Bad Boss (Patron Arrogant)

CINQ

J'étais encore sous le choc. Je me suis assise sur le plan de travail à la cuisine en lisant la note que mon patron avait laisser pour moi.

Maintenant je vois ce que sarah voulait dire en parlant de ce "marcus".

Je relis la lettre pour être sure de n'avoir rien loupé.

Mademoiselle helena.
Je vous souhaite la bienvenu chez moi.
Pour commencer je voudrai que vous sachiez que je n'ai jamais demander à avoir une femme de ménage.
Vous devez votre place à ma mère.
Alors, etant donné que je ne suis pas vraiment pour l'idée que vous restiez travailler chez moi, j'espère que vous ne me donnerais pas d'occasion de vous mettre à la porte, car sachiez le, je n'hesiterai pas.

Vous allez faire un essai d'un mois. Durant lequel si vous ne cassez rien, je dis bien rien, ne faites rien qui pourrait m'irriter vous resterai. Autrement je serai obliger de vous renvoyer.
Ouvrez le paquet, j'espere qu'il vous ira.
Et avant de touchez à quoi que ce soit, donnez a manger a gael, le chat.
Si vous avez quoi que ce soit à me dire, faites le par ecrit.

Bonne journee.
Mr marcus.

Il me signifiait clairement que ma présence chez lui n'était pas du tout agréable. Il n'aurait pas pu être plus claire.
Meme si ce n'était que mon patron, ca faisait quand même mal.

Je reste quelques minutes encore assise à balancer mes jambes en reflechissant.

Et puis c' est pas comme si je mendiais. Non. J'offrais mes services en echange de quelque chose. Et à voir dans quel etat j'ai trouver sa maison il en a vraiment besoin.

Maintenant je me dit qu'il a vraiment fait tout ce bordel expres parcequ'il savait que je viendrai.
Peut etre qu'il fait ca pourque je craque et que je démissionne; parceque si j'ai bien compris lui il ne voulait pas m'engager, sa mère la peut être obligé...
Les larmes me montent aux yeux, je relève la tête vers le plafond pour pas que ca coule et je descend de la table!
Je ne vais pas gacher ma journée a cause d'un pauvre grincheux comme lui!
Je me rappelle quand on avait arrêter papa j'avais pleurer toutes les larmes de mon corps. Pendant au moins deux semaines je m'enfermais dans ma chambre à pleurer. je voulais qu'on me rende mon papa. Et quand on était venu nous chasser de la maison, c'est là que je commencais à comprendre que le monde ne tourne pas au tour de moi. Mes caprices de petite fille gaté ne pouvait plus être exaucé. J'ai compris que j'aurais beau pleurer des jours, des mois, ca ne changerait rien à la situation. Alors quand les jeunes de mon quartier et même des adultes me lancaient des injures à moi, ou à propos de maman ou papa, je gardais la tête haute faisant la sourde oreilles. C'était tout ce qui me restais: ma fierté.
Parfois voyant que je ne pretais pas attention à tout ce qu' ils disaient ils me laissaient tranquille. D' autres par contre allaient jusqu'à m' aborder pour me parler de mon père ou même de me dire en face ce qu'ils pensaient de moi
Avec le temps ca devenait dangereux de rester en ville.
Ce qui a fait que nous etions obliger de quitter la ville pour aller au village où tante et maman avaient grandit. Labàs les gens avaient été plus gentils. Apart les airs de pitié en me voyant ils etaient vivable. Mais je ne pouvais pas continuer a vivre comme ca. Peut etre parceque j'etais trop fière pour accepter cette situation; mais surtout en pensant a mon père.

Je suis consciente qu'un salaire de femme de menage ne suffirait pas à payer un toute la dette de mon père, mais c'etait un début.
Alors quand j'ai dit à maman que j'allais dans la capital chercher un travail, elle avait refuser, bien entendu. Laisser sa fille, sa seule et unique fille s'en aller elle aussi n' était pas vraiment une grande joie.
C'est comme ca qu'il m'avait fallu au moins deux mois pour la convaincre de me laisser y aller.