Il est surnommé le coureur de jupon...
Elle se focalise sur ses études après avoir vécu une rupture amoureuse dont elle a eu du mal à se relever.
Elle va lui taper dans l'œil et souhaite à tout prix en savoir plus sur elle ne se sentant plus capable...
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Naël Walters
Cette soirée est un véritable calvaire.
Je ne pouvais pas rêver pire en-terme de première journée dans ce merveilleux – pas du tout - restaurant.
Bizarrement, je n'ai affaire qu'à des clients qui mettent ma colère à rude épreuve. Et étant une personne au sang-froid, ce soir il m'est difficile de me retenir de leur mettre un poing dans leurs visages à la mine bien trop agaçante à regarder.
Actuellement, je me tiens à l'arrière du comptoir dans l'attente que le café d'un étudiant venu réviser finisse de remplir la tasse.
Pour être franc j'aimerais que la couler de café qui remplit la tasse ne soit interminable pour la simple et bonne raison que cela fait à présent trois bonnes heures que je me trouve ici et que la seule et unique personne gentille qui m'ait adressé la parole, c'est lui.
Mais par mon plus grand malheur un bip sonore résonne signe que le café est fini et je vais devoir affronter de nouveaux clients insupportables.
Les portes battantes s'ouvrent une nouvelle fois laissant la chaleur extérieure entrée dans l'habitacle climatiser. Mon regard ne se dirige pas tout de suite en direction de l'entrée étant bien trop concentré à ne pas faire tomber la tasse parterre.
?? – Bonjour, je viens récupérer une commande à emporter au nom de Roberts. Demande-t-elle à mon collègues charger des commandes à emporter.
?? – Je vous laisse patientez quelque instant, mon collègue va s'en charger. Dit-il en jetant un regard en ma direction.
J'ai envie de l'étriper.
Mon regard croise celui de mon fameux collègue qui sans aucun doute me désigne pour que je m'occupe une nouvelle fois du boulot qui lui ait attribué.
Du mieux que je puisse, je remballe ma colère mais je ne peux pas m'empêcher de l'insulter de tous les noms d'oiseaux qui puissent exister dans ma tête.
Sans adresser un mot à ma nouvelle cliente, je me dirige en cuisine où je remarque qu'à l'extérieur, tous mes collègues se trouvent en pause-café. J'émets un soufflement nasal et récupère le sachet en direction du comptoir du bar.
Je lui tends sa commande déjà régler. Mais au moment de réceptionner sa commande, je la vois me tendre un billet de cinquante dollars.
?? – Si cela peut vous encourager pour le reste de la soirée ou à rester dans cette enseigne.
Je lève en les yeux en direction de mon interlocutrice et remarque qu'il s'agit de celle qui a réussi à absorber toute mon attention en un simple passage. Complètement abasourdis par le fait qu'elle se tienne ici devant moi, mon regard ne la quitte plus ce qui ne semble pas l'intimidé.