L'assassin Aux Yeux Vairons

chapitre 5

Côme
Le lendemain de la soirée

......

Je n'arrête pas de penser à cette fille. Elle m'intrigue tellement...
Mais il faut que je me reconcentre ! J'ai tellement de travail depuis la merde d'hier.
Je me concentre donc sur le travail. Il faut que je trouve une solution pour arranger les commandes.
Après avoir finit, je me dirige vers la salle de sport, j'ai grandement besoin de me défouler. Je me dirige vers le sac de frappe et commence à le frapper de toutes mes forces jusqu'à ce que mes phalanges soient en sang. J'entends alors mon téléphone sonner et le dirige vers lui. C'est Evan.

-C'est bon Côme je l'ai. Elle s'est pas laissée faire elle.

-Son état ?

-Elle est blessée au ventre, la plaie est profonde. Elle ne va pas tarder à s'évanouir je pense. Elle est robuste.

-D'accord. Vous arrivez dans combien de temps ?

-30 min je pense...

-Très bien, tu la mettras dans une de nos cellules en arrivant.

-D'accord. Ah et j'ai oublié mais on l'a drogué aussi. Elle aurait fait un massacre sinon !

C'est bien une méthode d'Evan ça !

Après l'appel finit je me dirige vers le power rack pour faire des tractions.

....

Cela faisait maintenant 2 jours qu'elle dormait. La drogue devait être puissante.

J'étais dans mon bureau quand un de mes soldats arriva :

-Chef, la fille s'est réveillée. Evan est allé la voir.

-Très bien je vais m'y rendre.

Il partit non sans m'avoir salué d'abord.
J'allais enfin avoir les réponses à mes questions.
Je le dirigeais vers les cellules m'imprégnant d'une délicieuse odeur de sang et entendant les cris de supplices de mes victimes.

J'arrivais devant sa cellule déjà ouverte où était posté deux gardes.
J'entendis la fille parler.

-Qui êtes vous ?

-Tu n'as pas besoin de le savoir dis-je

Je l'observais, elle avait un grosse entaille au niveau du ventre et de multiple bleus la recouvrait.

-Laisses nous Evan, vous aussi

Une fois qu'il soit parti je commençais mon interrogatoire :

-Qui es-tu ?

-Je pourrais vous retourner la question

-Ne fais pas l'insolente grondais je

-Eh bien répondez moi dans ce cas !