Enemies to lovers

Je te déteste et moi je t'aime

Xavier et moi retournons dans notre dortoir après la confrontation avec Mercredi. Je m'assois sur le lit encore en colère de la réaction de celle-ci.

Moi : J'en reviens pas que ma cousine ne me fasse plus confiance ! Je suis quand même une membre de sa famille, pas une inconnue !

Xavier : Je sais que c'est dur à entendre T/P, et pour moi aussi c'est dur d'être pris pour quelque chose que je ne suis pas, mais Mercredi est têtue comme tu me l'a souvent répété et cela ne sert à rien d'essayer de la faire changer d'avis.

Moi : Je sais mais ça reste ma cousine ! Jamais un membre de ma famille ne m'a traité comme elle l'a fait.

Il vient s'assoir à côté de moi et passe son bras au creu de mon dos.

Xavier : Écoute moi, moi je te fais amplement confiance. Je te protégerait toujours quoi qu'il en coûte. Et si ta cousine ne veut pas nous croire alors c'est son problème.

Moi : Merci...Merci de croire en moi et de vouloir me protéger.

Xavier : C'est normal après tout. Je suis quand même ton copain.

Il me regarde puis m'embrasse tendrement.

Je sais que je le répète souvent mais j'ai vraiment la chance de l'avoir à mes côtés. Et surtout je le dis haut et fort, j'ai le meilleur copain du monde !

~La nuit passe~

Je me réveille tranquillement vu qu'aujourd'hui nous n'avons pas cours. Je m'étire et remarque que Xavier n'est pas à côté de moi.

Je me lève et me dirige vers la salle de bain.

Moi : (Surnom) ?

(Choisi le surnom que tu veux lui donner)

Xavier : Oui ?

Moi : Ah non ça va. Je me demandais où tu étais.

Xavier : Je me prépare. Mais attends deux secondes.

Moi : Oui ? Quoi ?

Xavier : Tu viens de me surnommer (Surnom) ?

Moi : Oui pourquoi ? Ça te dérange ? Tu en veux un autre ?

Xavier : Non c'est mignon, j'aime bien.

Moi : Je t'aime (Surnom).

Xavier : Moi aussi ma belle.

Un sourire se dessiné sur mon visage et je pars m'habiller. Malgré qu'aujourd'hui on n'a pas cours il faut quand même pas abuser.

Xavier ressort de la salle de bain avec les cheveux mouillé. Je le regarde fixement. Je crois même qu'il y a de la bave au coin de ma bouche.

Xavier : Fais attention, tu commence à fondre. /lâche un petit rire/

Moi : Pardon mais faut que je te le disse. T'es trop beau !