Bipolaire

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PDV Harry Styles.


Je regardais droit devant moi, essayant d'ignorer les cries de ma petite sœur.


Je la voyais se débattre, elle frappait les gardes, criant qu'elle ne voulait pas y aller, qu'elle était innocente.


Je mordis ma langue, regardant férocement les policiers qui me serraient les bras, sortant de la voiture noire.


L'asile était immense, d'un brun pourrie. Le bâtiment avait l'air de tombé en ruine, l'architecture anglaise me donnait l'envie de vomir. Je tournais la tête, regardant derrière, il n'y avait rien, juste des putins de champs.


Ça va être long ici. Il va falloir que je me trouve des occupations, je suivais les policiers, levant la tête vers le haut bâtiment en passant le portail.


Il va falloir que je me trouve une victime.


Je voix du sang, j'entends des cries, je la voix allongée par terre, nageant dans son bain de sang. Encore et encore.


J'ai juste envie de retourner en arrière, et de recommencer. Encore et encore.

Le sang. Le sang. Le sang. Le sang.


Je pénétrai à l'intérieur du bâtiment, suivant de près ma petite sœur. Une dame nous attendait, les bras croisés sur son torse. C'est en sentant l'odeur de souffre, voyant les murs blancs propre, la sensation de prison, de malheur et de fucking maladie que je regrettai ma putin de décision. J'aurais dut nous tuer.


- Mlle. & M. Styles, je vous souhaite la bienvenue dans notre établissement. , elle allait continuer à parlé mais je la coupai, brusquement.


-Est-ce qu'ils peuvent me lâcher? , dis-je bêtement, Je ne me débat même pas.

-Non! , cria-t-elle. Ne soyez pas insolant! Je dois vous expliqué les règlements les plus importants, ensuite, nous verrons si les policiers vous lâcherons. Vous êtes imprévisible Harry, je ne courrais aucun risque.


Je suis imprévisible, évidemment que je le suis. Je levai les yeux en l'air, la trouvant encore plus insignifiante. Je la déteste déjà.


Je m'imagine déjà marquer son vieux corps, le sang couler le long de ses plaies et sa voix grave me suppliant d'arrêter.


- Comme je le disais avant qu'Harry m'interrompe, elle me lança un regard noir, alors que levai les yeux en l'air. Cette femme est pitoyable. Ici, à Warson il y a des règles, et vous devez les respectés, sinon quoi, vous aurez des sanctions.


- Horrible, je vous préviens, elle fit un sourire narquois regardant ma petite sœur droit dans les yeux.


Je grognai, sentant mon humeur s'amplifier de secondes en secondes. Rage. Rage. Rage. Rage.


C'est plus fort que moi, ça me prend par surprise et s'arrête quand bon lui semble. Je commençais à me tortiller, essayant de m'enlever des griffes de ses salopards de policiers.

h.s. & n.h. // delusionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant