IV. EMBRASSADE DE JUILLET

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faisons le mur et embrassons-nous dans la chaleur du mois de juillet, peu importe si tu me connais à peine ;

et soudainement tu les aperçois rigolé sans toi et tout te ramène aux paroles, aux idées,
ils sont infiniment mieux que toi
et ils n'auront jamais besoin de toi,
alors tu te laisse tombé dans la chaleur
et tu te laisse emporté dans les mois de juillet-août
dans lesquels ton cerveau s'éteint sans attendre
dans lesquels l'odeur d'absinthe tache ton cou,
tache ton coeur, tache ton corps.
et tu perds ton temps, tu te distrais
tu perds ton temps jusqu'à perdre tes mots
et les glisser sous ton oreiller pour tenter de les retrouver.

dans tes rêves,

brutalité de vos amoursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant