VII. LA FOULE

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nos corps balançaient l'un contre l'autre et tes mains rebondissent autours de moi, attachées à mes hanches, mes yeux enchaînées aux tiens, et mon bassin t'enlace.
au creux du saule-pleureur, nos cœurs, nos corps fleuriront, et ce ciel bleu sur nous pourrait s'écrouler,
rien n'effacera ce mouvement de hanches durant mes nuits d'étés, ni tes secrets posés aux creux de mon oreille tant que mon corps frémira sous tes mains.

"don't you find it sad ?"
"what ?"
"all this, as we spoke heart to heart, it's still meaningless."

brutalité de vos amoursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant