Rencontre.

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J'entends des voix autour de moi, je sais que je vais ouvrir les yeux mais je ne le veux pas.

Voix d'homme: La belle au bois dormant se réveille enfin.

Je compris très vite que me yeux avaient réagit à la lumière et je n'eûx d'autre choix que de les ouvrir.

Mes yeux à peine ouvert que je vis l'homme que j'avais vu plutôt ce matin.
Je ressentis un frisson en croisant de nouveau son regard.

Il porte un beau costard, digne de celui d'un patron fortuné.

Tellement occupée à détailler ce qui se passe que je ne remarque pas cet homme se rapprocher de moi.

Mais qu'est-ce qu'il fait ?!

Homme: -Du calme, je ne vais rien te faire.
Sauf si l'envie me prends. Alors profite que je sois calme avant se t'exciter.

Sous-fifre: -C'est voir autant d'hommes autour de toi qui t'excite comme ça ma jolie ?

Un frisson de dégoût m'envahit quand cet homme s'approche de moi.

Homme: -Retire toi d'elle.
Je ne veux voir personne près d'elle, c'est compris !?

Les autres hommes ont hochés la tête.

Je commence à me lever pour m'en aller quand je me fais violemment poussée contre le sol.

Homme: -Où comptes-tu aller ? Tu vas rester ici ma cocotte.

Je ne savais pas quoi penser, j'étais sous le choque.

Homme: Je vais t'apprendre les bonnes manières, petit colibri.

Je n'ai pas eux le temps de dire quoi que ce soit que je me retrouve portée par 2 hommes que je n'avais pas encore remarqués.

Il me déposent dans une chambre et un des 2 hommes reste.

Je le regarde sans compréhension, il se jeta sur mon corps quand la porte s'ouvra et laisse place à l'homme qui ne prit pas une seconde de plus à tuer son homme.

Mon cœur commença à s'emballer, ma respiration à être saccadée, des frissons m'empara.

J'avais un corps contre moi.

Pourquoi l'avoir tuer !?

Homme: -Tu vas devoir t'y habituer.

Homme de main: -Patron, ce n'est pas un endroit pour une jeune fille...

Homme: -Je crois ne pas t'avoir demandé ton avis.

L'homme de main baissa immédiatement la tête et les autres s'écartèrent de cet homme.
Sans attendre celui qui se fait appeler "patron" s'avança vers l'homme de main.

Homme de main: -Pardonnez-moi patron, ne me faite pas de correction. Pitié.

Patron: -Ferme. Ta. Gueule.

Il s'exécuta et la seconde d'après, le patron était en train de lui coudre la bouche !
Oh mon dieu...J'ai vomir...

L'homme de main avait des larmes sur les joues, j'admets que j'eux de la peine pour lui.

Patron: -Ça fait du bien de plus t'entendre.

Mon pouls est très élevé, je n'arrive pas à me calmer, trop de questions apparaissent en même temps et au même moment.

Le patron fit signe aux autres de partir, je voulu partir mais quelque chose me retenait.
Des chaînes, en bougeant je sentis la froideur du métal contre ma peau ce qui m'arrache un léger gémissement.

Patron: -Bah alors, tu te croyais libre ? Je ne suis pas fou. Enfin si, mais non.
Pas dans ce sens là !

Il commença à partir en fou rire, ça me rassure très peu.

Homme de main: -Patron, vous avez un rendez-vous.

Le patron se calme rapidement.

Patron: -Mmh, ah oui c'est vrai.

Homme de main: -Vous avez oublié vos cachets on dirait...

Des cachets ? Pour être moins con ? Je savais pas que ça existait.

Le patron fait revenir les autres hommes dans la pièce.

Son homme de main s'approche soudainement de moi, me retire mon pull pour me mettre des vêtements chics, digne d'une femme d'affaire.
Et sans que je n'ai pu avoir mon mot à dire j'étais déjà dans une voiture assise sur un siège entre 2 hommes de mains bien costauds.

Chauffeur: -Au club monsieur ?

Patron: Exactement, dépêchez.
Je suis en retard.

Nous étions déjà en route, je n'ai aucune idée de la vitesse à laquelle nous allons mais je doute fortement qu'elle respecte les 50 kilomètres par heure autorisés.

La police nous arrête et bizarrement le chauffeur s'arrête.
La vitre teintée à peine baissée que je vis le visage du policier se décomposer en voyant le patron.

Patron: -On y va maintenant.

Environ 10 minutes plus tard nous étions arrivés.
Le patron m'ouvre la portière et 4 de ses hommes m'escortèrent par jusqu'aux coulisses.
J'y patienta pendant environ 20 minutes quand le patron entra.

Patron: -Tu vas danser pour moi.

Mes yeux s'écarquillèrent, il rigolait ?

Patron: -Met cette tenue.

Il sorta en me laissant avec ces 4 hommes.

1 des hommes: -Je comprends pas pourquoi le patron veut s'emmerder avec une nana.

Autre homme: -On en a assez pour se satisfaire, il abuse.

Homme n°3: -Je suis pas sûr qu'il lui est réservé le même sort qu'aux autres.

Allez-y, discutez comme si je n'étais pas présente.

Patron: -Vous parlez dans mon dos !?

Je n'eu pas le temps de me retourner que le patron avait déjà ôté la vie de ces 4 hommes.

Patron: -Quelle équipe de bras cassés ceux-là.

J'étais en train de me changer quand il se tourna vers moi.
Je rougis en le voyant s'approcher de moi.
Ça ne m'aide pas de devoir reculer en même temps que je me bat avec ma tenue que je n'arrive pas à mettre.

Patron: -Bouge pas, je vais t'aider.

Je m'arrêtes pour me laisser faire sans aucune confiance.
Pourquoi m'aider ?

Patron: -T'as l'air ridicule, j'ai honte pour toi.

Il finis me faisant sortir en même temps que lui.

Aïe, je suis en talon...
Mais je ne sais pas marcher en talon !
Je le suis en tremblant des chevilles en essayant de rester stable en marchant.

On arrive enfin à l'intérieur du club.
Un club dirigé par la mafia.
Le patron s'avance vers une table où 2 hommes sont assis autour de quelques verres d'alcool vides.
Le patron marche trop vite pour moi je sens que mes chevilles vont lâcher.

Et ce qui devait arriver arriva.
Je tombe directement sur la table à la seconde où le patron s'y est assit.

Une vie pour une autre.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant