Et j'supportais plus leurs dires,
Paroles envenimées,
Emportant les cris lassés,
[ lessivés ]
Jamais là quand j'en avais besoin,
Puis toujours,
Tendant la main
[ comme à chien ]
Pas un humain.Comme s'ils avaient le cœur sur la main.
Alors ouais,
Laisse moi rire,
J'en ai marre de pleurer,
Me cacher derrière des ≪ j'suis fatiguée ≫.Le temps à passé
[ rien à changé ]Ton monde s'écroule,
De blanc à noir,
Jolie souvenirs oubliés dans les placards,
De flou à gris,
Ces photos mal prises,
Mais qui faisaient sourire[ Et désormais ça m'afflige ]
De flou à blanc,
C'est le nouveau ≪ maintenant ≫.Le ton changeant,
Les gens t'oublient lentement[ se soucier d'un chien désobéissant ]
Animal de compagnie;
Pour sûr aurait été mieux accueilli.Crier à l'ingratitude,
Ils pensent que l'animal veut se donner une quelconque attitude,
Dehors,
Même aux enchères,
Par la plus grande des manières;
[ Personne,
ne voudrait,
d'un trophée rouillé. ]
VOUS LISEZ
Mes poèmes
PoetryMy world, So different from yours. Thoughts burning, throat sore. They call it love, I call it 𝘮𝘪𝘴𝘦𝘳𝘺 . Since the day I met you, That 𝘴𝘪𝘤𝘬𝘯𝘦𝘴𝘴 never left me Heart bumping so fast I feel like I'm gonna collapse. I wish to see yo...