SAJIMÉS : coup monté

Chapitre 7

Le temps passa et la nuit tomba sur konoha.
À Senju corporation, au milieu d'une salle toute grande, plusieurs personnes étaient assis. En effet, il s'agissait des hommes qui travaillaient pour Tsunade, et elle même se tenait devant eux. À ses cotés, Shizune et une homme assez vieux dont la chevelure était blanche et longue.

Tsunade (bras croisés) : Bien, comme chacun d'entre vous doit le savoir, la ville est replongée dans une seconde menace... Et en particulier, notre entreprise...

Garçon (aux gros sourcils) : pourquoi, il y a défaillance ?

Tsunade : non Lee.

Seulement, ce que l'on craignait le plus vient d'arriver... Les Sajimés sont revenus.

La salle hurla de surprise.

Tsunade : Nara, ainsi que la police m'ont dit avoir vue de leurs propres yeux deux Sajimés ; Naruto Uzumaki et Sasuke Uchiwa...

Certains jetèrent des regards interrogateurs à Shikamaru, mais cet dernier gardait ses yeux fermés.

Garçon (en lunettes noirs) : mais cela est absurde... Vous nous aviez certifiée que ces monstres étaient bien morts.

Tsunade : et j'étais bien présente quand Nara s'occupait de certains d'entre eux, Shino... Mais je suis toute aussi surprise que vous de savoir ça.

Des messes basses naquirent au milieu de la salle. La femme blonde leva la main et s'apprêta à continuer.

Tsunade : Toutefois, n'ayez crainte... Votre présence ici est plus que suffisante pour les éradiquer... J'ai fait partir toutes les jeunes filles de l'entreprise afin que ceci ne soit pas un danger pour elles... Ainsi donc, on pourra les éliminer sans nous retenir.

Shino (étonné) : parce qu'ils viendront ici ?

Tsunade : les connaissant, oui il viendront ici pour tenter de nous faire du mal... Mais on va pas nous laisser avoir... On est plus nombreux et beaucoup plus fort qu'eux.

Homme (à la chevelure): ça c'est certain.

Tsunade : alors dans ce cas, on va rester ici, les attendre, pour les tuer une bonne fois pour toutes.

La salle était d'accord avec cette idée de la femme.
Cependant, Shikamaru qui n'avait pas osé dire un seul mot depuis le début, regardait maintenant Tsunade, les yeux plissés et sourcils légèrement froncés.
Quelque chose clochait se dit-il.