Ⅲ.

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𝐃𝐀𝐍𝐒 ma chambre, Soria et Yara m'aide à retirer la nouvelle robe que j'ai essayer où de nouvelle retouche ont été faite. Je porte fièrement les couleurs de ma famille. Yara m'aide a enfiler mon autre robe avant de remettre soigneusement mes cheveux en place. Je sens que son silence est pesant. Elle veut me dire quelque chose mais elle a peur de ma réaction. Je reste la fille de Rhaenyra Targaryen, la prétendante au trône. Elles n'ont aucune place dans le royaume, seulement des servantes choisit par les soins de mon père pour m'accompagner. On les a forcer à quitter leurs familles pour me servir. Je ne leur en veut pas de me voir avec crainte. Pour briser le silence, j'attrape sa main et l'incite à parler avec son cœur.

— Tu sais que tu peux parler librement avec moi.

Elle arrête ce qu'elle était en train de faire imitant de près par sa sœur qui est derrière mon dos. Soria, qui replis ma robe sur mon lit, incite sa sœur à parler. Prenant son courage à deux mains, Yara ce lance enfin.

— Nous avons vu la manière dont le prince Aemond vous regarde. Faite attention à vous, princesse. Vous êtes surveiller. Nous ne voulons pas qui vous arrive malheur.

Le peigne dans mes cheveux, ses gestes sont doux et lent. Je ne peux pas ignorer ses avertissements. Nous avons pris un risque. Je croise son regard, cherchant à trouver de l'espoir dans ses yeux verts pâles.

— Et si il avait un moyen ? Si nous étions la clé pour unifier notre famille ?

Elle ne peut cacher ses doutes. Je souris intérieurement. J'ai réussi à me bercer d'illusion. A me convaincre qu'il est possible d'espérer un avenir meilleur.

— Le prince Aemond reçoit de nombreuse lettre de proposition de mariage ma dit Storra. Il les consulte chacune d'elle. La Reine le supplie d'accepter.

Mon cœur demande de sortir de ma cage thoracique tellement les paroles sont dure à attendre. J'imagine sans mal Alicent le visiter régulièrement, lui montrant les lettres qu'elle reçoit par l'intermédiaire des mestres suppliant son fils d'accepter. Aemond doit sans doute inventer que son père ne le souhaite pas. Que nous devons respecter sa volonté. Il aime sa mère, comprend ses actions pour le biens de sa famille mais respect les demande de son père.

— La Reine fera son possible pour passer les souhait du Roi sous silence.

Nous savons aussi qu'il est une question de temps avant que Viserys rendent son dernier souffle. Il est plus en état de parler, ni même de respirer. Chaque jours, je le vois dépérir sous mes yeux. Assise au bord de son lit, je lui lis des livres, lui chante les ballades. Il me confond souvent avec ma mère me brisant le cœur de voir que sa fille lui manque. Durant ses rares moment de lucidité, il pose sa main sur mon visage exprimant sa fierté d'avoir une petite fille qui ressemble tellement à sa fille.

— Tu as raison, Yara. Merci de m'avoir exprimer tes doutes. Vos doutes.

Je regarde les deux sœurs tour à tour qui demande que mon bien ce qui assure leurs sécurité. L'un ne va pas sans l'autre. Si je tombe, elles seront arracher, enfermer, violé et torturer. Dans mes pensées, je l'ai laisse me préparer pour la seconde fois de la journée.


Seule dans le couloir, je pars en direction de la bibliothèque à la recherche de mes frères que je n'ai pas eu le temps de voir depuis leur arriver. Gardant toujours les yeux ouverts, a l'affut du moindre espion de Larys, je tombe nez à nez face au Prince. Aegon est à peine coiffer malgré sa belle tenu de Seigneur. Yara et Soria m'ont dit qu'il s'en ai pris une nouvelles fois à une jeune servante. Malgré l'acte odieux qu'il a commis, il est à peine réveiller, n'expriment aucun remort face à son acte. Je fais mine de le saluer rapidement avant de presser le pas pour éviter toute remarque habituelle de sa par.

House of the Dragon | Biggest Tragedy | aemond x daenysOù les histoires vivent. Découvrez maintenant