personne : Il est dure de mettre une laisse à un chien une fois lui avoir mis une couronne sur la tête.

Alicent ne dit pas un mot. Elle sait que j'ai raison. Aegon à toujours été une déception pour elle. Si l'ordre de succession ne devait pas être respecter, elle aurait placer Aemond ou Daeron, pas l'ainé. Elle aurait marié sa fille à Aemond comme ça du être prévu depuis le début. Mais ce sont les choix de Viserys, le fardeaux des hommes qu'ils nous font porter sur nos épaules qui l'a pousser à l'accepter.

— Pourquoi faite vous ça à ma mère ? Vous étiez ami autrefois ? Est-ce que votre amitié n'était que mensonge ça aussi ?

Lorsque je la regarde, je comprend qu'Aemond est le reflet de sa mère. A quoi bon me donner une réponse. A mes yeux, elle sera toujours celle qui à usurpé la Couronne. Celle qui n'a pas respecter les vœux de son mari. Celle qui me maintient en vie dans cette cage sans fenêtre. Pourtant je lis de la conviction dans ses yeux croyant qu'elle a pris la bonne décision même si pour cela elle doit sacrifié son amitié de nouveau retrouver avec ma mère.

House of the Dragon | Biggest Tragedy | aemond x daenysOù les histoires vivent. Découvrez maintenant