chapitre 2 la conscience de Reich

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Pdv Reich :
J'étais toujours par terre, avec l'impression désagréable que ma tête allait se fendre en deux. URSS me caressais gentiment le dos. Je parvint a relever le menton de quelques centimètres vers le haut, juste assez pour voir le visage de celui qui m'avais anéanti de l'intérieur.
"- Tu peux te lever? Me demanda Soviet.
- Lève moi, on verra bien si je peux me tenir sur mes pattes. Répliquai-je."
Avec une force étonnante, URSS me prit le bras et me leva doucement du sol. Je vérifiais mentalement chaque partie de mon corps, vérifiant qu'elles fonctionnaient bien. Notamment mes jambes. Je me campais sur mes pieds et je fusillais Soviet du regard.
" -Merci Soviet. Je te rendrais la pareille, un jour. Dis je maladroitement.
- Non mais ne t'inquiètes pas, je n'ai fais qu'aider mon ami. N'est ce pas? Répondis URSS."
Sa question voulais dire qu'il attendais une réponse de ma part. Je n'étais pas son ami. Je réfléchis pour savoir quelle réponse lui donner. Je pouvais tenter cela...
"- Je-je ne sais pas trop Soviet...J'attendrais un peu avant de dire que nous sommes "amis". Dis je."
URSS rigola doucement. Puis il me lâcha, recula et me regarda.
"- Putain... T'es beau dans mon pyjama..."
Je rougis fortement suite à sa remarque (mais bon il ne le voyait pas fort heureusement).
"- Mouais. Il est un peu grand du coup j'ai du faire des ourlets. Dis je en levant la moitié du bras."
URSS s'approcha de moi et me pris par la taille.
NON! Pas ça! NON!
Il se pencha jusqu'à mon oreille et me chuchota des mots.
"- Reichy... Je n'aurais jamais cru que tu serais aussi sexy et attirant dans mon pyjama... Mon p'tit Reichy..."
Je sentit ma tête exploser à nouveau. Je vis le monde se mettre à tourner violemment tandis que je cherchais fébrilement les mains de URSS pour avoir un point d'ancrage dans la réalité. URSS fis un geste que je ne pensais pas qu'il me ferais un jour. Il se pencha vers mon cou, y posa ses lèvres et aspira ma peau. En d'autres termes il me fis un suçon. Lorsque ma tête arrêta de tourner, je me rendis compte de son geste et chercha de toutes mes forces a le repousser. URSS lâcha prise de lui même et me regarda dans les yeux.
"- Ta peau a une odeur de vanille, Reich. C'est normal?"
La vanille... Le parfum que je met a une odeur de vanille. C'est peut être les traces de ce parfum qu'il a dû sentir. Mal à l'aise je répliquait alors:
"- URSS je vais mieux... On peux peut être retourner se coucher tu ne crois pas?"
Le grand soviet acquiesça. On retourna se coucher et cette fois je m'en foutais qu'il soit dans mon lit ou pas.

Le lendemain matin

Je m'étirais tranquillement pour me réveiller. Je constatais rapidement que le grand soviétique n'étais pas a côté de moi mais qu'une odeur délicieuse flottais dans l'air.
"Il doit être en train de préparer le petit déjeuner, pensais je."
Je sortis de sous la couette et j'enfilais une paire de chaussons moelleux et confortables. Puis je descendis en bas. Soviet faisait cuire des pancakes. Je me léchais les lèvres a l'idée de mordre a pleines dents dans l'un de ces pancakes.
"- Attention, Reich tu bave."
La voix d'URSS me fis sortir de ma rêverie. En effet un filet de bave coulait le long de mon menton. Je l'essuyait du revers de la main avant de me mettre à table. Il me mit une assiette avec un pancake chaud dessus. Je mis du sucre sur mon pancake (non non, Reich tu va grossir) et je mordis dans le-dis pancake. Soviet me regardait manger.
"- Tu ne mange pas? " Dis je, la bouche pleine.
- Reichy... On ne parle pas la bouche pleine... Et non je ne mange pas car je n'ai pas faim.
- Mais..." Soviet m'interrompis en me posant un doigt sur la bouche.
Je finis de manger mon pancake avant de débarrasser et de laver mon assiette. Puis URSS me dis:
"- Reich... J'ai mis ton uniforme de nazi a laver. Il était plein de sang donc j'ai mis une tonne de détachant dessus."
J'ouvris des yeux stupéfait. Co-comment avait il osé faire une chose pareille ?! Je fermais les yeux et quand je les rouvris, mes pupilles était d'un beau rouge vif. URSS recula d'un pas.
"- R-Reich... T'a fais quoi avec tes yeux? Putain tu fais flipper là..."
Ce a quoi je répondis (je n'ai pas perdu la tête, croyez pas, hein.):
"- URSS, tu va sagement me rendre mon uniforme sans dire un mot sans quoi je te tue! Est ce clair ?"
URSS semblait plutôt intimidé devant mes paroles.
"- Je-je ne peux pas... C'en est déja au cycle essorage..."
Et là je pétait un câble total.
"- QUOI???!!! AU CYCLE ESSORAGE ???!!!" Je pris le couteau qui m'avais servi à manger mes pancakes, le voyant désormais comme un objet servant a commettre un meurtre. Le meurtre d'URSS. Je le mis sous la gorge du soviétique et déclara, d'une voix glaciale:
"- Alors maintenant mon p'tit coco, tu va m'arrêter cette machine a laver tout de suite avant que je ne t'égorge!"
Pour parfaire la phrase, je souris en dévoilant mes dents acérées et coupantes comme celles du couteau que je tenais dans ma main droite. URSS acquiesça maladroitement. Je le libérai de mon emprise et il partit.

Pdv URSS :

Oh putain ! Cet enfoiré m'avais fait super peur ! J'arrêtais la machine a laver et je récupérais l'uniforme de Reich tout en constatant que celui ci était encore humide et donc impossible à porter. Je revins voir Reich avec son uniforme dans mes mains.

Pdv Reich :
URSS revint avec mon uniforme dans ses mains. Je lui lançais un coup d'œil rageur.
"- Bon alors? Ne me dis pas que mon uniforme est pété sinon je te défonce la gueule !
- Euh... Ce n'est pas exactement ça mais... Reich... Je...
- Accouche.
- Il est encore trempé."
Je respirai a fond pour tenter de me calmer. Peine perdue. Je me jetais sur URSS avec une telle force que celui ci en tomba à la renverse.
"- SALAUD! ENFOIRÉ! PETIT ABRUTI!"
Ce fut les seuls mots que je parvint a lui dire tellement j'étais en colère contre lui. J'arrachais l'uniforme de ses mains avec une fureur si puissante que URSS ne put rien faire pour me retenir. Je partit en rage vers "ma" chambre pour me changer.
Par chance je trouvais un fer a repasser et je décidais de repasser mon uniforme pour le faire sécher.

A suivre...




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