Pdv Louis. J'étais plus que ravis d'être avec mon Harry... Toute fois même si je n'avais pas été avec lui, je m'aurais assuré de ne pas le lâcher une seconde. Étant celui qui se fait respecter de tous, les gens se retournèrent tous vers moi et attendait que je parle.
Louis : Puisqu'il faut choisir quelqu'un qui ne doit pas être touché et un autre invincible, je serai l'invincible, ça va de soi pensai-je, et Harry, le tirant par le bras puisqu'il essayait de se tenir le plus loin de moi, tu seras celui que l'on doit protéger... Des questions?
Tout le monde hocha négativement de la tête et se dirigea vers le terrain pour commencer la partie. On jouait à une sorte de ballon chasseur modifié où il y avait une personne qui ne pouvait mourir et une autre qui nous faisait perdre la partie si elle était touchée. Ces deux personnes restaient secrètes. Je passai à côté d'Harry et en lui frottant le bras je lui glissai...
Louis : Fait attention à ses jolies petites fesses, il serait dommage que tu les abimes.Je le regardai intensivement, puis me mit en place sur le terrain. La partie allait débuter.
Le coup de sifflet venait d'être donné que je voyais déjà un ordre de ballons virevolté et s'abattre tout bord tout côté. Je faisais de mon mieux pour éviter, attraper puis relancer les ballons tout en protégeant Styles. Après avoir bien réfléchit, j'aurais peut-être dû choisir quelqu'un d'autre pour être la personne qui ne doit pas être touché. De un, aucun ballon ne lui arrivait dessus, et de deux, il était tellement froussard qu'il s'était mis au fond du terrain et tout le monde avait compris que c'était lui le pion. Alors en peu de temps c'était moi qui recevais tous les ballons en pleine tête et ça me mettait en furie. Au bout d'un moment je sortis de mes gonds.
Louis : Mais qu'est-ce que tu fous Styles? Magne-toi... Fais quelque chose pour nous aider! Tu fous rien, c'est normal qu'on prenne une racler.
Je le poussai et le repoussai encore jusqu'à ce qu'il atteigne le mur du fond. Je mis ma main au niveau de sa gorge et lui soufflai à l'oreille.
Louis : Tu sais que tu vas me payer chaque ballon que j'ai reçu? Tu vas me le payer...
Le prof arriva derrière moi et déposa sa main sur mon épaule.
Prof : Louis, lâche-le!
Louis : Je ne lui faisais rien de mal, juste le résonner ne vous inquiétez pas.Je retournai mon regard dans celui vert du petit Harry. Je le lâchai finalement, mais ne me décollai pas tout de suite. Il essayait de fuir mon regard, mais j'attrapai son menton. Je flattai finalement sa joue et me décollai de lui.
On se remit sur le terrain et la partie recommença. Au bout d'une quinzaine de minutes, il n'y avait toujours pas d'équipe vainqueur et étant vraiment tanner de recevoir du caoutchouc dessus, je laissai passer un ballon et il a atterri en plein dans le visage d'Harry. Un rire mesquin sortit de ma gorge. Quand le ballon retomba au sol, il n'y avait pas que le ballon qui tomba, mais plusieurs gouttes de sang provenant du nez du bouclé. Le professeur accourut une deuxième fois vers nous.Prof : Harry, es-tu correct?
Harry : Oui oui, j'ai juste mal au nez.
N'ayant pas de mouchoir sur lui, il avait relevé le bord de son t-shirt et épongeait le sang avec celui-ci. Je me permis un petit regard vers son ventre. Magnifique tout comme lui. Le prof me sortit de ma contemplation en disant mon nom.
Prof : Tomlinson, apporte Harry à l'infirmerie pour qu'elle nettoie tout ça.
Harry regarda le prof d'un air apeuré comme un chevreuil sur le bord de la route.
Harry : Ça... ça va être correcte. Je... je vais mis rendre seul...
Louis : Bien sûr que non ça va me faire plaisir de t'y amener. Tu es nouveau et c'est de ma faute si tu es comme ça, laisse-moi t'y apporter.
Prof : Merci, vous pouvez disposer. Vous ferez signe au concierge de venir nettoyer tout ça si vous le voyez.
Louis : D'accord monsieur.Je pris Harry par l'épaule et l'amenai à l'extérieur du gymnase. Le pauvre petit tremblait sous mes bras. J'adorais ça.
Louis : Ne t'inquiète pas, je ne te ferai pas de mal...
Il ne répondit pas et commença à trembler de plus belle. Je l'entendis renifler démontrant qu'il pleurait. Je le plaquais sur le mur.
Louis : Je t'ai dit que je n'aimais pas les pleurnichard alors arrête de pleuré.
Je le tirai et on entra dans les vestiaires. À ce geste, il me dit :
Harry : Tu... tu ne devais pas... aller me... porter... à l'infirmerie...
Louis : Je vais m'occuper de toi, mais avant on va enlever ton chandail plein de sang. Tu en mets partout.
Je pris son chandail en main et ne lui laissant même pas une demi-seconde pour réagir qu'il n'avait déjà plus rien sur le torse. Je jetai son gilet à la poubelle et pris du papier brun et épongeai son nez.
Harry : Pour... pourquoi moi? Qu'il me dit faiblement entre deux sanglots...
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GaySchool
FanfictionDans une école où la différence était vue comme la normalité, un adolescent n'étant pas au courant de ce fait allait voir la vérité le rattraper plus vite qu'il le pensait. L'homosexualité était une des plus belles choses qui existait dans cette éco...