Middle school. Kiribaku - Bakushima / krbk .

Noel. _

«... Pourquoi. Juste pouquoi.»

"..."

-"..."

"..."

-"..."

«...
Pourquoi, à chaque fois qu'il se passe quelque chose, c'est toujours, toujours, vous quatre. Tabasser un groupe de mafieux? Vous avez battu vos records."

Moi, Kacchan, Kaito, et Eijiro, étions assis sur les bancs du commissariat, menottés.

".. Je suis désolé, sensei, c'est de ma faute, je-."

«Non, Midoriya. C'est pas de ta faute. Katsuki, Kaito, qu'est-ce que vous avez fait, encore?"

-"Eh mais c'est pas moi! C'est Deku!"

«Arrête de toujours accuser Midoriya, toi!"

"Nan, mais il a raison. C'est Izu' qui nous a entraîné là dedans."

-".. Comment il balance son mec sans scrupules."

"Désolé, mais à cette heure là on devrait déjà en train de se boire des cafés en se bourrant de sucre, devant un bon film des années quatre-vingt, sous des couvertures."

".. Je suis désolé, Kaito.."

"Arh, c'est bon. On a encore le temps de profiter de Noël."

«Eh bien non. Vous rentrez immédiatement et vous êtes privé de tout."

-"Quoi?! Mais bordel, pourquoi?!"

«Parce que vous avez tabassés des gens, Katsuki! Voilà pourquoi!"

"Je veux pas intervenir dans cette conversation des plus houleuses, mais ces connards l'ont bien cherchés. Et même si c'est la faute d'Izuku, c'est vrai que Kacch' et moi, on a pas vraiment arrangés les choses. Eijiro a voulu nous arrêter tout du long."

«Et bah faut revoir les capacités de persuasion, ici."

".. Ow. Çette nuit va être horrible.."

-

Quelques heures plus tôt. 3:26 du matin. 24decembre.

"Izu', ferme la fenêtre, je vais te flinguer."

".. Oh! Excuse-moi, je pensais que tu dormais!"

"Ouais, je dormais. Avant que tu ouvres et que la putain de sa mère, il fait moins dix dehors."

"... Hm, oui. Désolé."

"Puis qu'est-ce que tu fous? Viens dormir, et éteins la lumière, bordel."

".. Je te rejoins plus tard."

"Tu te fais une crise existentielle, les cheveux dans le vent à travers la fenêtre? Arrête de réfléchir et viens dans mes bras, tu sais très bien que tu me réchauffes, et que j'arrive pas à être tranquille quand t'es pas avec moi."

"... Kaito, je..
...
.. Ouais, j'arrive.."

Je me suis approché de son lit, et je me suis glissé sous la couette. Kaito a passé ses mains dans mon dos, mais j'ai gardé les miennes près de mon corps.

"... Izuku, touche ma peau, t'es super chaud."

"... Non, ça va."

"Quoi?"

".. C'est juste que.. J'ai super froid, et ta peau est gelée.."

"La chaleur corporelle. Rapproche toi de moi."

".. Ça va aller."

"... C'est quoi le problème ce soir, putain?"

".. Je vais chercher d'autres couvertures dans la pièce commune, ok? Je reviens."