Chapitre 2

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La cérémonie d'entrée.

L'usage.

Passer une heure à faire chier tout le monde et nous faire perdre une heure de notre vie.

On a passé une heure à écouter des vieux dire de la merde ennuyante et sans intérêt.

La seule chose que j'ai pu en faire c'est observer un peu les classes.

La classe A

Que des coincés ennuyant.

Bien que cela dit j'ai trouvé un chauve qui visiblement fera en sorte de préserver sa fierté qu'il pourrait être marrant de plonger dans le désespoir et une loli handicapée vaniteuse que je me ferai un plaisir de briser.

La classe B.

Définitivement ma classe préféré.

Ils sont tous si joyeux et unis.

S'ils se brisent leurs désespoirs sera si beau.

La classe C.

Des délinquants basiquement.

Les faires sombrer sera plutôt fade.

Mais y'a un type aux cheveux magenta qui vu son sourire sera un plaisir de le faire s'écraser.

Et une fille aux cheveux d'argent qui parait plutôt optimiste et calme.

Si je la brise je suis sûr que son expression sera magnifique et si mignonne.

Et enfin la classe D.

Regardez-moi ces idiots heureux de l'être.

Oh oui.

Leur désespoir sera aussi beau que la classe B.

Encore plus d'ailleurs!!!!!

Surtout ce garçon aux cheveux vers brun, le blond du bus et la fille aux cheveux de corbeau.

Oh mon dieu j'en salive déjà.

Ayanokoji : "Enoshima. Tu baves."

Oh merde.

Je salive littéralement.

Je vais me reprendre.

On est déjà presque à la salle de classe.

J'ai une image à tenir pour la discrétion.

Junko : "Merci Kyotaka."

Kyotaka : "Mon prénom?"

Junko : "Ouais pourquoi pas?"

Kyotaka : "N'est-ce pas un peu rapide?"

Kikyo : "Elle a fait pareil avec moi. Laisses la faire tu l'arrêteras pas."

Kyotaka : "Va pour Kyotaka alors."

Junko : "Et appelles moi Junko."

Kyotaka : "Et je n'ai pas le choix je suppose."

Kikyo : "Non."

Kyotaka : "Soit. Et pour toi Kushida?"

Kikyo : "tu peux aussi m'appeler par mon prénom je ferai de même."

Kyotaka : "Kikyo donc. Entendu. Mais vraiment Junko contrôles toi parce qu'on arrive et si tu comptes trainer la classe dans le désespoir commence par te faire bien voir."

Junko : "Naturellement. Après tout...je suis l'ultime désespoir."

Je rentre dans la classe avec énergie et un beau masque.

L'élite du désespoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant