22. C'est la division qui fait la force {S4}

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Le lendemain pdv Livia

Aujourd'hui, une nouvelle air commence pour les dojos Myiagi-Do et l'aigle venimeux. Je reprends simplement le paroles de mes deux senseis! On s'allit donc maintenant nous formons plus qu'un. Les Myiagi-Do venimeux? Non nul. Les aigle-Do? Non plus. Bon on s'en fout du nom, le plus important c'est qu'on soit tous amis. Hé mais à force de parler seule, j'ai pas écouté le merveilleux discours de Daniel et Johnny.

Bon en vérité je m'en care le cul de leur discours à la con. Pardon pour mon langage si peu soutenu. On commença donc à s'entraîner mais les deux n'étaient pas d'accord sur la façon de nous entraîner. Donc voici notre journée:

Bagarre, lavage de voiture (celle de mon père est dégueulasse c'est pour ça que j'ai ma moto à moi), parcours idiot (Chris à dégueuler c'était drôle) et denouveau des bagarres mais a l'intérieur (l'aigle a pété la toile de monsieur LaRusso).

Journée épuisante et un peu inutile selon moi. J'ai rien appris et c'est chiant. Donc je repars un peu déçu de cette nouvelle journée. Se soir on dîne avec les Diaz. Je me douchai donc et mis une chemise verte avec un jeans noir. Je rejoins mon père qui préparait un repas mexicain.

Moi: papa ils sont équatoriens.

Johnny: et?

Moi: c'est insultant. Mais bon fais comme tu veux.

Je mis la table et alla leurs ouvrir. On s'installa tous à table.

Johnny: j'ai fais un super plat Mexicain juste pour vous!

Roza: *en espagnol et en rigolant* mais il ne sait pas que nous sommes équatoriens!

Carmen: maman!

Moi: *aussi en espagnol* je lui ais dis mais il ne m'écoute pas.

Roza: tu parles espagnol Livia?

Moi: je le comprends vaguement c'est tout.

Miguel: non arrête de mentir t'es super doué.

Moi: ouais si tu le dis.

Carmen: sinon comment c'était votre première grande journée?

Johnny: une première journée comme les autres.

Carmen: alors les enfants vous trouverez comment cette alliance de dojo?

Moi: c'est... utile.

Miguel: j'adore, comme ça je peux être avec Sam.

Moi: y en a un qui en a de la chance.

Carmen: tu as un copain Livia?

Moi: non. Mais... enfin c'est compliqué entre nous.

Carmen: oh d'accord. Si tu as besoin d'en parler, je suis là.

Moi: merci.

Le fils de mon père {Tome 1}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant