Une plume ne faisant écho,
Aucun raisonnement, presque illogique entre les mots.L'écriture était abstraite et parfois même son auteur n'en était sûr,
La seule certitude était la fatigue dans sa poigne,
La plume bavant au manque de vie.Les mots vides de sens ou d'un semblant de couleur,
Qui s'intéresse à un morceau de papier vide, abandonné ?Personne ne s'est donné la peine de me faire sentir aimée.
Pourquoi blâmerai-je quelqu'un.
J'espère juste que ceux dont j'ai oublié le nom,
se souviendront du mal m'ayant été attribué par fautes d'un manque de présence et de leurs responsabilités.Mais c'est bête car quel personnage brillant,
Se tâcherai à lire un récit d'encre abîmée.Le figurant cria des mots d'un air doux,
Des menaces ou des injures,
Il était à parier que ses paroles étaient floues pour toutes et tous,
Ainsi que sa propre personne.La haine se mêlait à l'odeur sucrée des faux compliments,
Mots de vipères,
On ne savait guère distinguer le ≪ méchant ≫.L'histoire semble trop longue à conter,
Je m'ennuie moi-même en la récitant.C'est des paroles ancrées dans ma mémoire,
Encore, encore, encore.J'ai ressassé cette histoire tellement de fois,
Nausées, pleurs, sourires.
Pour passer à un visage ennuyé de devoir encore la raconter.Pourquoi les lecteurs seraient intéressés,
Quand l'histoire est contée par un auteur lassé.Fatiguée de répéter les mêmes mots.
Les solutions, il y en a à flots,
Mais les malheurs,
S'étaient déjà habitués.Ils rongent un être,
Leur douleur n'est rien,
car tout fini avalé.Solution de pacotille,
Quand les malheurs semblent me sourire d'un air amusé,
Faisant semblant de frétiller,
Quand la douleur finie avalée.Encore et encore la même histoire,
Mais oui,
J'aimerai tant la changer.Mais ça n'est que l'histoire d'une figurante,
Non retenue.Les montagnes,
J'ai bien essayé de les surmonter.Mais voyez vous,
L'histoire fût encore la même,
Une simple histoire,
Tellement ennuyante,
Que sa créatrice,
Arrêta de la raconter.
VOUS LISEZ
Mes poèmes
PoetryMy world, So different from yours. Thoughts burning, throat sore. They call it love, I call it 𝘮𝘪𝘴𝘦𝘳𝘺 . Since the day I met you, That 𝘴𝘪𝘤𝘬𝘯𝘦𝘴𝘴 never left me Heart bumping so fast I feel like I'm gonna collapse. I wish to see yo...