Chap 68

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Bonjour/ Bonsoir

PDV de Pedro Owono

Je suis encore dépassé j'ai failli mourir tout ça à cause de cette folle de grâce, ma pauvre petite Judith elle fait genre devant tous qu'elle se sent mieux mais je sais au fonds de moi que ça ne va pas du tout, personne n'aimerait voir sa mère dans tous les journaux pour tentative de meurtre , quoique grâce restera sa mère


Wendy : à quoi tu penses depuis tout à l'heure je parle mais je reçois aucune réponse


Moi : Judith m'inquiète

Wendy : moi aussi , Rokia également m'inquiète mon esprit n'est pas du tout tranquille


Moi : surtout elle avec un nouveau né une naissance devrait être la joie et non de la tristesse absolue

Elle courait

Técia : maman aubin se bat dans la rue

Moi / Pedro : quoi

Elle court cette fois dans la direction opposée du salon nous la suivons

Aubin : je vais t'arracher les yeux

Moi : aubinnnnn

Il arrête tout mouvement à l'entente de ma voix , il se retourne lentement

Aubin : pa...

Moi : dans la maison tout de suite

Il se fait pas prier

Wendy : je peux savoir pourquoi vous étiez entrain de vous battre

Un jeune garçon : madame nous lui avons provoquer nous le connaissons posé avec une maîtrise de soi surdimensionnée nous sommes surpris désolé


Wendy : provoquer en disant quoi précisément je connais mon fils

Un autre jeune homme : nous avons fait de l'humour avec la vie de son père qu'il fallait qu'il part en prison au lieu de la dame car rien nous dit qu'il n'est pas le vrai coupable dans l'histoire

Wendy : quoi , comment pouvez vous jouer avec une histoire pareille , un meurtre selon vous est une bonne nouvelle

Un autre jeune homme : il dit pas tout ,nous avons appris que Judith n'est pas votre fille mais la fille d'une criminelle

La main de Wendy était déjà en direction de la joue de cet enfant elle se retint soudainement tourna les talons silencieusement nous laissons là


Moi : quoi que les journaux disent , ne plaisanter plus jamais ainsi aubin est votre ami vous devrez le remonter le moral s'il était sans père aujourd'hui ça devrait être joyeux

Ils répondirent en choeur non puis demandent pardon et s'en vont sous mes ordres

Je suis devant la porte de la chambre de aubin je toque personne ne me réponds

Moi : mon fils ouvre moi cette porte tout de suite

Je sentis un mouvement puis la porte s'ouvre , il retourne s'assoir par terre prend une feuille , un crayon et dessina , dessiner pour aubin l'apaise , le rend joyeux

Moi : que dessines tu

Il me regarde pas il continue

Moi : écoute c'est vrai qu'ils t'ont énervé mais mon fils je t'ai toujours appris à ne pas te battre surtout en public , ta maîtrise de soi est sensé déshabiller ton adversaire

Mon mariage forcé - WendyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant