V. THÉ FROID

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je digère tes paroles et avale mes pensées ;
te taire pour quoi faire, dis moi ? espères-tu que les gens ai une estime de toi? qu'ils t'aiment peut être?
alors tu noies tout dans ton physique
tu digère le stress et crache le reste
ton petit corps, tu le désires

prends-tu trop de place?

malgré tes grains de beautés, tes seins et tes hanches
ton corps tu le bouffe autant que ton corps,
autant que tes manches.

les états d'âmes

avec des larmes aux yeux, t'as supplié
il ne reviendra pas,
il ne reviendra pas.

et c'est tant mieux comme ça.

on ira autre part, là où tes larmes s'écoulent moins vite, là où même le vide fait semblant, là où tu veux ni être toi ni le voisin.

tu jalouses, en permanence,
tu envies et tu supplies,
le problème c'est que tu le dis,
le problème c'est ta démence.

brutalité de vos amoursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant