Quel salaud, je lui avais tout donné, tout ! Ma foi, mon amour, mes espérances et ceux malgré toutes les déceptions que j'avais eu de lui. Qu'est-ce qu'il en a fait ? Il a détruit quatre ans d'amour pour une fille qu'il connaissait depuis à peine de...
Je me laves et fini par m'écrouler sur le lit en peignoir.
Je pense à tout ce qu'il s'est passé en me disant que Kaõs aurait pu être un bon ami dans un autre univers si il n'était pas aussi chiant et impliqué dans des choses illégales. Ah et si il fermait correctement les portes étant donné que je suis encore traumatisée de la scène auquel j'ai assisté en haut...
Horrible ! Je prends un coussin et enfonce ma tête dedans de gêne carrément.
Je me pose tellement de questions sur lui, c'est qu'un inconnu après tout. Il ne répondra certainement pas au pourquoi du comment nous nous sommes cachés de ces gens-là, on se fait pas assez confiance mutuellement et je ne saurai certainement pas le fin mot des choses puisqu'on ne de verra certainement pas.
Mes yeux se ferment et je m'endors...
* notification message *
Mr Alain : Où tu es ? Thomas m'a dit que était partie. J'ai demandé à la scolarité de mettre ta demande de dés inscription en attente. Si tu pense pouvoir tout lâcher, tu te trompe !
J'ignore. Trop fatiguée.
Mr Alain :Ce soir 19 h à l'Eurydice.
Je prends mon téléphone pour l'éteindre et sursaute en voyant écrit Mr Alain. Je lis attentivement ses messages puis souffle. Thomas traitre jusqu'au bout ! Je ne céderai pas alors je décide de faire l'aveugle, il ne pourra pad me reprocher de ne pas avoir vue non ?
Mr Alain : Ne t'avise pas de m'ignorer.
Marre. Marre. Marre.
Quelle heure est-il déjà ?
18 heure ! Je file me préparer en prenant une grosse écharpe évidemment. Puisqu'au delà du froid, j'ai aussi attrapé un rhume grace à mon chère prince des ténèbres.
Je prends mes clefs et sort.
J'arrive devant la cafétéria et croise le regard de mon professeur. Il ne m'a l'air pas du tout content de me voir. Je m'approche et m'apprête à le saluer.
- Assis toi. me dit-il en mettant sa main sur sa barbe grise.
Un blanc s'installe quelques secondes et il finit par le briser.
- Je vais être court et précis, j'ai un mis qui tient une chaîne de cabinet psychiatrique et il m'a fait la gentillesse d'accepter ton cv et de te proposer un stage. Je me suis démené pour que la fac puisse te l'autoriser. Tu commence demain matin.
J'ouvre grand mes yeux.
- Mais Il me fais signe de la main de me taire.
- Pas de mais. Tu va voir si ce travail vaut vraiment le coût d'arrêter pour un pauvre type qui ne voit pas plus loin que ce qu'il pourra faire de ces fesses avec une pauvre fille qu'il a croisé lors d'un anniversaire.
Donc il lui a dit. Gros connard.
- Il a pas perdu de temps...je souffle et regarde ailleurs.
- Tu te rappelle de la place qui restait après la grossesse d'une professeur et que je lui avais promis?
- Hmm. Dis-je, désintéressée.
- Je lui ai dis qu'il pourrait finalement rêver. Haha, elle est bonne celle-là non ?
Mes yeux s'ouvrent et je le regarde avec un grand sourire. On passe la soirée à discuter et je lui raconte ce qui m'est arrivé ces derniers temps, comme l'histoire de la voiture mais en épargnant quelques détails...
Le lendemain, je me lève d'un pied fermé, je ne veux certes pas me rendre à se cabinet, mais encore moi décevoir Mr Alain. Je l'es rencontré par le biais de Thomas qui est son stagiaire, lors d'une soirée universitaire et il s'est avéré que c'est de devenu mon professeur en pysco, c'est un peu comme un père adoptif.
Enfin je ne sais même pas ce que c'est que d'avoir un père.
J'attrape ma carte de transport et sors. Malgré l'hiver, le soleil tape sur les rues de Montmartre, ce qui me réchauffe un peu le cœur et le fais dire que j'ai tellement de la chance de vivre ici, Paris ma ville de coeur.
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11h30 :
Je suis enfin arrivée à l'adresse, après quelques arrêts en métro, ni trop tard, ni trop tôt, pour une fois ! En sonnant sur l'interphone du portique, je me présente et fini par entendre un grisaillèrent qui s'éclaircit quelques secondes plus tard, le secrétaire m'indique enfin l'étage.
- Maria Richard, c'est bien vous ? Dis la même voix que sur l'interphone.
- Oui. Dis-je essoufflée par les marches d'escalier.
Il me regarde de haut en bas d'un air totalement neutre puis affiche un sourire en m'annonçant là où je dois plus précisément me rendre.
Mr Lombardi vous attends dans la salle du fond tout à gauche, porte 7.
- Très bien, je vois en remercie !
J'avance d'un pied hésitant tout en remettant ma chemise et mon tot bag en place. Une fois arrivé devant la porte indiquée, respire un grand coup et toque.
- Veuillez entrer !
10...9...8...aller 0 j'en ai marre du stress et suspens.
...
J'écarquilla les yeux.
- Caïn ?!
\\ Une partie assez courte pour introduire la suite (le smut arrive très bientôt ;) //
