Et ouais c'était stupide de croire en cette personne,
Une personne qui dit t'aimer sans jamais pouvoir t'abandonner,
Une personne qui dit te croire même si les larmes ne viennent.
Mais maintenant j'suis sûre d'une chose,
Mon cœur est clos,
Peu importe la cause.
Ils te disent t'aimer,
Ils t'avouent leurs peines,
Leurs larmes,
Leurs chagrins.
Que feras-tu,
Réalisant que tu es toujours seul.e ?
Que personne n'a jamais deigné à connaître tes malheurs,
Que c'est à toi qu'on reproche les mille défaults,
Même si ils te noient de leurs maux.
Tu verras,
Quand ce sera toi qui souffriras,
Abîme de noir,
Faussé d'avoir cru.
Les gens seront fatigués de voir que tu ne les sers plus.
Et si tu étais le seul individu,
Perdu dans ce nombre impair.
Celui dont personne ne veut,
L'outil qui pensait être le créateur.
Celui dont tout le monde se moquait en silence,
Car un outil n'a pas de cœur,
Car il ne connaît que les malheurs,
Faute d'en avoir un à lui seul,
Épongeant seulement ceux des autres,
Jusqu'à se casser.
Inutile.
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Mes poèmes
PoesíaMy world, So different from yours. Thoughts burning, throat sore. They call it love, I call it 𝘮𝘪𝘴𝘦𝘳𝘺 . Since the day I met you, That 𝘴𝘪𝘤𝘬𝘯𝘦𝘴𝘴 never left me Heart bumping so fast I feel like I'm gonna collapse. I wish to see yo...