{ Vingt-six }

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- Qu'y a t'il pour que tu me demandes de te rejoindre en extrême urgence ? Me demanda Alexandra qui se met à côté de moi avec deux sacs. L'un contenant ses livres ce qui veut dire qu'elle ne passera pas la nuit chez elle.

- As tu des choses prévues pour ce soir?

- Oui, une soirée entre filles. J'allais passer la nuit chez Gina.

- Donc tu n'allais pas rentrer chez toi?

- Non pourquoi?

- Passe la nuit avec moi, j'ai besoin de toi. Avouais-je en passant mes doigts sur mon visage.

C'est la première fois que je lui demandais une telle chose, d'habitude c'est elle qui me suppliait de la laisser dormir avec moi.

- Tu es sur que tu vas bien? Tu veux parler de ce qui s'est passé sur le terrain?

- Si je veux que tu viennes avec moi c'est predicament parce que je ne veux pas en parler.

- Bien comme tu veux. Me répond t-elle, sûrement venait-elle de comprendre sa présence.

Elle prit son tel et tape dessus.

- J'écris les filles pour leur dire que je ne pourrais plus venir.

Pour toute réponse j'hocha de la tête et mit le contact. Je nous conduis vers mon appartement, ayant tout le temps les clés sur moi il m'est facile de m'y rendre à chaque fois, peut importe l'heure. Il ne nous reste que trois carrefours avant d'y arriver, nous arrêtant à cause d'un feu rouge. Alexandra en profita pour glisser ses doigts sur mon short, sur mon sexe au repos.

Elle continua ses caresses et mon sexe ne mît pas longtemps à réagir. Elle glissa cette fois-ci sa main à l'intérieur de mon boxeur et prend mon engin en main en faisant des mouvements de rotation.

- Ne t'arrête pas. Lui intimais-je en grognant.

Arrivant sur le parking, je me gara. Je prend mon sexe en main, fit de rapide mouvement et enfila un préservatif  dessus puisqu'il qui commençait à prendre du volume.

Comprenant ce qu'il fallait faire elle m'enjamba assez rapidement et s'empala sur mon sexe en émettant un gémissement. Elle ne portait qu'une robe avec en dessous qu'un string sans soutien-gorge. Je glissa mes mains sur ses fesses et les claquèrent. Je pris l'un de ses mamelons déjà durcis entre mes dents et les glissèrent entre eux.

Pour être plus confortable je recula ma chaise ce qui nous rend libre de nos mouvements. Elle continua son jeu de rein en se mouvant de haut en bas sur mon sexe. J'enleva sa robe pour avoir libre accès à ce corps que j'ai tant de fois touché, caressé. Je me demande si j'arriverais un jour à m'en passer. Je pris ces deux seins en coupe dans mes doigts et les pressèrent et suçant leurs pointes roses durcies avec force. Je releva mon bassin et la pénétra beaucoup plus rapidement. Voulant m'aider à aller encore plus profond en elle, Alexandra prit appuie sur ses pieds m'enlevant le poids de son corps qui me permit de me mouvoir avec beaucoup plus de puissance. Un râle de plaisir fendit le silence de l'habitacle et après trois minutes nous nous arrangeâmes pour monter dans ma chambre.

Je n'ai jamais aussi heureux de pénétrer dans ma chambre qu'en ce jour. Nous prenons l'ascenseur et arrivé dans mon antre, je passa d'abord sous la douche m'enlever cette moiteur qui me collait à la peau lors du match. Je laissa ensuite la place à Alexandra, je ne pris même pas la peine de m'habiller ou de m'essuyer et profita de ce temps pour répondre a quelques messages. Surtout mon frère qui me demandait où j'étais, et des appels manques de lui et de mère.

Alexandra ne mît pas longtemps à ressortir de la pièce, nue avec ses cheveux en une queue de cheval. Je déposa mon téléphone et lui fit signe de s'approcher.

Arriver à ma hauteur je souleva son pied droit et le déposa sur le lit, écartant par la même occasion sa jambe. Je m'avança près d'elle et me pencha pour souffler doucement sur son sexe vierge de toutes poils. Je lécha momentanément ses grandes lèvres, je caressa son clitoris pendant un moment en prenant plaisir à regarder son corps s'arquer. Sa respiration devient irrégulière quand j'introduis trois doigts dans son antre. J'alla doucement en enlevant mon pouce qui lui caressait le clito, ce qui me vaut un coup d'œil assassin de sa part mais un rire satisfait de ma part.

- Oh Peg. Murmura t-elle quand j'introduis un autre doigt. Quatre doigts sont à l'intérieur d'elle. Je l'habitua à cette intrusion et commença à aller de plus en plus vite.

Ces gémissements font écho dans la pièce et elle se tira ses mamelons pour se donner encore plus de plaisir. Ce soir je vais la prendre jusqu'à ce que je n'en peux plus. Je vais la faire jouir au point d'oublier même son propre nom. Elle jouit et je retira mes doigts que je glissa une à une entre ses lèvres que j'embrassa par la suite.

Elle se laissa tomber sur le lit sur face en ramenant ses pieds contre elle et se cambra au maximum, ma position préférée. J'enfila rapidement une protection et lui claqua la fesse droite puis la gauche puis la droite. Elle répondit à chacune de mes claques par des gémissements et en élevant ses fesses encore plus haut vers moi. Je bande comme un âne, ses fesses ne mirent pas longtemps à prendre une teinte rosée comme ses lèvres à lui. Mais que dis-je. Sous l'effet de la colère je la pénétra violemment et commença à la baiser.

- Peggy. Lança Alexandra.

Je ferma les yeux et revois ces yeux à lui, bleus comme la mer. Je me calma aussitôt et reprit mes mouvements mais moins brusque. J'entre en elle et ressort en fermant les yeux, comme si je la goûtait pour la première fois, comme si je me perdais en elle pour la toute première fois. Je pris appuie sur ses reins et fit des mouvements beaucoup plus rapides, tout en lui claquant les fesses de temps à autres.

Sachant que je suis presque de l'explosion je glissa mes doigts sur son clitoris pour accéléré sa jouissance. Ses gémissements s'intensifient et des sons rauques sortirent de mes lèvres avant qu'elle jouit et que je la suis de près. Ensuite nous firent l'amour contre le mur, dans la douche, et sur l'armoire.

Je me leva vers minuit pour prendre mon téléphone pour passer un appel qui me parut une urgence.

- Que vas tu faire mon chou? Me demanda Alexandra dans un demi-sommeil.

- je dois parler avec Paul, je reviens.

Elle se rendormit et je me dirigea vers la douche. Demain étant un lundi j'ai ma petite idée pour cette première journée.

- Peggy, j'espère pour toi que tu as une urgence pour me déranger à cette heure.

- J'ai une idée de génie, tu vas adorer.

Demain je dois me rendre à l'école de bonne heure, je ne raterais ce spectacle pour rien au monde.

Louis & Lui [bad boy]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant