Happy face

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Brisée,meurtrie,

Elle se consumait comme une bougie,

Attendant seule dans son lit,

Les secours qui ignoraient qu'une telle détresse logeait ici


À force de mentir,

À force de dire se sentir bien,

Poussant les autres à poursuivre leur chemin


Mais elle continuait à jouer sa pièce,

Malgré que les larmes ne cessent,

Pour que les spectateurs restent


Se sentant étouffée,

Elle cherchait vainement de l'air,

Ou peut-être bien la chaleur d'une mère


Malheureusement c'était trop tard,

Le spectacle gagnait succès,

La vérité délaissée dans un couloir aux idées teintées de noir,

Appelé "𝐑é𝐚𝐥𝐢𝐭é"


Mes poèmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant