Point de vue: Reich.
Je me posais après avoir fais un milliard de loopings avec mes nouvelles ailes. URSS me sourit et me dis:
"- Reich... Il fait nuit maintenant. On rentre, je fais à manger, on mange et on va au dodo."
Je hochais lentement la tête. URSS et moi on rentra, il se mit devant les fourneaux et j'allais dans ma chambre.Un quart d'heure plus tard...
"- REICH! A TABLE GROS FEIGNANT !"
Je descendis les marches en manquant de me casser la gueule. Lorsque j'arrivais devant URSS, il y avait deux assiettes posées sur la table. Je m'assis sur la chaise devant l'une des assiettes. Au menu ce soir là : Poulet frites. Je pris la mayonnaise et en mis dans un coin de mon assiette. URSS me regarda, attendant sans doute que je commence à manger. Je pris une frite entre mes doigts, je la trempait dans la mayonnaise et je la mangeait.A la fin du repas...
URSS m'accompagna jusqu'a ma chambre. Je ne savais pas quoi dire.
"- Merci. Merci URSS de m'avoir redonné mes ailes."
Il sourit et me fit pivoter vers lui. Sans rien rajouter, il m'embrassa tout en plongeant ses mains dans mes ailes. Je frissonnait légèrement à son contact. Quand on se sépara, il remarqua que je tremblais.
"- T'a froid Reich? Il ne faudrait pas que tu tombe malade..."
Je battis lentement des ailes en guise de réponse.
"- Bon. Vu ton regard, je suppose que ça veut dire oui... On se brosse les dents ensemble?"
Je le regardais intensément. Me brosser les dents...
"- URSS... Est ce que tu peux dormir avec moi ce soir?"
URSS sursauta devant ma demande.
"- Tiens donc! Le Grand Troisième Reich qui me demande si son Pire Ennemi, URSS peut dormir avec lui! Intéressant...
- Je t'arrête tout de suite, je ne suis plus Le Troisième Reich et tu n'est plus mon Pire Ennemi. T'es un ami... Voilà tout."
URSS rigola.
"- Voyons! Je te taquinais Reichy!"
Je le poussais doucement et j'entrais dans la salle de bains. URSS m'avait acheté une brosse à dents. Il prit sa brosse a dents, lui aussi, mit du dentifrice dessus et commença a se brosser les dents. Je répétais ses gestes et commença a me brosser les dents a mon tour. Pendant une minute, on entendis plus rien, sauf le frottement du brossage de dents. Quand soudain, URSS, la bouche pleine de dentifrice, se mit (enfin essaya) à parler:
"- Reich... Je chais que che m'y prend mal mais*crache le dentifrice dans le lavabo* est ce que tu voudrais que l'on fasse l'amour ce soir?"
Je sursautais. Lui... Et moi... Faire l'amour? Je le regardais intensément. Il était encore plus rouge que son drapeau pouvait le lui permettre. Je rougis à mon tour et je crachait le dentifrice dans le lavabo.
"- URSS, je n'ai pas oublié le "action ou vérité" que l'on a fais tout les deux... Je..."
URSS me coupa la parole.
"- Oui mais cette fois... Je serais sérieux. On oublie les jeux a la con comme le "action ou vérité", ok?"
J'ouvris l'une de mes ailes, la gauche, et je l'enveloppais dedans. Il caressa mes plumes et posa sa brosse à dents sur le rebord du lavabo.
"- hmmm... C'est tout doux et c'est si chaud... Moelleux et réconfortant..."
Je repliais mon aile derrière mon dos. URSS se plaça derrière moi et enfouis son visage dans mes ailes.
"- Je t'aime Reich bordel! Je t'aime et j'ai envie de te le prouver ! S'il te plaît..."
Son ton se faisait suppliant tout d'un coup. Je me retournais vers lui.
"- Reich, me dis URSS, ta brosse a dents est pleine de dentifrice et ça dégouline sur le sol. C'est clairement dégueulasse !"
Je sursautais et je me retournais vivement pour laver ma brosse a dents. Il recommença à mettre son visage dans mes ailes. Je dois avouer que sentir sa main caresser doucement mes plumes me faisait du bien.
"- Tu ne m'a toujours pas donné ta réponse, Reich, dis le grand soviétique, on le fais oui ou non?
- Je suppose que je n'ai pas le choix, alors c'est oui.
- Je t'arrête tout de suite! Tu as le choix Reich! Je sais que je me suis mal comporté avec toi lorsque tu est arrivé ici! Alors tu as entièrement le choix ! Je comprendrais parfaitement si tu ne veux pas."
J'hochais la tête. Après tout, on s'était avoué nos sentiments réciproquement. Malgré tout, je voulais le dominer. "Encore une trace de Troisième Reich", pensais-je. Je secouais vivement la tête. Troisième Reich n'existait plus. Mort et enterré! Fini!
Non...je ne pouvais pas le dominer, sinon j'allais lui faire mal. Autant que ce soit lui qui me domine.
"- Reich ? T'es là ? Dis URSS en claquant des doigts devant mes yeux."
Je soupirais en secouant la tête. Je le regardais droit dans son œil. Puis d'une voix que je ne connaissais que trop bien, trop sombre et trop grave à mon goût, je dis:
"- URSS... Je veux bien faire l'amour avec toi ce soir mais... Mais je n'oublie pas le passé. Je ne l'oublierai jamais, soviet.
- Je comprend. Bon. Va dans ta chambre, je fais un truc et je te rejoins, ok?
- Qu'est-ce qui est si important pour que tu me laisse en plan comme ça ?
- Pas tes affaires. De plus, je ne te laisse pas en plan puisque je te rejoindrai après."
Sur ces mots, URSS tourna les talons et alla dans sa chambre. Je ne pus m'empêcher de coller mon oreille a la porte pour entendre ce qu'il faisait. Simple curiosité. Je l'entendis appeler quelqu'un mais qui?Point de vue URSS.
Je pris mon téléphone et j'appelais mon fils, Russie.
"- Allô chéri?
- Oui papa, qu'est-ce qu'il y a?
- Je t'avais dis que je rentrerais d'ici une semaine. Malheureusement, je ne pourrais pas être là comme promis pour cause d'affaires personnelles.
- Mais tu m'avais promis, papa...
- Je sais fiston. J'en suis le premier désolé, crois moi.
- T'a chopé le nazi?
- Pas encore. Pourquoi cette question ?
- Mais papa! Grouille toi! Il s'agit de quelqu'un qui a décimé des populations entières ! Il est dangereux ! Dépêche toi de l'attraper !
- Je continue à chercher avec l'aide de mes hommes. Ne t'inquiètes pas.
- Ça ne me rassure qu'à moitié. Bon ben salut.
- Au revoir fiston."
Je raccrochais.Point de vue Reich.
Il avait un fils. Il ne me l'avait jamais dis. Cependant si je lui disait, j'était a peu près sûr que notre amitié prendrait fin. Je me sauvais vite en l'entendant marcher vers la porte de sa chambre. Je m'assis sur le lit et URSS me rejoignit.
"- Ça ne va pas? Me demanda le grand soviet.
- Si, si tout va bien.
- Je ne crois pas. Que se passe-t-il ?
- Écoute. Je sais que je n'aurais pas dû faire ça mais j'ai écouté ta conversation téléphonique avec ton fils."
URSS serra les dents et détourna le regard.
"- Je te protège, Reich. J'ai repoussé mon rendez vous avec mon fils et j'ai dis que je ne t'avais pas encore trouvé tout ça pour te protéger. Et voilà comment tu me remercie ! Dis URSS d'un ton amer.
- Tu me protège de quoi ?
- Russie et Amérique veulent ta mort.
- Q...quoi? Dis je interloqué.
- Eh oui... C'est comme ça..."
Je restait sans rien dire. Russie, le propre fils de mon "amoureux" voudrait ma mort ? Mais pourquoi ? Je posais la question a URSS qui me répondit en ces termes:
"- Reich...écoute moi attentivement. Russie te vois encore comme Le Troisième Reich. Il pense que tu est capable du pire. Alors ben...je te cache chez moi en attendant."
Je ricanais doucement. Alors c'était ainsi... Les gens ne me pensait pas capable de changer. Mon rire devint presque hystérique. URSS prit ma tête entre ses mains et me dit :
"- Reichy... Calme toi, il ne va rien t'arriver. Je te protégerai toujours."
Je serrais le grand soviet entre mes bras et je lui fis un énooooooorme câlin. Il me rendit mon câlin en caressant doucement mes ailes.
"- Si je ne t'avais pas cru capable de changer, je ne t'aurais pas redonné tes ailes. Russie et Amérique ne te trouverons jamais, fais moi confiance."
Je serrais encore plus URSS contre moi.
"- Reichy... Tu est la personne la plus importante à mes yeux. Je t'aime Reichy..."
Je souris.
"- Bon, euh... On va dormir? J'ai sommeil... Dis je."
Il sourit et s'allongea sur le lit. Je m'allongeais a coté de lui, dépliais une aile pour faire comme une couverture sur lui et m'endormis dans un profond sommeil.A suivre...
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Countryhumans Third Reich x URSS
БоевикBah genre ça va être du Third Reich x URSS du coup bah voilà...