Joyeux noël

10 2 0
                                    


Dans un grand chalet au milieu des bois, au Canada, une famille se prépare à fêter noël. Nous sommes le matin du 21 décembres et le petit Connor, 7 ans, n'a aucune envie d'attendre que le père noël soit arrivé, sautant partout, demandant trop souvent quand est-ce que les cadeaux arriverait, il fatiguait ses parents qui pourtant ne pouvaient que sourire devant un enfant aussi joyeux.

Dehors, la neige tombait de plus en plus fort, la petite famille avait fait des réserves de nourriture, les premiers voisins étant à plus de 100 kilomètre, en cas de pénurie, ils n'aurait personne pour les dépanner.

Le père de la famille, un homme aux cheveux bruns, barbu, portant toujours une chemise rouge à carreaux, l'air jovial, amoureux de la compagne et de la forêt. Il était marié à une femme dont les longs cheveux noirs faisait ressortir un visage fin et un regard pétillant, elle avait la poésie dans l'âme et aimait contempler la nature environnante en toute saison. Leur petit garçon, cheveux noirs ébouriffés et yeux bruns pétillant de vie, était une véritable pile électrique qui mordait la vie à pleine dent.

La journée semblait s'écouler lentement, trop lentement du point de vue de Connor, pourquoi le père noël ne passait pas avant ? Il courait d'une fenêtre du salon à l'autre, finissant par heurter un vase. Le gamin s'arrêta net lorsqu'il entendit le bruit de quelque chose qui se casse derrière lui. Se retournant petit à petit, il aperçut les morceaux du vase qu'il avait percuté, gisant par terre. Il n'eut pas le temps d'essayé de cacher son méfait que ses parents arrivèrent et le toisèrent d'un œil sévère.

Après un petit sermon sur le fait que courir dans la maison n'était pas recommandé pour cette raison, le cadavre du pauvre vase fut ramassé et mit aux grenier dans l'hypothèse d'une reconstruction future.

Dix minutes après l'incident, Connor avait complètement oublié le sermon de ses parents et était allé courir dehors dans la neige. Bien trop occuper à jouer, il ne prêta pas attention à l'Immense silhouette qui se tenait à l'orée de la forêt.

Le lendemain, à 5h du matin, la famille est réveillée par une odeur d'œuf pourrit venu du grenier. Les parents allèrent y jeter un coup d'œil, croyant sans doute qu'il s'agissait d'un animal mort ou de tout autres matières vivantes ayant pourri dans un recoin oublié du grenier de la maison. Ce lieu sombre que Connor affectionnait pour se cacher était assez peu visiter par ses parents qui n'y allaient que pour retrouver un objet oublier depuis des lustres ou pour déposer une nouvelle chose qui ne servait pas et qui y serait oublier jusqu'à ce qu'elle soit de nouveau utile.

Toute fois rien ne fut trouvé au grenier, pas d'animal mort, pas de moisissure, pas de nourriture abandonnée là par l'enfant de la maison, rien, juste le grenier avec ses toiles d'araignées et les objets entassés de manière plus ou moins stable. Alors qu'ils allaient redescendre pour chercher un désodorisant dans les toilettes, ils entendirent quelque chose sur le toit, comme si une bête assez lourde marchait sur le toit. Les bruits et l'odeur disparurent des heures après sans que personne ait pu voir ce qui avait bien pu monter sur leur toit, il faisait bien trop sombre à 5h du matin pour voir quoi que ce soit.

Pendant la journée, aucun signe de la bête puante, la petite famille passa donc à autre chose. C'était le 22 décembre, et le petit Connor avait déjà ouvert la petite fenêtre de son calendrier de l'avant, il y avait trouvé sa friandise préférée, un petit carré de chocolat au lait. L'enfant était au ange, il s'assit en face du sapin pour dévorer sa récompense du jour, regardant avidement le pied du sapin, comme s'il espérait voir apparaître les cadeaux tant attendus.

Le soir pointa le bout de son nez, le soleil était coucher depuis environs deux heurs quand l'odeur pestilentiel fit son retour. Encore une fois, rien au grenier, trop sombre pour voir sur le toit. Pourtant l'odeur était bien là et les bruit de pas aussi. Agacé, le couple appela la police, problème, le poste le plus proche est à plusieurs kilomètre. Au bout du fil, l'officier de police leurs dit qu'il s'agissait sans doute d'un animal, qu'ils ne devraient pas être inquiets et posé des pièges dans leurs grenier, ensuite, il leur raccrocha au nez sans même dire bonsoir.

Agacé mais n'ayant pas d'autre choix, la petite famille suivit le conseil donné : Plusieurs pièges à souris furent installé dans le grenier ainsi que trois pièges plus gros pour Raton laveur qui pouvait bien attrapé une moufette. Connor était persuadé que c'était une moufette, qu'es qui pourrait pué autant à part cette bête là ?


Malheureusement, aucun piège ne remplis son office, aucun ne fut déclencher, l'un d'entre eux disparut même complètement sans laisser de trace. Le couple était perplexe, quel animal volerait un piège ? si l'animal c'était prit dedans avant s'enfuit accrocher au piège, ils auraient trouver des traces de sang, des poils quelque chose, mais là rien, absolument rien. Le soir venu la petite famille avait finit par abandonner l'énigme par fatigue, sauf Connor qui continuait à débité des théorie farfelu sans queue ni tête. Pour lui, c'était soit une moufette géante soit un raton laveur armée de boule puante ou encore un rat péteur. Bien que fatiguer, ces parents rire bien volontiers de ces théorie enfantine. Après le diné il fut l'heur d'aller ce coucher pour le petit garçon, ces parents eux allaient passé le réveillons de noël autour d'un verre de champagne.

Petites histoires d'horreurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant